Le Rieur Et Les Poissons

que leur coefficient en temp´rature dans la gamme 0 − 100 e La tension superficielle a pour origine les interactions attractives qui existent ` l’int´rieur a e d’un liquide entre les mol´cules. Sch´matiquement, une mol´cule situ´e sur la surface n’a pas de e e e e voisine ` l’ext´rieur et subit une force r´sultante orient´e vers l’int´rieur. L’interface entre un a e e e e liquide et un gaz est g´n´ralement consid´r´e comme infiniment fine. En fait, la surface n’a pas e e ee une ´paisseur

Compl´ments et exercices (tirages avec e e e et sans remise). CHAPITRE 7. Variables al´atoires discr`tes. Lois usuelles . . . . . . . e e Variables al´atoires discr`tes. La loi binomiale. La loi hypere e g´om´trique. La loi g´om´trique. La loi de Poisson. Compl´e e e e e ments et exercices (probl`me des boˆ e ıtes d’allumettes de Banach, poissonisation, le paradoxe de l’inspection). 1 7 15 25 43 53 67 vi ` TABLE DES MATIERES CHAPITRE 8. Esp´rance math´matique. Valeurs typiques

(lin´ arit´ ) et aux distributions sont v´ rifi´ es c’est-` -dire, e e e e e e a le plus souvent, lorsque l’´ chantillon ou les r´ sidus sont suppos´ s suivre des lois se mettant sous la forme e e e d’une famille exponentielle (gaussienne, binomiale, poisson. . . ), les techniques statistiques de mod´ lisation e tir´ es du mod` le lin´ aire g´ n´ ral sont optimales et, surtout dans le cas d’´ chantillons de taille restreinte, il e e e e e e semble difficile de faire mieux. En revanche, d` s que les hypoth`

services par jour, ee Poulet : au plus 3 services par jour, Oeufs : au plus 2 services par jour, Lait entier : au plus 8 services par jour, Tarte aux pommes : au plus 2 services par jour, Poissons et haricots : au plus 2 services par jour. 4 Aliment C´r´ales ee Poulet Oeufs Lait entier Tartes aux pommes Poissons et haricots Quantit´ e 28 g 100g 2 25 cl 170g 260g Energie (kcal) 110 205 160 160 420 260 Prot´ines (g) Calcuim (mg) e 4 32 13 8 4 14 2 12 54 285 22 80 Prix 3 24 13 9 20 19

Sa naissance est inattendue. On raconte qu’au d´but du XIXe si`cle, Aue guste Comte affirmait qu’il serait ` jamais impossible de connaˆ la compoa ıtre e sition chimique des astres faute de pouvoir aller y voir1 . S’il avait aussi pens´ ` l’int´rieur d’un four chaud, qui sur ce plan n’est gu`re plus engageant, Aua e e guste Comte aurait, par la raison pure, pos´ le berceau exp´rimental de la e e m´canique quantique. e La physique quantique perce fortuitement dans une id´e de Planck sur

ci-dessous montre que le trafic (toutes caté gories de vé hicules confondues) se concentre davantage sur les autoroutes que sur les routes fé dé rales. Toutefois, le kilomé trage total parcouru sur les grandes routes fé dé rales est largement supé rieur au kilomé trage total effectué annuellement par les vé hicules allemands, en raison de la part croissante du trafic international de transit. Kilométrage annuel parcouru sur le réseau routier En milliards de km Autoroutes fé dé rales Routes

La Fontaine, Fables, VIII, 4, « Le Pouvoir des fables », v. 34 à la fin* / Flaubert, L’Éducation sentimentale,troisième partie, chapitre 1, de « Les tambours battaient la charge » à « Cela faisait rire ». La Fontaine, Fables, VIII, 8, « Le Rieur et les poissons » / Flaubert, L’Éducation sentimentale, incipit, du début à « la route la plus longue »*. La Fontaine, Fables,XII, 5, « Le vieux chat et la jeune souris »* / Proust, Combray, “première rencontre”, de « Tout à coup » à « dans leur champ visuel

diff´rentielles ordinaires . . . e e 6.3.2 Le cas des EDP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.4 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 Equations de Laplace et de Poisson 7.1 Origines du mod`le . . . . . . . . . . . . . . . e 7.2 Fonctions harmoniques . . . . . . . . . . . . . 7.3 L’´quation de Poisson dans l’espace euclidien e 7.4 Probl`mes aux limites pour le laplacien . . . e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Consistance et ordre . . . . . . . . 2.4 Stabilit´ et convergence . . . . . . . . . . . e 2.4.1 Z´ro-stabilit´ . . . . . . . . . . . . e e 2.4.2 Convergence . . . . . . . . . . . . . 2.4.3 Stabilit´ absolue . . . . . . . . . . e 2.5 M´thodes d’ordre sup´rieur : Runge-Kutta e e 2.5.1 Construction de methodes d’ordre 2 2.5.2 Consistance . . . . . . . . . . . . . 2.6 Pas de temps adaptatif pour R-K . . . . . 2.7 Syst`mes d’EDO . . . . . . . . . . . . . . e 2.7.1 Stabilit´ d’un syst`me : . . . . . . . e e 2

soit le plus proche e e e e possible du v´ritable niveau de risque auquel font face les banques (Hirtle, 2003). Cela dee vrait ainsi limiter les violations de la VaR, c’est-`-dire les situations out-of-sample o` la a u perte observ´e est sup´rieure au montant pr´dit de la VaR. Pour les banques, construire leur e e e propre mod`le interne d’´valuation des risques et de calcul de la VaR leur permet d’assurer e e la confidentialit´ de leur mod`le. De plus, cette pratique entraine une non