Le Règne de la beauté

le mouvement précieux, nous dresse un tableau de la Cour de France dans les dernières années de règne d’Henri II. A travers le portrait de Mlle de Chartres, nous nous demanderons en quoi l’auteur nous brosse le portrait d’un personnage exceptionnel. Nous étudierons d’abord sa beauté incomparable en péril à la Cour, puis le rôle de sa mère dans sa vie de jeune fille. Annonce du plan I. Une beauté incomparable en péril à la Cour (intrigue et galanterie) A. Un effet d’attente B. Un portrait

Présentation générale. Fin du 16e à la fin du 17e S  Période du théâtre Baroque à l’échelle européenne. Période d’une extraordinaire vitalité sur le plan artistique. Autours de 1580 (Avec Cervantés) et 1681 (avec la mort de Calderon) ou Fin de règne des Habsbourg (1700) En tout cas l’âge d’or du théâtre Espagnole correspond à une très grande période. Lorsque se constitue l’empire de Charles Quint l’Espagne devient une puissance prépondérante en Europe et en 1556 Philipe II accède au pouvoir

princesse de Clèves en pleine période du classicisme et publie le roman en 1678. Cette oeuvre est considérée le premier roman moderne de la littérature française par ses analyses psychologiques. Le roman s'ouvre sur le tableau de la Cour de France sous le règne d'Henry II et narre le destin de la princesse de Clèves qui rennonce à son amour pour un autre homme. L'extrait qu'on va commenter est la scène de première rencontre entre Mme de Clèves et le duc de Nemours qui a lieu à l'occasion d'un bal donné en

Les Fleurs du Mal est publié sous le règne de Napoléon III, à l’heure du Second Empire. A cette époque très autoritaire, les poursuites judiciaires contre les œuvres jugées immorales ne son tpas rares. Sous ce Second Empire, l’empereur et le Ministre de l’Intérieur décidaient si une œuvre devait être censurée ou non. Certains auteurs ont alors été censurés : en 1847 par exemple, Flaubert subit une poursuite pour son roman Madame Bovary. La censure est très présente et Napoléon III est d’ailleurs

: le beauté, pour Baudelaire, ne peut-être que bizarre, ou ne peut pas être ; aussi, le beau, dans cette citation, est pris comme un tout, dans son unité ; de plus, Baudelaire ne dit pas ce que le beau est, il conçoit ce qui pour lui rend une chose belle, ce qui différent. Nous avons toutes sortes d’opinions sur la beauté : nous parlons d’une belle voiture, d’un beau tableau, d’une belle femme ou d’un bel arbre, mais pour dire quoi exactement ? En fait, nous ne savons pas ce qu’est la beauté. En effet

Pbtique : Comment ce sonnet met-il en valeur la beauté de la femme aimée et la beauté du ballet ? Axes : - la danse et sa signification symbolique - la métamorphose de la dame aimée : un aveu déguisé I Un spectacle de beauté auquel est convié le lecteur-auditeur a- le ballet : - danse : chps lexical - danse collective : v 5 à 10 => beauté du spectacle : - beau ballet : v 2, v5, v 12 - ballet « divin » b- la beauté du ballet : - par son ordonnance sur deux strophes

enfin le vénérable. Cette lumière, siégeant près du vénérable maitre, est transmise aux deux surveillants, par le biais du maitre des cérémonies. Par la même, les trois colonnettes vont enfin pouvoir briller, et apporter à la loge, sagesse, force et beauté. Ces trois petites lumières sont présentes dans toutes les loges du monde, quel que soit le rite utilisé. Les emplacements des colonnettes sont différents, bien que toujours en fonction de la place où siège le vénérable et les surveillants. Certaines

exercé sur elle une influence. Dans ce Versailles regardé à travers l’Europe comme la source de toutes les élégances, même si sa mère ne lui prête « aucune pensée de coquetterie », la jeune princesse fut sans doute sensible à la mode. Sans être une « beauté triomphante », elle n’était pas totalement dénuée de qualités physiques. La Palatine nous révèle dans sa correspondance, sans grand ménagement comme à son habitude, que sa fille « n’est pas belle, mais elle a une jolie taille et bonne mine, et de

princesse de Clèves en pleine période du classicisme et publie le roman en 1678. Cette oeuvre est considérée le premier roman moderne de la littérature française par ses analyses psychologiques. Le roman s'ouvre sur le tableau de la Cour de France sous le règne d'Henry II et narre le destin de la princesse de Clèves qui rennonce à son amour pour un autre homme. L'extrait qu'on va commenter est la scène de première rencontre entre Mme de Clèves et le duc de Nemours qui a lieu à l'occasion d'un bal donné en

Louis XIV, le rococo prit son essor avec le décorateur français Pierre Lepautre, qui introduisit les arabesques et les courbes dans l'architecture intérieure de la résidence royale de Marly. En France, le rococo apparaît sous la régence et culmine sous le règne de Louis XV vers 1745, où il supplante le classicisme. En ce qui concerne la France on parle beaucoup plus de style rocaille, qui signifie «travaux dans la roche» ou «gros œuvre» ; c’est un motif favori de l'époque qui souligne une conception purement