Le Quotidien du Peuple

Le journal de Paris est un journal révolutionnaire et un quotidien. Il a été publié le 12 juillet 1794. le créateur est Prudhomme. Prudhomme est un journaliste de carrière qui avant la révolution prétendait avoir écrit 1500 pamphlets qui critique la monarchie et il avait été plusieurs fois arrêter avant la révolution Française. Tournon et Loustallot sont proche de Robespierre et son contre toute forme de monarchie, le peuple doit avoir le pouvoir pour eux. C'est un journal qui est très critique

très honnêtement je ne crois pas que « vie décente et correcte » se conjugue avec « misère et pauvreté ». Mais hélas c'est aussi un fait, un bien triste fait, trop de gens, beaucoup trop de gens vivent dans cette misère et dans ces inquiétudes, au quotidien. Et cela depuis trop longtemps, beaucoup trop longtemps. C'était vrai il y a cinquante ans, c'était tout aussi vrai il y a de cela une heure tout juste, alors que je croisais dans la rue un homme chétif et misérable, arrêté pour le chef d'accusation

et questionnements sur sa propre perception de la condition humaine. Mais quels sont les thèmes qui ont retenu mon attention? Sacrifice et liberté : que ou qui peut-on sacrifier pour la liberté humaine, la liberté de tout un peuple? Emancipation et libération des peuples: où est la frontière entre un résistant et terroriste? Respect de la condition humaine et de la dignité humaine: les hommes sont-ils réellement tous frères? La liberté humaine face à la volonté divine: sommes-nous réellement

traitent les autres peuples sans aucuns sentiments où même remords pour leurs gestes et actions parfois horrible. J’ai aussi admiré la façon dont il a essayé d’envoyer le nom des sous-marins aux personnes qu’il croyait faire partis des résistants même si, malheureusement, il ne l’a pas envoyé aux bonnes personnes. Je pense que Mr Hordenneau est quelqu’un qui réussit encore aujourd’hui malgré toutes les épreuves qu’il a traversé à rester courageux. Et de ne pas en vouloir au peuple Allemand comme il

développement Point de vue :Oui, le sauvage est présenté de façon similaire dans les deux textes. Argument principal 1       À première vue, les Sauvages sont présentés de façon similaire dans les deux textes, puisqu’ils sont décrits comme un peuple inférieur à celui des Français. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2      Dans le texte de Jacques Cartier, les Français étalent leurs richesses devant les Sauvages.      Dans le texte de Lahontan, la pauvreté des sauvages est décrite et comparée

et exerce une répression de l’opposition ainsi qu’un fort contrôle sur le peuple français. Une politique sous contrôle. La constitution de janvier 1952 donne pouvoir quasi absolu a Napoléon III : l’empereur nomme ministre, sénat, conseil d’état et ainsi contrôle les préfets et les maires ainsi que le corps législatif et les conseillers généraux, municipaux … Une exception : corps législatif  élu par le peuple. - Pouvoir législatif et exécutif  initiative des lois. Mandat

mon père, il y a de cela une trentaine d’années, au bord du fleuve Torola. Ce dont cette image me parle, c’est d’une réalité du quotidien pour tous ceux qui vivaient à l’époque, et encore aujourd’hui pour certains, dans des endroits appelés caserios (hameaux). Un caserio est un secteur composé de maisons situées à l’écart d’une commune rurale, que l’on appelle pueblo (peuple). Dans ce cas-ci, le fleuve séparait ma famille de la commune. Il est important de préciser que c’était une zone défavorisée,

decident de fonctionner de maniere demo, nous allons fonctionner sous le mode de la représentation et nous allons créer un parlement, celui-ci rassemblera les représentants du peuple, servira a debattre mais si mandat impératif=> pas de débat. Idée de marge de manoeuvre des gouvernants. Fondement meme de notre demo de dire le peuple ne peut pas se gouverner lui meme et dont il va choisir des representants ( mandat ), qui vont essayer d'exercer le pouvoir de la facon la plus legitime possible. Ne doivent

chacun. Une sorte d’apparence notoire sous une adéquation erronée. L’équilibre n’a rien à voir là dedans ; tout n’est qu’une question d’intérêts. Depuis la nuit des temps, les philosophes humanistes et historiens évoquent des civilisations, des peuples tout entiers soumis à l’oppression des puissants. La soumission face au despote ; un phénomène intemporel et omniprésent, dont l’inconscient n’est que la proie, berné de belles promesses. Au fond, nous sommes tous à notre insu, plus ou moins victimes

juste. · Au début de la guerre, les médias couvrent les évènements sans distance critique de ce qui est montré et une image positive de la guerre est donnée dans les premières années.· Unes de life (12 juin 1964 et 2 juillet 1965) : montrent le quotidien des soldats américains. Ils sont fiers/vaillants, fraternelles, forts ont une tranquille assurance en soit l’armée glorifie ses soldats. · La couverture médiatique de la guerre (interview, NBC en 1970) : soldats revenant d’une mission avec un grand