Le Quinquennat

succès d’E. Balladur 3. Le bilan de la politique économique et sociale 4. La Tempête monétaire : Juillet/ Août 1993 IV. La politique économique et sociale de 1995 à 2007. Introduction : Du septennat au quinquennat de J. Chirac : 1995-2003 A. Le gouvernement Juppé : 1995-1997 1. La situation politique 2. La politique économique 3. La crise sociale B. La dissolution :

diplomatique et humanitaire au service de ses intérêts et de ses valeurs dans le monde, tout en respectant les intérêts particuliers des États membres en matière de politique étrangère. 2000: Jacques Chirac président: Pour ou contre le quinquennat ( Président élu pour 5 ans) OUI:73,1%

| |Suffrage universel direct | |Election présidentielle |Président de la République|5 ans (quinquennat), |Scrutin uninominal à deux tours |Ensemble du territoire | | | |renouvelable une seule fois| |

présidentiel Deux éléments à examiner : a) la durée et le nombre du mandat : -> la durée : à l’origine le mandat avait une durée de 7 années, tandis que désormais il est de 5 années (art. 6 Const.) : on est donc passé du système du septennat au système du quinquennat. Sous la 3ème rép. on avait fixé la durée du mandat présidentiel à 7 ans et ensuite on a toujours reprise cette durée. Le septennat donne lieu, dans le cas où le PDR occupe deux mandats successives, à un phénomène d’usure du pouvoir. Chirac a décidé

suffrages exprimés. Le congrès en pratique est la voix de prédilection. On a toujours eu recours au congrès et il a toujours donné son approbation en pratique entre 64 et 78,9 % des voix. On a organisé un seul referendum constitutant pour la réforme du quinquennat le 24 septembre 2000 (73% des suffrages exprimés mais avec 70% d’abstention). b. Les limites à la révision constitutionnelle Il y a des limites formelles qui touchent en particulier au moment de la révision. Pendant l’interime présidentiel

du referendum devient exceptionnelle. En effet, les français ont été sollicités depuis seulement 5 fois par référendum, pour des questions relatives à la construction européenne, le statut de la Nouvelle-Calédonie et le passage du septennat au quinquennat. Pour ce dernier l'abstention atteint presque 70%, c'est là une autre forme de recul de la souveraineté de peuple, la montée de l'abstention. -abstentionnisme : « Voter est un droit, c’est aussi un devoir civique ». Tels sont les mots inscrits

de l’exécutif. - Le Président acquiert une position dominante (la réforme du mode de scrutin de son élection en 1962 en est à la fois une cause et une conséquence). - Cette élection du PR au SUD pérennise la présidentialisation du régime. - Quinquennat + concordance du calendrier électoral (législative, présidentielle)                  B) La subordination du gouvernement au Président de la République   - Il a une grande marge de manoeuvre dans le choix du Premier ministre. Il choisira souvent

Septennat : a) Le choix du Septennat : Ce choix est arbitraire faut il que le président ait un mandat plus long ? il incarne le long terme on lui donne le temps 1973 Pompidou envisage se réduit le mandat du président. Pendant 27 ans la question du quinquennat va revenir. En 1984 : le sextennat. Giscard d’Estein 10 mai 2000. 1er argument la modernité / 2ème argument le moyen d’éviter la cohabitation /3ème un progrès de la démocratie => Fait de respecter la volonté du peuple. C/ UNE LOGIQUE éconduite :

de péstiférés à la récupération des idées et des élécteurs - Un parti longtemps cantonné au rang de parti de réactionnaires sans vues pour la nation. - Légitimisé par la campagne sarkozyste de 2007, puis celle de 2012. - Entretenu durant le quinquennat par des "débats" (identité nationale, viande hallal) ou des acteurs politiques (Morano, Hortefeux, Guéant, Buisson...), des sortie médiatiques (2012 : "il y a trop d'étrangers en France" N.S président en exercice, “Quand il y en a un ça va, c’est

RÉORGA π : Pour équilibre, JC est M1 (1974-76). Il démissionne et fonde le RPR (parti gaulliste rénové) 1969 : SFIO devient PS 1971 : Congrès d’Epinay  PS &PCF établissent un pgmme commun de la gauche (nationalisations, abrogation article16, quinquennat…) 1977 : +UDF de droite François Mitterrand (1981-95) L’Union PS-PCF en fait son candidat face à VGE. 1981 : FM élu à 51.8% Pour la première fois sous la Vème, gauche au pvoir. FM devient pdt d’une Rep qu’il avait tant critiqué. On est