Le Prisonnier

Entre 2006 et 2008, la densité des prisons a augmenté de cinq points de pourcentage pour atteindre 126 %. Dix établissements ont une densité supérieur à 200 et près de deux tiers ( soit 63%) sont en surpopulation. Ce qui engendre un mélange des prisonniers dans les maisons d’arrêts ; par exemple, des personnes accusées de crimes ou délits peuvent partager la même cellule qu’un délinquants sexuel ( 63% des détenus). Toutefois il subsiste une séparation raciale due aux difficultés de cohabitation (

français avec les pénitenciers américains? Dans une première partie,nous verrons se qui permet d’associer les prisons françaises au prisons américaines par leur similitudes. Puis dans une seconde partie, nous allons analyser le mode de vie des prisonniers en mettant en évidence les différences entre deux prisons. I- Les points communs qui associent les pénitenciers français aux pénitenciers américains 1-Des prisons surpeuplées La surpopulation carcérale décrit l’inadéquation matérielle

Document 1 : genre, type et propos directeur. Ce document où figure le texte de Jacques Prévert est un texte poétique de type narratif, écrit en 1934 il conte l'histoire d'un enfant qui s'enfuit de la maison de redressement sur l'île où il était prisonnier, laquelle île où tous les habitants sont à sa recherche. 2.2- Document 2 : genre, type et propos directeur. Ce document est un article de presse politique de type argumentatif, il résume l'évolution des maisons de redressement pour mineurs depuis

généralement la relaxe des adolescents pris en charge par le Bice, ce qui évite un procès. Quand le visiteur franchit la grille de la Maca, la maison d'arrêt et de correction d'Abidjan, il plonge dans un univers régi par la loi des détenus. Des prisonniers vendent des légumes ou des cigarettes dans la cour où chacun déambule à loisir. Des « procureurs » règlent les conflits sous le regard vigilant de « gardes du corps ». Des chefs de cellule comptent leurs effectifs. Devant chaque porte, patientent

(l.5) et "maintenant" (l. 19). Référence à une durée "voila cinq semaine" (l. 2) Epoque indéterminée, mais lieu précis: l'histoire se déroule en prison.  Les personnages: • Personnage principal: "Je", "je suis captif".(l. 19) Il est un prisonnier, il exprime ses pensées à la première personne du singulier. Personnage-narrateur. Identité précise? non. • Autres personnages: Aucun, le personnage est seul. mention de "jeunes filles" qui font référence à son passé, mais aucune mention de personnages

certaines choses l’affectent ? Est-ce que tout le monde peut être libre ? Pour y répondre nous allons dans un premier temps voir si l’engagement est-une contrainte atteignant la liberté de chacun, puis nous réfléchirons à propos de ce dont nous sommes prisonnier et de ce qui nous empêche d'être réellement libre et pour finir nous nous questionnerons sur le fait que la justice peut affecter la liberté. L’engagement est défini comme étant l’action de se mettre en gage, de se lier par convention. Ainsi

en travers de son itinéraire oculaire. Par contre, sans doute le caractère sordide du toit lui fait songer davantage à la beauté de l’Azur. La calme du ciel risque de paraître un peu monotone. Il pourrait contribuer à accentuer l’ennui du prisonnier. La tranquillité pourrait tourner à la déprime. Du coup, le poète voit un arbre en maintenant son regard vers le haut. L’arbre est un être, peut-être moins animé que l’être humain ou animal. Mais c’est un être, c’est-à-dire une vie. Cet arbre

la surface dure des circonstances et de l’histoire. Sur les principes fondamentaux, il était inflexible, ce qui explique pourquoi il pouvait repousser les propositions de libération sans conditions, rappelant au régime de l’apartheid que « les prisonniers ne peuvent pas passer de contrats ». Mais comme il l’a montré lors des négociations méticuleuses destinées à aboutir à la passation du pouvoir et à la rédaction de nouveaux textes de lois, il ne craignait pas le compromis dans l’intérêt d’un objectif

sdfhsifugoHYORYOIEUSHFUIEFGSDIKUFGISDUFHDSKUFHDKFHDIUFHDUKFH- UDJHFUDJHFUDHFUDYHFUDJHX 3 Synopsis En 1839, «l'Amistad», navire espagnol transportant des esclaves africains, est pris dans une violente tempête au large de Cuba. Une cinquantaine de prisonniers réussissent à se libérer de leurs chaînes et se retournent contre leurs bourreaux, qu'ils passent par les armes. Cinque, leur leader, oblige le capitaine à les ramener vers l'Afrique, mais celui-ci, profitant de son ignorance, met le cap sur l'Amérique

mobiliserait l'opinion publique en faveur de prisonniers d'opinion. Amnesty International est née ! L'appel que publie Benenson, intitulé " Les prisonniers oubliés", est diffusé dans la presse le 28 mai 1961, et l'idée d'une campagne internationale pour la défense des droits de la personne suscite immédiatement plus de 1 000 offres de soutien. À la fin de la première année, la nouvelle organisation a envoyé des délégués chargés d'intervenir en faveur des prisonniers dans quatre pays et elle a pris en charge