Le Poète S En Va Dans Les Champs

sentiments. Il utilise comme thème la nature, ou encore le deuil de la nature, mais il utilise surtout le champ lexical de la mort. En effet nous avons plusieurs procédés qui nous indiquent un poème plutôt malheureux. C'est donc pour cela que ce texte propose une méditation sur le thème de la mort. L'automne est une description d'un paysage, d'une nature quelconque, et des sentiments du poète. Effectivement Lamartine utilise le lyrisme ce qui rend le texte vraiment personnel, il décrit ses

XXX », tiré de ce recueil, est écrit en alexandrins. L’auteur compare l’évolution de l’Empire Romain à celle d’un champ, mais, comme le comparant est cité avant le comparé, il faut attendre la lecture des tercets pour connaître le thème du poème : la décadence de Rome qui traduit en fait la déception du poète. Il semble intéressant de montrer comment le poète décrit l’évolution du champ, puis comment il envisage la décadence de l’Empire romain, et enfin en quoi ce texte se veut un texte argumentatif

vationThèmes : AMBIVALENCE DES SENTIMENTS DU POETE A/ Présence oppressante de la réalité * Métaphore hyperbolique « miasmes morbides » le poète éprouve de l’horreur pour le monde d’ici bas, synonyme de spleen et d edéréliction * Rythme binaire « les ennuis et les vastes chagrins» spleen, poète co,fronté au vide de son existence. * Métaphore « le poids de l’existence » sentiment d’étouffement et d’aliénation. Le poète se sent prisonnier de son existence. * Métaphore « l’existence

Elevation :         Ce poème est avant tout remarquable par la sensation de mouvement qu’il fait naître chez le lecteur. On remarque ainsi une forte utilisation du champ lexical du déplacement : « par delà », « sillonnes », « agilité », « envole », « plane »… Le mouvement est également évoqué par la gradation de la première strophe : on passe des « étangs » aux vallées », des « vallées aux « montagnes », des « montagnes » aux « bois », puis aux « mers » avant de dépasser les « confins » des « sphères

section une vision insolite et urbaine de la condition du peuple, et celle de sa propre vie. La ville est comme un miroir de sa conscience. Paris, décrite par la plume de ce poète, peut être amenée comme une allégorie de son âme. « A une passante » évoque une rencontre fugitive entre lui et une passante, un coup de foudre qui va laisser derrière lui un étrange sentiment de mélancolie. Nous allons alors nous demander comment Baudelaire arrive à nous faire pars de la fascination qu’exerce sur lui cette

I- Un poète tourmenté. A- Le poète mélancolique. -Il éprouve un certain mal-être « douleur », « pleurant » et c’est pourquoi il préfère cette saison sombre « le deuil de la nature […] convient à mes regards » -Il ressent de « l’ennui » et c’est l’une des causes de ce spleen qui l’atteint. Ainsi ses jours semblent ne plus passer « longs jours » et il est obligé, pour survivre dans ce monde, de s’échapper grâce au rêve « je suis d’un pas rêveur » -Habité par ce mal-être, le poète préfère

nous intéressons à ce thème en analysant le symbolisme de la métaphore le long du poème, les champs lexicaux de l’enfermement et du malheur et le point de vue du poète. En regardant en détail ces trois aspects qui se trouvent dans le poème, on va conclure que ce poème est une réflexion de la souffrance interne du poète. Ce poème-ci se compose d'une grande métaphore, au premier vers du premier strophe le poète nous dit qu’il est une cage d'oiseau, il continue à expliquer au deuxième et troisième vers

REALISÉS PAR LES ETUDIANTS DE S2 Analyse du poème « La beauté» de BEAUDELAIRE La Beauté Je suis belle, ô mortels ! Comme un rêve de pierre, Et mon sein, où chacun s’est meurtri tour à tour, Est fait pour inspirer au poète un amour Eternel et muet ainsi que la matière. Je trône dans l’azur comme un sphinx incompris; J’unis un cœur de neige à la blancheur des cygnes; Je hais le mouvement qui déplace les lignes, Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris. Les

Charles Baudelaire (1821-1867) poète symboliste du milieu du XIXème siècle. Il a écrit Les Fleurs du Mal en 1875, ouvrage tout de suite condamné par la société de l’époque. Dans ces poèmes il expose ses sentiments pour les trois femmes qu’il a aimé, qui sont Mme DUVAL, Mme DAUBRUN, Mme SABATIER. Aussi, il expose ce qu’il pense de la vie, la , Satan/Dieu à travers un réseau de correspondances /il va mettre en rapport les sensations qui sont correspondances horizontales et il va mettre en relation le ciel

` LA NATURE AU FEMININ Préface La nature étant souvent associée à l’image féminine dans l’imaginaire poétique, j’ai voulu m’intéresser aux images que la femme renvoie à travers les poèmes traitant de la nature. Le poète est une personne qui analyse tous ce que la nature peut lui offrir que ce soit une fleur qui pourrait exprimer la douceur de la femme dans Mignone allons voir si les roses de Ronsard ou un animal qui pourrait évoquer la sensualité de la femme comme dans « Le Serpent qui