Le Poète Et La Foule

signifie le changement d'époque où la rue connaissait la foule et la joie. Prévert fait une description de la rue a valeur métonymique qui s'illustre dans cette personnification de celle-ci : « une rue si heureuse et si fière d'être rue », de là il fait vivre la rue, il la rend vivante comme un être. Le poète utilise un discours argumentatif afin de convaincre. La rue fut heureuse « comme une fille heureuse et fière d'être nue ». Le poète utilise un mouvement esthétique de musicalité, rue/nue. Prévert

par les gens de son époque. Les trois premières strophes concernent l'albatros tandis que la dernière est dédiée au poète. Selon Baudelaire, la place du poète dans la société est comparée à un albatros : majestueux dans le ciel, son élément, mais ridicule sur terre et au contact des hommes. De même, le poète se situe au-dessus du commun des hommes pour ses poèmes, mais mêlé à la foule, il n'est rien et devient ridicule. Baudelaire faisait ainsi partie de la génération des poètes maudits, c'est-à-dire

d'échafaud ? Me voici... j'ai vécu... j'attendais le bourreau. | Contextualisation Né le 20 décembre 1803, Pierre François Lacenaire est lui aussi un criminel français qui fut Guillotiné le 9 janvier 1836. Lors de sa détention à la Concièrge le poète romantique écrira avant sa mort les Mémoires, révélations et poésies de Lacenaire ou apparaîtra Le dernier chant qui exprime ces derniers ressentis et pensés. Le cachot clair. Peinture de Francis LAGRANGE - peintre forçat http://www.imagesplus

classique. La révolution est un abîme entre 2 époques. Le fil du temps s’est rompu. 2. La poésie romantique 2 éléments de définition basés sur les deux principaux clichés de la poésie romantique : 1) Le poète romantique comme guide de l’humanité (poète-prophète) Sentiment du poète romantique à être un élu. 2) La poésie romantique comme expression d’une intériorité (de sentiments intimes, personnels) Suppose que l’expression remplace l’imitation. Suppose le culte du moi (qui a commencé

Méditations d’Alphonse de Lamartine publié en 1820 et pour finir Soleils Couchants tiré du recueil Les feuilles d’automne de Victor Hugo publié en 1831. I- La Nature Dans le poème de Lamartine la nature nous est présentée comme un témoin. Le poète se trouve dans un lieu qui a été témoin de son amour avec Elvire et lorsqu’il y revient il n’est plus avec sa femme aimée et c’est là qu’il se rend compte que la nature peut conserver la trace des amours vécues avec Le Lac. La nature nous est présentée

conviée à réfléchir sur ce spectacle douloureux qui va éclairer le drame intérieur du poète. Il s'agit des “aveugles”, mais pour ménager un effet, le terme n'apparaîtra qu'à la dernière rime du sonnet. “ils sont vraiment affreux” : cette appréciation violente, qui choque notre pitié, traduit le sentiment de l'auteur devant la démarche étrange de ces êtres inadaptés qui semblent chercher ailleurs. Pour le poète, l'horreur peut avoir sa beauté et c'est ici un cri d'amateur qui va analyser ce spectacle

// V. Hugo EXILÉ & MARGINALISÉ. Allégorie d'une humanité pleine de contradictions, personnage complexe, aux traits diaboliques, qui contient des choses inquiétantes. (voir p. 76-77) III. FIGURE A SIGNIFICATION LITTÉRAIRE. Pers. ambivalent = poète inentendu Ex. « soliloque » : il parle seul pour n'être pas entendu. → V. Hugo en tant qu'auteur Préface à lire U. = homme de LANGAGE = VENTRIOLOQUE, presque une allégorie du langage. Symbolisme du VENTRE → il s'y cache une multitude de voix

propriétaire est Octave Mouret, qui a organisé une « journée de grande vente ». Alors que la journée touche à sa fin, il contemple, du haut d'un escalier, la foule des acheteuses, reconnaissant parmi eux quelques femmes. A travers l’évocation du grand magasin, toutefois, Zola trace le portrait d'un homme, Octave Mouret, qui observe la foule de clients et se sent fier d’avoir obtenu tout ça; il le définit comme une religion; et se livre à une réflexion critique sur la place que représente le commerce

1842 Relevé Procédé Commentaire Un rêve titre Onirisme, monde du fantasme qui échappe à la compréhension « J’ai rêvé tant et plus… » Exergue Univers onirique, mise en garde du poète, allusion au MA. Premier mouvement : « Il était » Formule du conte Création d’un cadre imaginaire « J’ai vu » Verbe de perception visuelle Le poète nous donne à voir un tableau « Abbaye, forêt Morimont » « aux murailles…percée…grouillant… » Champ lexical du lieu Expansions du nom Un tableau en 3 lieux dans lequel est crée

ouverture. Son titre même Zone nous indique une frontière indécise que le lecteur va franchir. Cette ouverture a donc une valeur de manifeste qui présente le projet poétique du recueil . A travers l'errance du poète dans Paris en proie à un chagrin d'amour( séparation avec Marie Laurencin), le poète affirme sa conception de la poésie en 3 temps. Dans in premier temps il oppose monde moderne et ancien pour défendre une vision paradoxale et insolite de la modernité poétique , enfin il affirme un lyriqme