Le Portrait Morale De Cosette

devait » est au pluriel, elle a plusieurs créanciers. Ceux-ci la brusquent pour qu’elle les rembourse, ils lui font « des scènes ». Elle ne peut certainement plus emprunter, elle n’a désormais plus d’autre choix que de rembourser. Enfin, le portrait de la société qui est dressé dans ce texte nous dévoile des gens malhonnêtes. On constate que Fantine se fait escroquer. La lettre du Thénardier pose une atmosphère décourageant. Celle-ci n’est pas visible au début, en effet il commence avec des

travers ces portraits. Dans le texte trois le personnage de MadameThénardier est décrit avec une succession d'adjectifs évoquant la grosseur et la laideur tels que "grasse" "charnue" "énorme" encadrés par des virgules qui mettent en valeur ces défauts son visage est même décrit comme étant une "écumoir", elle devient un objet dénué de toute vie. En opposition à la faiblesse de Cosette l'auteur emploie des termes comme "colosses" "éléphant" ou "ogresse" pour symboliser l'écrasement morale de la Thénardier

aisée à des héros médiocres plus proches de notre propre vie et de nos préoccupations (Emma Bovary, Meursault dans la première partie de L’Etranger…). - Les héros qui connaissent des difficultés touchent le lecteur et suscitent sa sympathie (Cosette dans Les Misérables, Jeanne dans Une Vie de Maupassant…). - Des anti-héros fascinent aussi le lecteur grâce à la distance ironique introduite par le narrateur : Frédéric Moreau dans L’Education sentimentale de Flaubert, Bardamu dans Le Voyage au

pathétique qui amène à croire au personnage comme par exemple Mort de Gavroche ou Cosette dans les Misérables de Hugo ou certains passages de Zola. Mais aussi le lecteur peut croire au personnage sans pour autant être ému ou s’identifier à lui par la réalité en elle même, exemple: Bel Ami de Maupassant, le Personnage qui se définit par l’ambition, journaliste et ambition sociale qui doit beaucoup au milieu social, moral et politique d’une époque. Ce livre est viant est cela reflète les mœurs ainsi que

Je vous ai de ma chambre exilés en grondant, Rauque et tout hérissé de paroles moroses. Et qu'aviez-vous donc fait, bandits aux lèvres roses ?Quel crime ? Quel exploit ? Quel forfait insensé ? Quel vase du Japon en mille éclats brisé ? Quel vieux portrait crevé ? Quel beau missel gothique Enrichi par vos mains d'un dessin fantastique ? Non, rien de tout cela. Vous aviez seulement, Ce matin, restés seuls dans ma chambre un moment,Pris, parmi ces papiers que mon esprit colore, Quelques vers, groupe

15 16 17 Tome 1, livre V, chap. VI Tome 1, livre VII, chap. X M. Madeleine passait un matin dans une ruelle non pavée de Montreuil-sur-Mer. En ce moment un mouvement se fit tout à côté du président. Tome 2, livre III, chap. X Cosette, en s’éveillant, avait couru à son sabot Tome 5, livre III, chapitre VI Jean Valjean se trouvait en présence d’un fontis Tome 5, Livre I, chap. XIX Quand Jean Valjean fut seul avec Javert, il défit la corde Le plus malheureux des deux

grises de Philippe Claudel, et son personnage Pierre-Ange Destinat est défini par un nom complet, situé dans le temps, et dans l'espace, doté d'un métier (procureur) Le Personnage est doté de sentiment, d'une personnalité. → Pour renforcer l'impact moral du texte. II. Rappeler que le personnage n'est qu'une création littéraire peut s'avérer efficace. Faire entrer le lecteur dans l'atelier d'écrivain Inviter à une lecture critique Le Roman www.portalopen.xl.cx Robbe-Grillet dans son recueil

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Victor Hugo LES MISÉRABLES Tome II – COSETTE (1862) Table des matières Livre premier Waterloo ........................................................... 7 Chapitre I Ce qu’on rencontre en venant de Nivelles ................. 8 Chapitre II Hougomont ............................................................. 11 Chapitre III Le 18 juin 1815 ...................................................... 20 Chapitre IV A. ......................

adorée. Hélas ! cette horde égarée Mutilait l'airain renversé ; Et cependant, des morts souillant le saint asile, Leur sacrilège main demandait à l'argile L'empreinte de son front glacé ! Voulaient-ils donc jouir d'un portrait plus fidèle Du héros dont leur haine a payé les bienfaits ? Voulaient-ils, réprouvant leur fureur criminelle, Le rendre à nos yeux satisfaits ? Non ; mais c'était trop peu de briser son image ; Ils venaient encor, dans leur

des Rougon-Macquart de Zola (Philippe Boutry) Mardi 17 mars 9 – L’année terrible  : la guerre et la Commune (Éric Fournier) Mardi 24 mars 10 – Le Paris de l’Ordre Moral (Éric Fournier) Mardi 31 mars11 – Mutations de la capitale et naissance de la banlieue (Philippe Boutry) Mardi 14 avril12 – Paris, entre radicalisme et nationalisme (Vincent Robert) Mardi 21 avril*** En guise d’introduction générale