Le Portrait De Lantier

manuel de la tuerie et des façons de tuer de la bête humaine. » Thèmes On retrouve quelques thèmes relativement simples qui accompagnent le lecteur tout au long du roman. Ces thèmes sont : - le crime : on retrouve la fameuse tare héréditaire de Lantier qui se manifeste sous cette envie indomptable d’égorger des femmes. - le mouvement : c’est un roman qui est dynamique, où les personnages agissent, bougent, se déplacent. - la machine : plus particulièrement la locomotive qui représente aussi le

incipit, une indication en ce qui concerne l’action proprement dite du roman : elle est « lancée » dans le Gil Blas par un départ du personnage à la conquête du « monde », dans L’Assommoir par l’attente de Gervaise qui s'inquiète du "découchage" de Lantier , Créqui crée un suspens et des interrogations sur la stabilité du couple et sa situation sociale, dans l’Etranger, par une étape habituellement marquante dans la vie d ‘un individu, la disparition de la mère, le roman de Duras s’ouvrant sur une enquête

colonisateur, Untel ne vaut pas qu’on s’intéresse à ses droits. Son exploitation est pour son bien. L’entreprise coloniale est une mission civilisatrice. Commentant la violence comme outil du colonisateur, Jean-Paul Sartre aussi, dans sa préface au Portrait du colonisé déclare que « le colonialisme refuse les droits de l’homme à des hommes qu’il a soumis par la violence, qu’il maintient de force dans la misère et l’ignorance. » (p.34). Cette absence de droits de l’homme, note-t-il, sanctionne la misère

essentiels pour l’analyse du texte Il s’agit d’un PORTRAIT, celui de Charles Bovary. Le portrait moral ou physique du personnage est très important dans le roman, car il oriente notre vision et nous fournit des informations . C’est aussi un topos du roman romantique (comparer avec le portrait d’Horace de Beuzeval par Dumas à la fin du polycopié) que Flaubert va s’amuser à détourner en peignant un antihéros… C’est un portrait négatif. Si ce portrait est négatif, c’est parce que Charles est en partie

formule une énigme. Le titre Le Chef-d’œuvre inconnu, justifié dès la ligne 20 du récit, combine plusieurs de ces fonctions. Titre thématique, il annonce un élément majeur de l’histoire, le tableau que Frenhofer peint dans le plus grand secret. Ce portrait, Frenhofer ne l’exhibe pas avant la fin du chapitre II, mais il le nomme à plusieurs reprises (« Catherine Lescault ») et il l’évoque devant ses amis peintres comme une œuvre parfaite (l. 336). Poussin, intrigué, décide de tout mettre en œuvre pour

impatient que nous avons tous été dans nos jeunes années avait bien du mal à supporter les ralentissements du récit quand semblait s’éloigner la fin tant attendue. Ces pauses dans le déroulement de l’action ont pour nom discours, considérations, portrait et surtout descriptions. En effet les écrivains proposent souvent des peintures de lieux très précises dans leurs romans. Certains lecteurs ont le sentiment qu’elles sont inutiles ; d’autres en revanche, considèrent qu’elles jouent un rôle essentiel

personnages Argt1 + exemples : Le début de roman contient souvent la présentation du personnage principal. Dans le roman naturaliste, Germinal de Zola, nous découvrons le personnage par l’intermédiaire du point de vue interne. C’est le héros Etienne Lantier dont le nom n’est pas encore divulgué qui voit le paysage hostile qui l’entoure et qui découvre l’univers de la mine. Le monologue intérieur est aussi utilisé pour établir un lien entre le lecteur et le personnage. C’est le cas dans l’incipit de Du

inspirer certains textes littéraires. Dans La Bête humaine, 17ème roman du cycle des Rougon-Macquart, Zola dresse un portrait du milieu des chemins de fer à la fin du XIXème siècle. C’est aussi, avec l’expansion de ce mode de transport, le temps des premières catastrophes ferroviaires. Au chapitre X, Zola met en scène l’accident de la Lison, la locomotive guidée par Jacques Lantier, qui a percuté un chariot resté sur la voie. La question qui se pose est de savoir comment le romancier a métamorphosé

romans. Tous ces personnages qui sont attribués à chaque roman réunissent toutes les classes sociales, tous les individus et tous les milieux de l’époque de l’auteur, chacun présente ses vices et ses vertus ce qui permet à l’écrivain de dresser un portrait complet de la société dans laquelle il vit. Comme Balzac le dit il se veut être le « secrétaire de la société française » en décrivant du mieux qu’il peut les individus évoluant à son époque. De plus le personnage est aussi le porte parole de l’auteur

Cherchant son inspiration dans les paysages, le peintre sera admis au Salon de 1882 où il fera scandale. Il se brouillera avec Zola qui intégrera dans l'Oeuvre, un roman publié en 1886, un peintre révolutionnaire mais impuissant du nom de Claude Lantier qui se suicidera du fait de son échec. Le décès du père de Cézanne, la même année, lui laissera un important héritage qui le mettra à l'abri du besoin jusqu'à la fin de ses jours. Installé à Aix-en-Provence, le peintre travaillera dans les environs