Le Portrait De La Femme Dans Les Liaisons Dangereuses

Liaisons dangereuses : Lettre 1 1. Présentation du texte Cet extrait permet la découverte de la personnalité d'un des personnages, Cécile de Volange. A travers cette lettre, nous allons tâcher de démontrer que la stylisation ( quelque chose qui est simplifier à l'extrême ) de la forme de cette lettre est associée au caractère de la jeune fille. Outre de vous faire pénétrer d'emblée dans le roman à travers l'épisode des préparatifs du mariage de Cécile, cette lettre permet à Laclos de montrer

personnage dont on ignore tout à part qu’il appartient au monde de l’aristocratie. Enjeu : nous verrons comment le récit met en lumière le plaisir de la mise en scène et du romanesque. I -1er mouvement : ligne 1 à 7 portraits savoureux La 1ère phrase semble donner un portrait du personnage qui prend en charge le récit de son aventure. Le « je » laisse supposer un récit sans que l’on sache, dans cette version de 1812 à qui est fait le récit. Cet effacement de la situation

auditoire de la nécessité d'être inconstant en amour? Quel portrait DJ fait-il de lui-même? Quels sont les procédés de cet éloge? En quoi peut-on dire que cet éloge de l'inconstance est paradoxal? (Il y a paradoxe puisque Don Juan critique ce qui est admis et reconnu comme une valeur digne de l'honnête homme : la fidélité, et qu'il fait l'éloge de l'inconstance, ce qui n'est pas admis, ce qui est communément réprimé.) Quelle image de la femme Don Juan donne-t-il? Organisation du plaidoyer Après avoir

demande de conseils et manifeste l'interdépendance progressive de certains personnages. Quel que soit le type de lettre, il n'en est pas d'innocente, car la lettre peut être utilisée : elle se montre (XXV, XXVII) ou se dérobe (XLIV). C'est une arme dangereuse puisqu'elle garde la trace intime des passions (XXVI). C'est d'ailleurs ce que Valmont rétorque à la marquise de Merteuil (XXXIV) en montrant comment obliger par ruse à lire une lettre est un pas essentiel dans la conquête amoureuse. Lecture

demande de conseils et manifeste l'interdépendance progressive de certains personnages. Quel que soit le type de lettre, il n'en est pas d'innocente, car la lettre peut être utilisée : elle se montre (XXV, XXVII) ou se dérobe (XLIV). C'est une arme dangereuse puisqu'elle garde la trace intime des passions (XXVI). C'est d'ailleurs ce que Valmont rétorque à la marquise de Merteuil (XXXIV) en montrant comment obliger par ruse à lire une lettre est un pas essentiel dans la conquête amoureuse.

emblématique, il vient alors de l’épopée et de la mythologie. A cette époque, les héros sont représentés comme des êtres pleins de bravoure et de courage. Dans la mythologie grecque par exemple, « Orphée », l’homme à la lyre, tente de récupérer sa femme Eurydice tuée par une morsure de serpent. Il va alors, héroïquement, réussir à convaincre le Dieu Hadès, de la laisser quitter le royaume des Enfers, à la condition de ne pas se retourner pour la regarder avant d’être retourné dans le monde des vivants

amis qui l’incitent à écrire et collaborent avec elle. Madame de La Fayette n’a signé aucun de ses ouvrages. Quelques ouvrages cependant ont été publiés à titre posthume. En 1659, parait Le portrait de « Mme de la Marquise de Sévigné par Mme la Comtesse de la Fayette, sous le nom d’un inconnu ». Portrait de sa chère amie intime Mme de Sévigné. En 1662, elle publie une brève nouvelle historique : « La princesse de Montpensier ». Elle se déroule peu de temps après le moment historique pour La princesse

de la vrai liberté. En premier lieu le libertinage de mœurs s’appuie sur la volonté d’asservir l’autre à son propre désir, de le dominer, de le séduire pour le corrompre et l’humilier. L’exemple type est le Vicomte de Valmont qui, dans les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos, détourne la Présidente de Tourvel de ses principes moraux. C’est ce fait que décrivent également les textes 1, 2 et 3 du corpus. Madame de Merteuil, se vente à Valmont de faire des hommes le jouet de ses caprices et

la Princesse de Clèves de madame de la Fayette (1678). A lopposé des romans baroques, lintrigue y est dépouillée, et vraisemblable, réduite à une seule ligne narrative~: il y a une unité daction quon ne trouvait pas jusque là dans le roman. Les portraits du Duc de Nemours et de mademoiselle de Chartres sont à la mesure de la magnificence de la Cour. Tous les traits du personnage contribuent à refléter les traits idéaux dune personne attachée à la cour prestigieuse de Henri II~: «~Ce prince était

A la fin du XVIIIe, le genre du roman épistolaire disparait avec Les Liaisons dangereuses édité en 1782, qui est considéré comme le chef-d’œuvre de Choderlos Laclos (1741-1803). Dans cette deuxième lettre de l’ouvrage, La Marquise de Merteuil s’adresse au Vicomte de Valmont, elle souhaite lui confier une mission qui lui tient à cœur : séduire Cécile de Volanges la promise du Comte de Gercourt, le Compte étant un ancien amant qui plusieurs années auparavant l’avait fait cocu avec la maîtresse du Vicomte