Le Pont Mirabeau Lamartine

Weber"), la subjectivité : "Le lac" de Lamartine ("Je viens seule m'asseoir sur cette pierre"), le voyage et l’exotisme (comme par exemple Victor Hugo et son recueil "les orientales") mais aussi la souffrance (dans le poème d'Alfred de Musset : "Tristesse"), le regret : "Demain dès l'aube" de Victor Hugo ("Vois-tu je sais que tu m'attends.", "je ne puis demeuré loin de toi plus longtemps", "Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit"), l’amour : "Le pont Mirabeau" de Guillaume Apollinaire ("Et nos

Lyrisme : usage fréquent dans les poèmes romantiques : amours malheureuses « La Chanson du Mal-Aimé » (rupture avec Annie Playden). Le lyrisme évoque le temps qui passe comme bcp de poète avant Apo. Lamartine avec « Le lac » ou encore dans le recueil « Le pont Mirabeau » (image d’eau qui coule). Evocations de saisons propres du souvenir comme L’Automne avec « Automne », « Rhénanes d’Automne », « Automne malade ». L’automne est la saison dominante et la saison de la mélancolie qui

Ronsard, où la femme aimée "Marie", est morte et Ronsard lui procurant une eternelle gloire grace à ses vers, l'immortalise : "Pour obsèques recois mes larmes et mes pleurs". Le poème représentant le plus le thème de la fuite du temps est celui de Lamartine, "Vers écrits sur un album" qui reproduit l'excellent ressenti du poète par rapport à toute vie humaine, qui se termine quand on s'y attend le moins : "On voudrait revenir à la page où on aime et la page où l'on meurt est déja sous nos doigts"

vous venge. Mourir sans vider mon carquois Sans percer, sans fouler, sans pétrir dans leur fange Ces bourreaux barbouilleurs de lois ! André Chénier, Iambes, IX - extrait LA FUITE DU TEMPS ET LA PERTE DE LA FEMME AIMEE Document A: Lamartine, Méditations poétiques, « Le Lac » Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre un seul jour ? Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière

premier théoricien de l’art classique fait de mesure et bienséance et l’un des réformateurs de la langue française. Il fut pour cela l’un des auteurs les plus constamment réédités pendant l’Ancien Régime. Alphonse de Lamartine : De son nom complet Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine, né à Mâcon le 21 octobre 1790 et mort à Paris le 28 février 1869, est un poète, romancier, dramaturge et prosateur en même temps qu'un homme politique français, l'orateur d'exception qui proclama et dirigea la Deuxième

emprunté au baroque de la comparaison et de l'antithèse qui entrelace intimement les thèmes de l'amour et celui de l'eau, élément mouvant, insaisissable, symbole de la vanité, comme du caractère éphémère des choses de ce monde. Lamartine dans "Le Lac", Apollinaire dans "Le Pont Mirabeau" s'en souviendront, avec certainement plus d'émotion

du G al P a Théodore Bd de 20 21 5 Mairie BREST Liberté - H7 BOHARS Pen-ar-Guear par Penfeld - F3 V C 12 l'E uro Correspondances Kermenguy Arrêt commun à plusieurs lignes Point de correspondance te de VC de 6 Pont b Ca pe 3 5 Provence Provence Rue te Ro u Ecole de Commerce Bourbonnais Bergot R. du Rue Av. Ge or Terminus de ligne Terminus Partiel Arrêt desservi dans les deux sens Arrêt desservi dans un seul sens Lignes

orgues de Barbarie". Il n'y a pas d'opposition à la tradition, mais plutôt un renouvellement: un nouvel Orphée L8: le poème est élégiaque: le poète exprime une plainte douloureuse sur un amour éconduit (thème traditionnelle et commun ex: Élégie de Lamartine) grâce au CL de la tristesse et la personnification des orgues: "sangloter" L8: Le C.C.Lieu "cours grises" est un élément de décor moderne L9: la ville de la modernité (car tous les grands artistes s'y trouvaient, ex: Pablo Picasso) est mentionnée:

"Le Pont Mirabeau" Apollinaire, Alcools (1912 Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante

naissance.Le dialogue du romantique Alfred de Musset et de sa Muse dans «La Nuit de mai» (Les Nuits, 1835-1837). Il peut être inspiré par des lieux, comme Lamartine dans le poème «Le Lac» lors de la contemplation du lac de Bourget en Savoie (Méditations poétiques, 1820) ou le poète Guillaume Apollinaire, qui lui, a étais inspiré par le Pont Mirabeau à Paris pour rédigé le poème du même nom (Alcools, 1913), ou encore Joachim Du Bellay lors de son écrit «Les Antiquités de Rome» (1558) devant les ruines