Le Pont Mirabeau Guillaume Apollinaire

Guillaume Apollinaire, de son vrai nom Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary de Wąż-Kostrowicki[1], est un écrivain naturalisé français (né polonais), né le 26 août 1880 à Rome et mort le 9 novembre 1918 à Paris. C'est l'un des plus grands poètes français du début du XXe siècle, auteur notamment du Pont Mirabeau. Il écrit également des nouvelles et des romans érotiques. Il pratique le calligramme (terme de son invention désignant ses poèmes écrits en forme de dessins et non de forme classiques en

tragédies romantiques sont toutes uniques et ne nous laisse jamais vraiment indifférent. Tout ces poètes déçus lorsqu'ils perdent leurs grands amours ne croyant plus qu'un jour ils le retrouveront ,comme nous le montre Guillaume Apollinaire dans son poème << le pont de Mirabeau>> lorsqu'il dit <<Ni temps passé ,ni les amours reviennent>>.On voit qu'il est désespérer , que le temps qu'il passe sans elle est lent <<Comme la vie est lente>> mais que malgré tout il

thématiques : - Un poète en harmonie avec son temps: Guillaume Apollinaire et le mouvement cubiste: une poésie innovante. - Les caractéristiques du lyrisme d'Apollinaire. - Un kaléidoscope de réalités modernes. Séquence 4: Œuvre intégrale : G. Apollinaire, Alcools, 1913. Texte1 :"Zone", extrait v.1-v.24. Texte2 : "Le Pont Mirabeau". Texte3 : "Crépuscule". Texte4 : "Marie". Lecture cursive : - Alcools, Apollinaire, 1913. Histoire des arts : - Champ de Mars, La Tour

poli(que. Bel Ami est une sa(re de la société française. Excipit, mariage de Bel Ami avec Suzanne tout en regardant sa maitresse, contemple sa réussite Prose, narrateur omniscient, ironique, champ lexical du regard, fin ouverte Guillaume Apollinaire, Le Pont Mirabeau Fin 19eme à Rome jusqu’à début 18eme à Paris (1918), grippe espagnole, blessure de guerre Père inconnu, échecs amoureux Inven(on calligrammes Précurseur du réalisme, il est avant gardiste Recueil « Alcools » Poème lyrique

Séquence 5- L’esprit nouveau du lyrisme EL 16 - Guillaume Apollinaire, Alcools (1913), « Rhénanes: MAI »Auteur et oeuvre : « Mai » est le second poème des 9 de l’ensemble des « Rhénanes », ces poèmes inspirés par le séjour d’Apollinaire entre 1901 et 1902. Le poète y décrit la nature des rives du Rhin tout en renouvelant le topos poétique de l’idylle printanière. Situation du passage  :A travers ses 17 vers organisés en 4 strophes à rimes embrassés, le poète exprime

Le premier oui qui sort des lèvres bien-aimées ! Paul Verlaine, « Poèmes saturniens », 1866. Le Pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure

des vers de M.de Marbeuf. Rouen, 1628 , 90 poèmes classiques et contemporains. Pierre de Marbeuf (1596-1645) Le pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je

Si je mourais la bas de Guillaume Apollinaire Si je mourais là-bas sur le front de l’armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s’éteindrait comme meurt Un bel obus sur le front de l’armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l’espace Couvrirait de mon sang le monde out entier La mer les monts les vals et l’étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l’espace Comme font les fruits d’or autour de Baratier Souvenir

la mort. Les poètes s’interrogent donc souvent sur la fuite du temps. Il détruit, abîme, mais il est aussi source d’apaisement, de consolation, d’oubli. (Cf. « Le Lac », Méditations poétiques, 1820, Alphonse de Lamartine, « Le Pont Mirabeau », 1913, Guillaume APOLLINAIRE). … / … ➢ La nostalgie du pays natal qui devient presque un paradis perdu et que les poètes idéalisent, lorsque leur vie ne leur réserve que des

Personne !… elle est morte. » On vous le dira, Mais, qui vous plaindra ? XIXème siècle Guillaume Apollinaire Le Pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine       Et nos amours    Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine. Vienne la nuit sonne l'heure       Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face       Tandis que sous    Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse       Vienne la nuit sonne l'heure