Le Peuple de l'Herbe

brûlés » ; s’il apporte cette précision, c’est que c’était là ce que croyait Pythagore ! - La condamnation à mort des deux indiens entraîne chez li une réflexion d’une grande banalité, et donc assez ridicule : « Pythagore jugea que depuis l’herbe jusqu’à l’homme il y avait bien des sujets de chagrin ». Et il considère les malheurs de ces hommes comme un simple « chagrin ». - Il est vrai qu’il « fit entendre raison aux juges, et même aux dévotes » : mais il faut remarquer que Voltaire

présenté par opposition avec le tableau de la guerre qui précède, et ceci constitue la proposition principale de la phrase. 6. Il est caractérisé par sa richesse: “nappes damassées”, “encens”, “grands calices d’or” qui s’oppose à la misère du peuple suggérée dans le deuxième tercet (étudier les oppositions richesse/pauvreté). 7. Il est caractérisé par son indifférence: “il rit aux nappes damassées des autels” qu’il ne quitte pas car il semble étrangement absent de “l’infini du ciel bleu”

confessions le pronom personnelle « je » qui le remet à sa place royale, cela inclut que personne ne pourra le contredire car c'est le roi et qui plus est de pouvoirs divins. Le « nous » lui donne l'image d'un porte parole objectif parlant pour son peuple et agissant dans son intérêt. Il donne ainsi une habile image de lui procédant le premier à son examen de conscience incitant ainsi ses sujets à en faire de même. Ses sujets pourtant savent qu'à cause de la royauté de son sang ils ne pourront pas

Enfin, il n’entoura son tombeau que d’une mince et chétive muraille. Il empoisonna Britannicus parce qu’il avait la voix plus belle que la sienne, et qu’il craignait que le souvenir de son père ne lui donnât un jour de l’ascendant sur l’esprit du peuple. La potion que lui avait administré la célèbre empoisonneuse Locuste étant trop lente à son gré, et n’ayant occasionné à Britannicus qu’un cours de ventre, Néron appela cette femme et la frappa de sa main, l’accusant de ne lui avoir fait prendre qu’une

[pic] Doryphore copie romaine d’un original grec de Polyclète d’Argus (450-420 av JC) Le Moyen Âge : Les peintres choisissent leurs sujets dans la Bible. Fresques, mosaïques, retables, enluminures, icônes dans le monde byzantin sont donc peuplés de figures humaines. Peintes généralement debout, de face, figées dans des poses solennelles (hiératiques). Elles ne possèdent pas d’autres caractère physique que leur sexe. Entre le Ve et le XIIIe siècle, il est inutile de chercher à distinguer

est présenté par opposition avec le tableau de la guerre qui précède, et ceci constitue la proposition principale de la phrase. Il est caractérisé par sa richesse: “nappes damassées”, “encens”, “grands calices d’or” qui s’oppose à la misère du peuple suggérée dans le deuxième tercet (étudier les oppositions richesse/pauvreté). Il est caractérisé par son indifférence: “il rit aux nappes damassées des autels” qu’il ne quitte pas car il semble étrangement absent de “l’infini du ciel bleu” qui

Mais comment le suivre ? Y a-t-il une histoire à raconter ? Sa vie, son œuvre, ses amours ? On n’allait tout de même pas s’abaisser à poireauter en attendant un rendez-vous aléatoire, ponctué de la sourde interrogation du fils d’intellos passé au peuple (« En quoi mériterais-je qu’on écrive un livre sur moi ? »), trouvant un écho immédiat : « En quoi mérite-t-il qu’on publie un livre sur lui ? » Alors, il fallut partir en voyage. Ce fut une passionnante solution, faite de hasards, d’échantillonnages

dans une carrière politique engagée. Afin de dénoncer la misère dans laquelle le peuple français du XIXème siècle vit, il écrit également l'un des romans les plus emblématiques de la littérature française : Les Misérables. L'auteur écrit cette prmière oeuvre durant la révolution industrielle en France, qui entraîne alors une paupérrisation du peuple, ce qui révolte l'écrivain. Ici, il dresse une tableau épique du peuple anglais à travers les aventures de Gwynplaine, « l'homme mutilé ». Ceci est un

et registres dominants sont : le roman, la nouvelle, le registre dramatique et pathétique. Les caractéristiques principales sont : le positivisme, l'étude des milieux et des mœurs et la mise en scène du peuple et la bourgeoisie. Les thématiques sont : l'amour, l'ambition, les mœurs du peuple et de la bourgeoisie. Les grands écrivains de cette époque sont : Balzac avec La comédie humaine, Stendhal avec Le Rouge et le Noir, Flaubert avec Madame Bovary, Zola avec Le Rongeons-Macquart et Maupassant

pitié de ma longue misère! Toi qui fais au proscrit ce regard calme et haut Qui damne tout un peuple autour d'un échafaud, O Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi qui sais en quels coins des terres envieuses Le Dieu jaloux cacha les pierres précieuses, O Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi dont l'œil clair connaît les profonds arsenaux Où dort enseveli le peuple des métaux, O Satan, prends pitié de ma longue misère! Toi dont la large main cache les précipices