Le Peuple de l'Herbe

Huaren Liang FREN 211-Essai 2 10/16/2014 Analyse de La Dormeur du Val Ce poème est écrit par Arthur Rimbaud en 1870, quand la Guerre Franco-Prussienne soumettait le peuple de France en déstresse. Rimbaud, qui avait 16 ans, a découvert un cadavre d’un jeune soldat pendant son errance dans le val. Le contraste violent entre la nature vivide et la mort lui inspiré. Rimbaud a utilisé la forme du sonnet classique, mais le thème adopte les audaces

distraire, cette dernière sert aussi à faire passer un message, à dénoncer quelque chose. Souvent ce sont des problèmes que la société essaie de nier, comme la consommation de plus en plus massive et dévastatrice de drogue chez les adolescents comme dans L’herbe bleu de Beatrice Sparks, qui raconte la descente en enfer d’une adolescente ou Confession d’une droguée de 15 ans de Julie, un témoignage poignant, un engrenage impitoyable, ou les viols et les maltraitances sur les personnes mineurs comme dans J’avais

contient plus que des graisse (lipides). Ce beurre a la propriété de beaucoup mieux se conserver. Seules deux civilisations font exception, la Grèce antique puis Rome qui ne goûtent pas le beurre, l'attribuant aux " Barbares ", entendez : tous ces peuples " non civilisés " qui les entourent !  Dès la Renaissance, le beurre est hautement apprécié par les "bons becs"  Le morceau de beurre est alors enveloppé de feuilles fraîches.  Il est recouvert d'eau salée et conservé dans des pots de grès.  HISTOIRE

littéraires ou de peintures à travers les temps. Le réalisme, naturalisme, etc. b - Une perpétuelle lutte contre quelque chose. arg : Une lutte contre les mœurs, contre la société, des idéaux, voire soi même. ex : Le Déjeuner sur l’herbe de Manet, 1863 c - Art = violence/lutte. arg : L’art est nourrit donc par les passions et engagements qui nous portent.. ex : L’artiste BanskyEn fonction des sociétés, des époques et individus, l’art se renouvelle et constituent

« la Grande Ourse » ou « les étoiles » Le poète voyage dans ses rêves. .Dans le recueil Les Orientales, le lecteur s’évade dans des univers fantastiques mis en place par Victor Hugo. Dans les « Djinns » l’auteur le transporte dans un monde sombre peuplé de créatures surnaturelles. Le lecteur s’enfuit alors du monde qui l’entour et se laisse emporté dans cet univers imaginaire qui donne au poème une dimension merveilleuse et magique. On le voit la poésie peut dépasser la réalité et faire fonctionner

(1789 à nos jours) Néoclassicisme : Jacques-Louis David (1748-1825) Jean-Auguste Ingres (1780-1867) Grande Odalisque (1814) Romantisme : Théodore Géricault (1791-1824) Radeau de la Méduse (1819) Eugène Delacroix (1798-1863) La Liberté guidant le peuple (1830) Impressionnisme : Édouard Manet (1832-1883), Paul Cézanne (1839-1906) Claude Monet (1840-1926), Auguste. Renoir (1841-1919) Post-Impressionnisme : P. Gauguin (1848-1903), V. Van Gogh (1853-1890) Art Nouveau : École de Nancy (Gallé, Majorelle

toucher aucune des plumes de l'oiseau
 Faire ensuite le portrait de l'arbre en choisissant la plus belle de ses branches 
pour l'oiseau
 peindre aussi le vert feuillage et la fraîcheur du vent 
la poussière du soleil
 et le bruit des bêtes de l'herbe dans la chaleur de l'été
 et puis attendre que l'oiseau se décide à chanter
 Si l'oiseau ne chante pas
 C'est mauvais signe
 signe que le tableau est mauvais 
mais s'il chante c'est bon signe
s igne que vous pouvez signer
 Alors vous arrachez

mais n'aie point d'affaires avec lui. Mille amis n'est pas trop, un ennemi, c'est beaucoup. Qui cherche un ami sans défaut, reste sans ami. Qui veut être aimé se rend aimable. Ne meurs pas, mon âne, le printemps viendra, et alors l'herbe poussera. Le bât ne compte pas dans la charge de l'âne. Qui joue avec l’âne, ne doit pas se piquer s'il pète. Âne qui sent la douleur, dépassera le cheval en vigueur. Qui apprend à jouer d'un instrument à 80 ans, se fera entendre le

! tiens comme pas un Tu Tu as été pris comme tu sortais de la vie Pour y rentrer Je ne sais pas si c’est dans un sens ou dans l’autre que tu ébranles la grille du parc Tu as relevé contre ton coeur l’herbe serpentine Et à jamais bouclé les paradisiers du ciel rauque Ton regard est extra-lucide Tu es assis Et nous aussi nous sommes assis Le crâne encore pour quelques jours Dans la cuvette de nos traits Tous nos actes sont devant nous A bout de bras Dans la vrille de la vigne

"La neige les modèle [les cadavres] avec son linceul blanc ;" du poème "Nos morts", la mort est embellie et non plus considérée comme une déchéance. La mort n'est donc pas si terrible pour tout le monde, et peut même occasionner fêtes chez certains peuples. La mort suscite également un grand intérêt pour les poètes romantiques, symbolistes et réalistes. Bien qu'elle ne soit considérée que comme pourriture et désolation par le commun des mortels, elle permet à ces poètes une certaine élévation de l'âme