Le Peuple de l'Herbe

1691, la France subit un dérèglement météorologique. Pour la période concernée, 1693 est une année trop humide (nous pouvons d’ailleurs souligner qu’en 1693, il y a eu au total 193 jours de pluie), l’humidité étant plus favorable au développement de l’herbe qu’à la croissance des blés. Ces derniers souffrent en mai (mois froid et trop pluvieux), germent en août sous une chaleur trop intense (de ce fait, le grain est encore laiteux, il mûrit brutalement mais reste desséché, glacé et perd une grande partie

pourrissait » l.7 ; « mort » l.11 ; « charogne » l.11. Aussi, Emile Zola expose la classe sociale de Nana en opposant les deux milieux liés à la courtisane. La figure de style antithèse est omniprésente et donne un sentiment de contradiction : « le peuple remontait et pourrissait l’aristocratie » l.7 ; « l’ordure […] éclat de pierreries » l.11-12 ; « le long des chemins […] les palais » l.12-13. Outre cela, Emile Zola fait une représentation naturaliste d’Anna à la suite d’une étude sur la génétique

La Fontaine poète du peuple Le XVIIème siècle apparaît comme une période très riche au niveau littéraire dans la mesure où, le style classique prône une parfaite harmonie entre la forme et le fond. La Fontaine, poète renommé de cette époque, choisit lors de la Querelle des Anciens et des Modernes de se ranger dans le parti des Anciens. En effet, il est un grand admirateur du poète ancien Grec, Esope, dont il s’inspirera beaucoup dans l’écriture de ses Fables, publiées en 1668 sous le titre Les

|proches d’une | | | | | | |narration | |Evocation du |Dans la nature et la |Dans une vie simple |Le bonheur du peuple |La complexité des formes |=== | |bonheur |simplicité de vie |et une société bien |suppose la destruction|(escaliers) est appelée | | | | |organisée,

effeuillée ; Leur souffle égare ton encens. Ton coeur, dans leurs luttes serviles, Est comme ces gazons des villes Rongés par les pieds des passants. Dans les brumeuses capitales N'entends−tu pas avec effroi, Comme deux puissances fatales, Se heurter le peuple et le roi? De ces haines que tout réveille À quoi bon emplir ton oreille, Ô Poète, ô maître, ô semeur? Tout entier au Dieu que tu nommes, Ne te mêle pas à ces hommes Qui vivent dans une rumeur! Va résonner, âme épurée, Dans le pacifique concert! Va

celle-ci, les mexicains s’efforcent de pleurer le jour de la fête des morts car pour eux, rire et se moquer de la mort aide surmonter la douleur. Le peuple mexicain ne craint pas la mort, bien au contraire, il s’en moque se déguise en squelette, caricaturent la mort (Catrina), fait la fête dans les rues. La fête des morts au Mexique permet à tout un peuple et à toutes les familles de se retrouver ensemble, de festoyer… Vivants et morts sont alors réunis pendant ces 2 jours. Le rapport vivant-mort

La nouvelle « Coco » de Guy de Maupassant paraît d'abord dans la revue Le Gaulois du 21 janvier 1884, puis dans le recueil Contes du jour et de la nuit en 1885. Il s'agit d'un récit réaliste, plein de petits faits vrais, évoquant un événement à la fois banal et exceptionnellement choquant, dans une ferme à la campagne : la persécution d'un animal par un jeune paysan. Nous nous demanderons comment ce récit transmet une vision cruelle de l'Homme. Nous évoquerons tout d'abord l'art de la nouvelle :

prenant le parti du peuple dont il se fait le porte-parole. Ici, l’auteur expose donc son avis politique à travers le discours du valet. LECTURE EXPRESSIVENous pouvons distinguer deux mouvements dans cet extrait. Dans un premier temps, nous allons analyser le poids et la misère de l’Etat portée par le peuple du vers 1 à 10, puis nous décrirons les une Espagne dévastée et laissée à l’abandon.Comment ce discours engagé fait-il le sombre tableau d’une Espagne en ruine et d’un peuple meurtri sous les

et injuste des courtisans qui défilent du plus terrible ‘’Tigre’’ aux ‘’simples mâtins’’. La Fontaine épargne le Roi, même si ’il y a une critique implicite : il n’est pas magnanime (=indulgent, clément), car il devrait être juste envers son peuple. Conclusion : Tout au long de cette fable sombre, La Fontaine fait intervenir successivement des animaux : le Lion, Le Renard et l’Âne, chacun représentant une classe sociale. Le fabuliste nous montre une vision pessimiste de la nature humaine

l'angoisse, lui donnent...' vient rejoindre la temporalité du début du sonnet, comme un cercle qui se referme, comme une misère toujours renouvelée. >cette construction met en opposition tout le contenu des propositions subordonnées de temps (misère du peuple) avec le contenu de la proposition principale (attitude de Dieu) Commentaire L'image de la guerre est très dure, on a une impression de confusion. C'est un véritable massacre, les morts sont nombreux et ne deviennent plus qu'une masse sans