Le Penseur

Dès le XVIIe siècle, à travers les écrits de dénonciation de Fénelon, on trouve les prémisses d'une critique vis à vis du trône, et qui serait à l'origine d'un type de pensée contre-révolutionnaire. Cette pensée se caractérise par l'idée qu'ont les penseurs de la contre-révolution de la monarchie. Avant 1770, Godechot détermine trois grands courants : D'abord, un mouvement de conservatisme historique, qui veut revenir à une époque de la monarchie antérieur à l'absolutisme de Louis XIV, où le noble

la réversibilité des mérites et des fautes. Leroux renverse le sens de la solidarité, elle « n'est pas ce qui nous rattache indéfiniment à la malédiction du passé, mais ce que l'avenir a la charge de réaliser »8. La solidarité est surtout pour le penseur une façon de dépasser l'opposition entre individualisme et socialisme, qu'il présente comme deux pistolets braqués l'un contre l'autre. Cependant, la pensée de Leroux reste imprégnée de métaphysique et de religion, car il ne peut se résoudre à accepter

malgré ce qu'il a subit 3)Le philosophe est un penseur qui réfléchit sur le monde,l'homme et la condition humaine.Le XVII eme siécle est le siècle de grands philosophes qui prennent souvent pour modèle la monarchie anglaise plus libéral et plus tolérant.Les Lumières sont un mouvement culturel et philosophique qui a dominé, en et particulièrement en France, le XVIIIe siècle auquel il a donné, par extension, son nom de siècle des Lumières. Les penseurs de cette époque ont marqué le domaine du savoir

peut mener à la paralysie du système institutionnel de l’Etat. Comment se détermine la séparation des pouvoirs dans la constitution ? Si la séparation des pouvoirs revêt un caractère historique qui met en avant les conceptions de grands penseurs, elle présente aujourd’hui différents modèles . I- La théorie de la séparations des pouvoirs : La séparation des pouvoir est une principe qui a été développé et théorisé par Montesquieu. Son but était toutefois d’éviter le pouvoir tyrannique

pleinement, cependant la société permet de nous faire travailler, donc avoir un emploi et ainsi il est plus réalisable de payer ses obligations. L’homme est confus et choisit souvent la voie facile, c’est-à-dire se conformer à la communauté. Le penseur Freud, a établi une théorie bien précise sur les composantes de l’esprit humaine. Selon lui il est divisé en trois parties : 1. le ca (inconscient= Tylor) : Il est basé sur un instinct, une pulsion. Il est tellement attiré par le plaisir qu’il peut

importante que jamais dans la mesure où ce qui se passe maintenant c'est l'égarement. Nous nous sommes détournés des problèmes profonds et des gens qui s'en occupent: les écrivains, les penseurs... Les hommes de culture et les penseurs ont été discrédités et sont maintenant à la merci des hommes de culture et des penseurs occidentaux. On a par exemple dissout l'Institut des Sciences Humaines. C'est pourtant au sein d'un institut comme celui-là qu'on faisait des recherches approfondies sur nos cultures

sa vie selon ses envies, ses besoins et ses capacités. La liberté de penser se veut totale et les croyances de l’époque sont alors remises en cause. Cela inclut donc un certain relativisme par rapport à Dieu qui entraîne la persécution de nombreux penseurs et scientifiques humanistes par l’Eglise catholique durant la Renaissance. Bien entendu la foi n’est pas forcément reniée, certains humanistes au contraire mettent leurs connaissances au service de la religion et vont parfois jusqu’à tenter de prouver

en effet d'avoir renouvelé celle-ci. Machiavel ou Hobbes ont tous deux voulu fonder la philosophie politique comme science, en la séparant nettement de l'éthique (alors que cette dernière et la politique étaient inséparables chez les trois grands penseurs de l’Antiquité qu'étaient Socrate, Platon et Aristote). En outre, aussi bien Spinoza et Hobbes que Machiavel ont cherché à fonder la philosophie politique sur l'étude de l'homme tel qu'il est — et non de ce qu'il devrait être comme le faisaient les

Gottfried Wilhelm Leibniz est un penseur allemand né en 1646 et mort en 1716. Esprit remarquable, il était à la fois philosophe, mathématicien, juriste et diplomate. Il a laissé de nombreux écrits importants comme le Discours de métaphysique en 1686 et les Essais de théodicée en 1710. Le texte que nous devons commenter est précisément extrait des Nouveaux essais sur l'entendement humain, composés en 1704 en réaction à l'Essai sur l'entendement humain du philosophe anglais John Locke. Dans cet extrait

Il fut philosophe, mathématicien et politologue français. Montesquieu : Né le 18 janvier 1689 et mort le 10 février 1755, Charles-Louis de Secondat est connu sous le nom de Montesquieu car il était baron de Montesquieu. Il est moraliste et penseur politique, précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain des Lumières. Ses ouvrages principaux sont Lettres persanes et De l’esprit des lois. Tous les deux furent publiés sans nom pour éviter toute censure ou poursuite. Diderot : Denis