Le Paysage Desnos

.................................. 19 Piste 4 : Poésie et paysage ................................................................................................................... 19 1. Le paysage poétique au cœur des grands courants esthétiques ............................................ 19 2. Le jardin comme art de vivre .................................................................................................... 20 3. Paysage avec ou sans figures ....................................

passant, les toiles de Miró deviennent toujours plus abstraites, et leurs formes toujours plus organiques. On y sent rôder l’esprit de Vassili Kandinsky, Jean Arp, ou Paul Klee, dont Miró découvre l’œuvre dans une galerie parisienne en 1925. Les paysages peints à la fin de cette période, montrent le talent de coloriste de l’artiste : les couleurs fondamentales, rouge, jaune et bleu, sont souvent mises en valeur par deux couleurs de fond. Les portraits imaginaires, s’inspirant de plusieurs portraits

des arbres. Quelques-uns de mes amis y sont installés à demeure : voici Louis Aragon qui part ; il n’a que le temps de vous saluer ; Philippe Soupault se lève avec les étoiles et Paul Éluard, notre grand Éluard, n’est pas encore rentré. Voici Robert Desnos et Roger Vitrac, qui déchiffrent dans le parc un vieil édit sur le duel ; Georges Auric, Jean Paulhan ; Max Morise, qui rame si bien, et Benjamin Péret, dans ses équations d’oiseaux ; et Joseph Delteil ; et Jean Carrive ; et Georges Limbour, et Georges

Jacques Prévert, Paroles, 1869. Jacques Prévert naît en février 1900 à Neuilly-sur-Seine. Son père le pousse à la lecture et vers le théâtre. C’est en 1922 qu’il revient à Paris où se forme, avec lui, le mouvement des surréalistes comprenant Desnos, Aragon, Arthaud,… En 1930, Prévert s’oppose à André Breton et quitte le mouvement surréaliste. Il fonde en 1932, le groupe Octobre et c’est lui qui écrit les textes pour la troupe. Depuis 1936 Prévert a pris ses distances avec le parti communiste

des arbres. Quelques-uns de mes amis y sont installés à demeure: voici Louis Aragon qui part; il n’a que le temps de vous saluer; Philippe Soupault se lève avec les étoiles et Paul Éluard, notre grand Éluard, n’est pas encore rentré. Voici Robert Desnos et Roger Vitrac, qui déchiffrent dans le parc un vieil édit sur le duel; Georges Auric, Jean Paulhan; Max Morise, qui rame si bien, et Benjamin Péret, dans ses équations d’oiseaux; et Joseph Delteil; et Jean Carrive; et Georges Limbour, et Georges

suis né pour te connaîtrePour te nommer : Liberté. Poème qui rend le monde meilleur : Paul Eluard : "Je te l'ai dit pour les nuages" ==> rend le monde plus beauSous la plume poétique d'Eluard, l'œil se transforme. Tantôt visage, tantôt paysage, c'est le monde qu'il embrasse, par la fenêtre ouverte, sur le front découvert. Alors oui, toute caresse, toute confiance peuvent se survivre. Car le monde a changé au souffle du poète. Il peut, maintenant, faire accueil à sa beauté. Extrait :

les enjambements, les parallélismes et les oppositions, les assonances et les allitérations, créent un dynamisme musical qui facilite la mémorisation et la diffusion des textes.          Ces caractéristiques se retrouvent dans le poème classique (« Le Legs » de Desnos) 3.    Thèmes : Le poète prend la plume lorsque les droits de l’homme sont bafoués dans différents domaines : -  religieux (intolérance, fanatisme) - social (injustice, inégalité, misère, racisme…) : V.Hugo dénonce le travail des enfants dans

sensible de la réalité et veut découvrir l’harmonie mystérieuse du monde. Préfère la suggestion et l’allusion à l’approche naturaliste. Verlaine, Rimbaud, Laforgue, Mallarmé = préférence du flou, de l’imprécis. Fluidité éphémère et fluctuante des paysages, lumière constamment changeante : elle modifie les contours et les couleurs. « Art poétique » de Verlaine : vers impaires, imprécis, prône la musicalité. Réalité de la vie intérieure est très complexe. Les secrets échappent à la perception directe

personnification. | |8 |2h |- Ce coeur qui haïssait la guerre... |Analyser deux poèmes, leurs formes et |- Le poème en vers libres / le poème en vers | | | |et Demain... de Robert Desnos. |les images poétiques. |réguliers. | | | | | |- La métonymie, la métaphore, l’hyperbole

des arbres. Quelques-uns de mes amis y sont installés à demeure: voici Louis Aragon qui part; il n’a que le temps de vous saluer; Philippe Soupault se lève avec les étoiles et Paul Éluard, notre grand Éluard, n’est pas encore rentré. Voici Robert Desnos et Roger Vitrac, qui déchiffrent dans le parc un vieil édit sur le duel; Georges Auric, Jean Paulhan; Max Morise, qui rame si bien, et Benjamin Péret, dans ses équations d’oiseaux; et Joseph Delteil; et Jean Carrive; et Georges Limbour, et Georges