Le Paysage Changeur

Préface = Le recueil de poèmes choisit est «Paroles» de l'auteur Jacques Prévert. Il est publié en 1946. Le recueil se compose de 95 textes, non-ponctués, et de formes et de longueurs variées: «L'Automne» qui comporte seulement 4 vers, et «La paysage changeur» de 84 vers. Quelques-uns des poèmes du recueil avaient déjà été auparavant publié dans les journaux. Mais la majorité d'entre eux sont inédits à cette époque. J’ai également lu des textes en prose, en vers libre, avec l'utilisation de rimes

répulsions la trinité pétiniste en mettant en cause les valeurs de la famille (Familiale – La pêche à la baleine), la patrie (L'épopée – Histoire du cheval) et le travail qu'il présente comme une exploitation et une humiliation (Le temps perdu - Le paysage changeur – Dîner de têtes - L'effort humain où l'on trouve une expression qui résume tout : " La terrifiante chaîne où tout s'enchaîne / la misère le profit le travail la tuerie ". Prévert dénonce aussi d'autres oppressions comme l'emprisonnement (La

prolongent quelques initiatives individuelles. Le besoin de terres nouvelles n'est pourtant pas totalement assouvi. La hausse des prix de la terre et du blé en témoigne, tout autant que les procès qui opposent les seigneurs aux communautés rurales. Le paysage occidental se transforme. Dans les zones bocagères de Normandie, l'habitat est dispersé, souvent le long d'une route; un enclos bien délimité jouxte la maison. Dans la Brie ou dans le Sud-Ouest, le village est groupé, ceinturé de champs ouverts. Et

la Peste noire est particulièrement lourd : depuis le début de la guerre, les Anglais accumulent les victoires : L’écluse en 1340, Crécy en 1346 et Calais en 1347. Ces défaites s’ajoutent aux crises du XIVe siècle et ne manquent pas d’assombrir le paysage dans le royaume de France. La guerre a des conséquences dramatiques dans le monde urbain : désorganisation de l’économie, de la production comme des réseaux de distribution. La production agricole, vitale pour nourrir les villes, connaît des difficultés

aux villes, tout en restant d'abord réservé à trois d’entre elles : La Mecque, Médine et Jérusalem, en raison de leur importance religieuse. Le fait qu'on trouve un tel écrit sur Bagdad montre donc l'importance qu'avait acquise la ville dans le paysage musulman. Ce type de témoignage constitue pratiquement notre seule source sur la Bagdad médiévale, car il ne reste aujourd’hui presque rien au niveau archéologique. ! Auteur Abu al-Wafa Ali Ibn Aqil (1040-1119) est un théologien musulman

(Jules Renard ) DEFINITION : La syllepse emploie le même mot dans les deux sens, propre et figuré, à un bref intervalle. Il s’agit souvent d’un jeu de mots, un calembour . [De deux choses lune l’autre c’est le soleil (Jacques Prévert, le paysage changeur in Paroles]. Pour l’interrogation : les élèves doivent donner les termes de la syllepse et doivent expliquer leur sens propre et figuré. 3.2. Le chiasme Il s’agit de quatre éléments (deux à deux de même fonction et nature) et les deux derniers

met en cause les valeurs de Pétain de la famille (« Familiale » , « La pêche à la baleine »), la patrie (« L'épopée » , « Histoire du cheval) » et le travail qu'il présente comme une exploitation et une humiliation (« Le temps perdu » , « Le paysage changeur » ,« Dîner de têtes », « L'effort humain » où l'on trouve une expression qui résume tout : " La terrifiante chaîne où tout s'enchaîne / la misère le profit le travail la tuerie ". Prévert dénonce aussi d'autres oppressions comme l'emprisonnement

DM2 – Lecture cursive d’un recueil de poèmes et travail à faire dessus Choisissez l’un des recueils suivants et répondez aux questions en un travail bien présenté. Deux recueils de poésie amoureuse : - Marceline Desbordes-Valmore, Amours (dans Poésies inédites), 1860 - Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou, 1947 Deux recueils de poésie contenant quelques poèmes amoureux : - Jacques Prévert, Paroles, 1946 - Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978 et Je cours après mon ombre, 1981Marceline

soluble, gazeux, solide (Butor « J’ai vu » (Illustrations IV) “J'ai vu des mots-algues et méduses / lessivés par des phrases -dérives J ai vu des textes liquides / rouler en vagues sur eux-mêmes J’ai vu des textes-alizés déployer / des nuages de paysages en gouttelettes J ai vu des mots-râles et plaies / déchiquetés par des phrases-bistouris J ai vu des courants / de textes liquides se mêler J’ai vu aux confluences des textes – fleuves / des radeaux de phrases brisées / enchevêtrées dans les

mort-nés, ni faits ni à faire, la vie qui manque… c’est pas grand-chose… ou bien alors ils ont vécu tout à la phrase, tout hideux noirs, tout lourds à l’encre, morts phrasibules, morts rhétoreux. Ah ! que c’est triste ! Chacun son goût. « Le paysage changeur » de Prévert de deux choses lune l'autre c'est le soleil les pauvres les travailleurs ne voient pas ces choses leur soleil c'est la soif la poussière la sueur le goudron et s'ils travaillent en plein soleil le travail leur cache le soleil