Le Pays Des Morts

Fiche Histoire des Arts 3ème "L'oeuvre d'art et la mémoire" Etudier un monument aux morts : l'exemple du "Poilu victorieux" de Beauménil (Eure) OEuvre : Monument aux morts, le Poilu victorieux Sculpture de bronze d’Eugene-Paul BENET (1863-1942) sur socle de beton, 1920 Beaumesnil (Eure) I – Interroger l’oeuvre sur différents plans A) la forme 1) Quel est le genre de cette oeuvre ? Un bâtiment civil, un monument. 2) La composition > Complète la description de l’edifice en

comprenant plusieurs nationalités). Les territoires revendiqués par la France sont : l'Alsace et la Lorraine. Les territoires revendiqués par l'Italie sont : Trentain, Istrie et Dalmatie. Les pays de la tripe-Entente en 1914 sont : La France, Le Royaume-Unis, La Grande-Bretagne et d'Irlande et l'Empire Russe. Les pays de la tripe-Aliance sont en 1914 : l’Italie, l'Empire Allemand et l'Empire Austro-hongrois. Les peuples slaves du Sud de l'empire Austro-hongrois : Slovènes, Croates, Bosniaques. LA Serbie

GUERRES MONDIALES ET ESPOIR DE PAIX 1) La 1ère guerre mondiale, première guerre totale ? Une guerre totale : est une guerre qui implique un grand nombre de territoires à l’échelle mondiale + qui mobilise toutes les ressources et les forces des pays belligérants (civils, soldats, matières premières, sociales, politiques…) 1ère guerre mondiale = matrice du XXème siècle a) Ledéroulement du conflit Conflit austro-serbe (assassinat de l’Archiduc François Ferdinand héritier trône Autriche

états inflation (hausse général prix) tous les pays, union sacrée (partis politiques s'unissent derrière gouvernement) gouvernement demande reconversion industries service guerre vie civil difficile : assurer production : ravitaillement armées pénurie (manque de qq.) restriction (limitation) réquisition (confiscation biens d’une personne ) angoisse, peur perdre leurs proches femmes rôle particulier : remplacent hommes campagnes, usines pays soumis intense propagande (publicité) et censure

Mais dans le même temps, la mouvance a perdu de sa force et de son unité. Cela est d’abord lié à l’absence d’une base centralisée – Quartier Général, lieu d’entraînement, zone de repos – qui n’a pas été retrouvée depuis le défaite d’Afghanistan. Les pays musulmans sont au premier plan de la lutte antiterroriste et leurs populations ont majoritairement compris la perversion du combat jihadiste. Des frappes régulières neutralisent les militants les plus expérimentes. Le niveau qualitatif des frappes

et la fureurIntro :Champs de bataille vus depuis un dirigeable. Période avant 1914 surnommée la Belle Époque. Mais guerre interrompt ce cycle de progrès : cortège de souffrances et de morts avec millions de morts et blessés. Après la guerre sentiment pacifique qui domine, on commémore création de monuments aux morts. Rescapés sont marqués dans leur chair : surnommés les gueules cassées. Première Guerre Mondiale est + meurtrière que la 2ème pour les Français car deux fois plus d’entre eux y sont décédés

à Tiébissou Il y aurait une quinzaine de morts et plusieurs dizaines de blessés dans la capitale économique. 800 caques bleus sont déployés autour du QG de Ouatarra. La situation menace de devenir totalement incontrôlable en Côte-d'Ivoire. Si à Abidjan, le camp Gbagbo semble avoir réussi à contenir la mobilisation des partisans du président élu, Alassane Ouattara, au prix de nombreuses victimes, des affrontements ont éclaté dans le centre du pays, laissant craindre une généralisation des combats

Le Monument aux Morts QUOI? Le Monument aux morts de Péronne est un monument pour commémorer et pour honorer le sacrifice des soldats morts pour la Première Guerre mondiale, c’est un monument pacifiste. Le but dans lequel est fait ce monument est qu’il exprime le souvenir douloureux et glorieux de nos morts victorieux. Ce lieu de mémoire est au cœur de l’espace public à la visibilité des vivants. 1. C’est un bas-relief que montre une scène de vie quotidienne dans les tranchés des soldats vivants

contrôle des villes d'Abidjan, Bouaké et Korhogo. Ils échouent dans leur tentative de prendre Abidjan mais parviennent à occuper les deux autres villes, respectivement dans le centre et le nord du pays. La rébellion qui prendra plus tard le nom de « Forces Nouvelles » occupe progressivement la moitié nord du pays, le coupant ainsi en deux zones géographiques distinctes : le sud tenu par les Forces Armées Nationales de Côte d’Ivoire (FANCI) et le nord tenu par les Forces Armées des Forces Nouvelles (FAFN)

Djebar, la « fille de la montagne », se définit comme une « fugitive », comme une « étrangère » à ce pays : « Moi, la lointaine, presque l’étrangère, l’errante en tout cas. » (B. A, p. 55)1. Son œuvre est traversée de ce sentiment de « dépossession » ou de « déshérence » qui en fait une « expulsée » de l’espace algérien, espace, pourtant, presqu’exclusif de son écriture. Comme on aborde un pays toujours à travers ses deux aspects géographique puis historique, nous adopterons dans cette communication