Le Pauvre Petit Garcon

des nombreux habits noirs qu’elle portait, car oui, Veronica ne vivait pas une adolescence des plus paisibles. Souvent insultée, maltraitée et même battue une fois, elle n’a cessé de vivre dans la peur et le rejet. Les filles l’ignoraient, les garçons la traitaient de repoussoir et ne trouvant compagnie auprès de quiconque, elle trouvait refuge sous le chêne de la grande cours du Lycée, à lire l’un de ses nombreux bouquins sur les serpents qu’elle admirait par-dessus tout. Elle pouvait se retrouver

reviendrait bien trop cher ! Alors soit on ferme les yeux en continuant d'acheter ces produits, ou comme le font certains, on hurle haut et fort que cela est inadmissible, révoltant, digne d'un âge barbare… puis on s'empresse d'aller acheter une petite robe chez H&M, « made in china » évidemment. Logique me direz vous ? On profite de la pauvreté de certains pays, en encourageant ces travaux, qui privent les enfants d'éducation, et ainsi leur espoir de réussite loin de ce monde. Car admettons le

.....................................................5 2 La famille..............................................................................14 3 Le collège ..............................................................................27 4 La petite ville ....................................................................... 34 5 La toilette..............................................................................41 6 Vacances ............................................................

Mon bel oranger Roman autobiographique Zézé est un petit garçon de 5 ans dont la famille est très pauvre. Il a 2 frères et 3 sœurs. Ses frères s’appellent Luis et Totoca et ses sœurs Gloria et Jandira et Lala. Zézé est appelé petit diable car il ne fait que des bêtises et il a d’ailleurs l’habitude de se faire battre par ses parents. Il est très intelligent car il a appris à lire seul et il n’a que 5 ans. Sa famille doit déménager dans une maison avec un jardin. Ses frères et sœurs s’approprient

activités économiques, et qui s'avoisinent à l'exercice d'une profession par un adulte majeur. Soit tout type de travail, qui porte atteinte à leur développement physique intellectuel, moral et psychique. Ce type de rentrée d'argent pour les familles pauvres n'ayant aucun autre moyen que de faire travailler leur enfants, existe depuis l'antiquité. Qui sont les enfants travailleurs ? Le monde compte, selon une évaluation très générale quelques 215 millions d'enfants travailleurs d'après l'OIT (Organisation

 La privation C'était un de ces petits garçons, né dans une bonne famille argenté. Le petit allait à l’école avec les autres bourgeois des environs dans une école réservée exclusivement aux riches. Cet enfant était simple, s’accommodait de tout, mais ce qu'il aimait par dessus tout c'est de se promener dans les quartiers dans les quartiers pauvres de la ville. Il s’asseyait sous un arbre s'imaginant en train de jouer avec ces enfants de la rue

communauté des chrétiens (pour qu'il devienne chrétien). On le baptisait vite pour qu'il soit envoyé au Paradis s'il mourait jeune. II L'abandon. Parfois les enfants étaient abandonnés car on ne pouvait pas les élevé (familles nombreuses ou encore pauvre.) L’adoption peut avoir lieu au sein de la famille. Si les parents acceptent l'adoption « ils peuvent en exiger le prix d’un solidus par an jusqu' à ce que l’enfant ait dix ans. ». Ils existent aussi des hôpitaux pour enfants trouvé les enfants abandonnés

La vie devant soi, Romaine Gary I.Contexte 1) Publié en 1975, ce roman raconte la vie de Mohamed, un petit garçon arabe, élevé dans une pension pour les enfants de prostitué. Momo, garçon de 11 ans, raconte son histoire. Enfant de prostituée, il vit « au sixième à pied » chez Madame Rosa qui l’a recueilli, comme d’autres enfants, dans son appartement de Belleville. Par l’entremise de son récit, Momo nous fait découvrir sa vie, son entourage. Il passe du temps avec Monsieur Hamil, avec qui

second temps nous analyserons la relation entre les personnages, pour enfin considérer les rêves d'Oedipe et de Jocaste. Analyse : I) Le décor A. Les couleurs * Rouge : * Passion , sang ; violence. * Comparaison "rouge comme une petite boucherie" => phrase littéraire : pas d'indication pour le metteur en scène. * Blanc : "couvert de fourrures blanches" => représente Oedipe : il est vierge ; naïveté et pureté. Il y a un contraste entre les deux. B. Les objets *

Exercices préalables à l’écriture de dialogues Consigne : dans l’extrait suivant, retrouve l’auteur de chaque phrase. Qui parle ? Pinocchio Un garçon Le directeur La caissière Pinocchio arrive au beau milieu d’une place pleine de monde. Tous entourent une grande baraque de bois et de toiles multicolores. Pinocchio se renseigne. - Approchez Messieurs Dames, approchez ! Il n’y aura pas de place pour tout le monde. - Qu’est-ce que cette baraque ? - Lis l’affiche