Le Pauvre Petit Garcon

d’années,[...] tenant d’une main un petit garçon et portant sur l’autre bras un petit être trop faible pour marcher. » de Baudelaire dans « Les Yeux des pauvres » n'a que leur vue pour s'émerveiller sur une simple terrasses de café. Et c'est bien la différence qui est souvent dure à supporter, Baudelaire emploie l'expression « deux mondes » dans Le joujou du pauvre ». L'argent est un barrage très pratiquement inébranlable entre les gens qui souvent rejettent les plus pauvres ainsi que l'exprime Georges Brassens

La vie devant soi de Romain Gary est un roman formidable qui nous fait penser, pleurer et rire. Momo, un petit garçon musulman qui n'a jamais connu de parent sauf Mme Rosa, une juive qui garde les enfants de prostituées, nous raconte son histoire. L'histoire se déroule à Belleville, quartier très pauvre de Paris, mais aussi très multi-ethnique de Paris. Momo grandit autour de gens beaucoup plus vieux que lui, et il a en lui une sagesse plus grande que son âge, malgré ses moments de folie

offrent une image déformée des sentiments amoureux, avec une vision du paysan rustre et bestial, superstitieux et naïf. C’est en partie grâce aux proverbes et aux chansons que l’on peut appréhender les dogmes qui dirigeaient la vie des « petites gens » dans leur quotidien. Les archives judiciaires sont également une manne précieuse pour reconstituer certains évènements, même si malheureusement, la réalité des faits n’est pas toujours observable. Les archives nous informent davantage sur les

-Aux champs Parution : 31/11/1882 Résumé : Deux familles pauvres, les Tuvache et les Vallin, habitaient dans deux pauvres chaumières mitoyennes. Ils vivaient misérablement jusqu’au jour où un couple, Mr et Mme d’Hubières, passa près de chez eux. Ces derniers ne pouvaient pas avoir d’enfant et en étaient très malheureux. La dame prit l’habitude de venir rendre visite aux enfants et voulut adopter, moyennant finances, le petit Pierre, le plus jeune des Tuvache. La mère refusa violemment

(naissance, mariage et mort) Lisa 1. LA FAMILLE Les garçons Dès la naissance, les garçons reçoivent un médaillon, un bijou en forme de cœur ou de croissant appelé «bulle» : c’est le symbole de l’enfance. Ce pendentif les protégera jusqu’à 16-17 ans. A sept ans, les garçons accompagnent leur père à l’atelier ou aux champs et apprennent leur métier. Leurs parents leur apprenaient aussi à lire, écrire et compter. Tandis que les garçons des riches familles vont à l’école pour apprendre à lire

 Séquence I : Petites histoires à lire entre les lignes Séance 1 : Le point de vue dans un récit Objectif : Comprendre l’importance des points de vue sur un personnage Support : Manuel p.24/25 : Pauvre petit garçon, D.Buzatti : Questions 1 à 5 p.25 Pour la séance 2 : -Apprendre les classes grammaticales : p.313 et p.319 -Apprendre les fonctions grammaticales par rapport au nom : p.313 et p.351 - Ex.2 p.351, ex.p.36 (questions 1 à 4) Séance 2 : L’analyse grammaticale Objectif :

nouvelle, dans les premières pages, au moment où l’on commence à connaître le ou les personnages principaux de mieux en mieux. En effet dans l’extrait nous nous intéressons à un personnage nommé Jean Folantin. Ce dernier, issu d’une classe sociale pauvre, lutte contre l’injustice. C’est la vie difficile et misérable de cet homme ayant dépassé la quarantaine ainsi que celle de sa famille qui nous est racontée à travers la troisième personne du singulier. Nous étudierons donc dans un premier temps l’illusion

attendaient avec impatience. « Il était une fois un petit garçon qui s’appelait Hazaran. Il avait 7 ans et vivait chez sa grand- mère dans une petite maison. La vieille femme était très malade et, par manque d’argent elle ne pouvait se soigner. Le jeune paysan avait toujours eu l’intention d’adopter un chien. Le garçon a perdu ses deux parents à l’âge de 5 ans. Sa mère et son père lui avaient promis que le jour de ses dix ans, une petite fée viendrait le voir et lui permettrait ainsi d’exaucer

centrales.A la suite de son procès sur « Les Fleurs du mal » en 1857, le Spleen de Paris fut publié en 1869 après la mort de Baudelaire qui survint en 1867. « Les Yeux des pauvres » est le 25ème des cinquantièmes poèmes que compte cette œuvre, uniquement rédigés en prose. L’écrivain y aborde notamment l’indifférence envers les pauvres et l’impossibilité de communiquer les uns avec les autres.L’auteur qui s’adresse ici directement à une femme, qu’il a aimée, rend compte d’un moment passé à la terrasse

ne semblait pouvoir troubler. Mais une personne aurait préféré ne pas travailler ce jour -là, et cette personne était une jeune fille nommée Marie, la vingtaine, plutôt jolie qui devait s’occuper du bungalow 72 ce matin-là. Elle entama son « petit voyage » sur le ponton de bois qui grinçaient sous le poids du chariot dont toutes les femmes de chambre se servent pour faire le ménage. En longeant les chambres, elle s’efforçait de sourire aux clients français, américains, japonais, ... Elle passa