Le Passager de la pluie

De mon écrit, boue au sens propre, jaillis à la face de tes détracteurs2 !Tu es si belle, après l'orage qui te fonde, avec tes ailes bleues !Quand, plus que les lointains, le prochain devient sombre et qu'après un long temps de songerie funèbre, la pluie battant soudain jusqu'à meurtrir le sol fonde bientôt la boue, un regard pur l'adore : c'est celui de l'azur agenouillé déjà sur ce corps limoneux3 trop roué4 de charrettes hostiles, – dans les longs intervalles desquelles, pourtant, d'une sarcelle5

Elle provoque un échauffement de l’air (jusqu'à 30 000°c) qui rend l’air lumineux au passage de la décharge. La longueur de l’éclair peut aller de 100 m à 20km et sa vitesse est de 40000km/s. Le tonnerre est une onde acoustique due à une onde de choc provoqué par la dilatation brutale de l’air. La couleur de l'éclair nous informe sur la composition de l'air ambiant. Un éclair rouge indique de la pluie dans l'air, un bleu la présence de grêle, un jaune si il y a beaucoup de poussières

n’est que le reflet d’une justice divine qui s’abat sur les Hommes afin de les éclairer et de les ramener à la raison. C’est d’ailleurs cette thèse que défend le père Paneloux dans son prêche à l’intention de ses concitoyens. En effet, dans ce passage, situé dans la 2ème partie, alors même que le fléau vient d’être déclaré et que les autorités ecclésiastiques ont organisé une semaine de prière collective, le père Paneloux tente à travers son prêche d’éveiller la foi des Oranais, rassemblés pour

emphatiques et les parallélismes des vers 9 à 13. | |Mais le poète ne devient que le témoin d'une scène entre deux amoureux dont il se sent le complice. | |Le bonheur inonde les personnages comme la pluie. La pluie est l'image du bonheur. | | | |Un poème

littéraire : Symbolisme : mouvement essentiellement poétique qui a pour ambition de retrouver le mystère et la rêverie, à découvrir des correspondances secrètes entre la nature et l'homme. Il s'agit de créer un art pur, exigeant, où le symbole permet le passage du monde matériel au monde des idées. Avec le symbolisme, le rêve, la suggestion, le fantastique l'emportent. On retrouve les thèmes du poète exclu, solitaire, du rêve, de la musique : VERLAINE, RIMBAUD, MALLARME Genre : Poésie Thème(s) : La tristesse

deux amoureux dont il se sent le complice. Le bonheur inonde les personnages comme la pluie. La pluie est l'image du bonheur. Un poème engagé. a) Ce tableau est déchiré par un cri de colère (v. 37-38) : l'argot choque, déplacé en poésie. b) Il est remplacé par un nouveau tableau, pathétique, écrit au présent, duquel ils sont absents. On ne saura jamais ce qu'ils sont devenus dans la guerre. c) Par métaphore, la pluie devient bombardement mortifère, paysage d'horreur (v. 40-41), larmes de deuil (49)

marchais souriante Épanouie ravie ruisselante Sous la pluie Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest Et je t'ai croisée rue de Siam Tu souriais Et moi je souriais de même Rappelle-toi Barbara Toi que je ne connaissais pas Toi qui ne me connaissais pas Rappelle-toi Rappelle-toi quand même ce jour-là N'oublie pas Un homme sous un porche s'abritait Et il a crié ton nom Barbara Et tu as couru vers lui sous la pluie Ruisselante ravie épanouie Et tu t'es jetée dans ses bras

les plaisirs de la vie. 4/Choix du poème Il pleure dans mon coeur Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville,S Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s'ennuie Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce cœur qui s'écœure. Quoi ! nulle trahison ? Ce deuil est sans raison. C’est bien la pire peine De ne savoir pourquoi, Sans amour et sans haine, Mon cœur a tant de peine

ce qui montre le peu d'impact de la pluie sur son bonheur. Ce bonheur est partage par le poète, il répond au sourire de Barbara (vers 9-10). La communion entre Barbara et le poète est accentué des vers 25 à 28 où l'on peut relever le parallélisme construction. Cela crée une familiarité entre les deux êtres, le bonheur de Barbara étant communicatif. Le bonheur est également évoqué par la reprise en fin de vers de l'adjectif « heureux » vers 31,32 et 33. La pluie et la ville semblent partager le bonheur

marchais souriante É panouie ravie ruisselante Sous la pluie Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest Et je t'ai croisée rue de Siam Tu souriais Et moi je souriais de même Rappelle-toi Barbara Toi que je ne connaissais pas Toi qui ne me connaissais pas Rappelle-toi Rappelle-toi quand même ce jour-là N'oublie pas Un homme sous un porche s'abritait Et il a crié ton nom Barbara Et tu as couru vers lui sous la pluie Ruisselante ravie épanouie Et tu t'es jetée dans ses bras