Le Monstre de Londres

les marchands se réunissaient pour échanger leurs marchandises. Au 16ème siècle, c’est Anvers qui devient le plus important « centre d’affaires ». En 1531, la ville d’Anvers construit un lieu de rencontre pour les négociants: la “beurs” (bourse). Londres s’en inspire et créé une bourse identique (1565) qui deviendra le Royal Stock Exchange http://www.euronext.com/fic/000/010/679/106791.pdf La « Beursplein », place de la bourse à Bruges Les Premières Bourses n  Cette tradition se poursuit

Resume de l’oeuvre : M. Utterson est un notaire qui vit a Londres. Lors d’une de ses promenades avec son cousin Endfield, en apercevant une maison sur le passage, Enfield se souvient d’une vieille histoire qui s’est passer avec lui. Par une nuit sombre, Enfield rentrait chez lui, en chemin il voit un homme bizarre d’allure pas tres net et une jeune fille qui courait l’un vers l’autre. A leur contact, le vieil homme foula sauvagement la jeune fille aux pieds. Enfield l’ayant rattraper et les parents

6-Naissance des comédies 7-Les théâtres permanents a Londres 8- L'architecture des théâtres 9- Agencement

beaucoup. C'est de l’acrylique sur toile. Diapo peinture. Il est ambivalent dans sa peinture. Animaux, visages, paysages tout ses styles lui réussisse. Il fait des expositions très appréciées au états unis et expose en 2006 pour la première fois a Londres. Carrière cinématographique. A l'âge de 15 ans, il fait la rencontre de son compatriote Richard Burton qui l'encourage à devenir acteur. Adolescent, il voue une admiration sans borne à l'acteur gallois Richard Burton. On peut y voir richard

Richard III ou le destin d'un monstre Spécial Shakespeare - par Aude Mairey dans mensuel n°384 daté février 2013 à la page 66 (2006 mots) | Gratuit C'est la pièce de Shakespeare la plus jouée. Richard III, incarnation du tyran, n'a cessé de nourrir les fantasmes. Qui était vraiment le roi boiteux ? Oeuvre de jeunesse, écrite à moins de 30 ans, Richard III (vers 1590) a connu une fortune extraordinaire et porté sur le devant de la scène une incarnation majeure du pouvoir tyrannique dans

« Peintre des Sirènes », Ulysse et les sirènes, 480-470 avant J.-C. Stamnos (vase grec) noir à figures rouges, British Museum, Londres. I – Contexte Le monde grec Les Grecs anciens ne formaient pas un pays uni, mais plutôt un ensemble de cités-États indépendantes, contrôlant chacune un territoire. À partir du VIIIe siècle avant J.-C., les Grecs quittent la Grèce et les côtes de l'Asie mineure pour aller fonder de nouvelles cités autour de la mer Méditerranée et de la mer Noire. À bord de navires

derrière la sculpture on peut d’ailleurs observer un autoportrait de Cellini lui-même, qu’il a réalisé par le biais du casque ailé et de la chevelure du Persée (Diapo casque). Il porte une épée de la main droite, et brandit de la main gauche la tête du monstre, tandis qu’il incline légèrement la sienne vers l’avant, d’un geste élégant de dignité. On note une précision élégante et gracieuse des détails, qu’ils soient anatomiques ou matérielles. Le mouvement de sa main droite contrebalance avec la flexion

arrive à de Londres. Un traveling avant nous amène jusqu'à une grosse caisse de bois et la voix off nous explique qu'un vampire peut se déplacer le jour de façon particulière , la caméra est en gros plan sur une caisse de bois et c'est alors qu'elle explose laissant apparaitre un Dracula au mieux de sa forme ce qui peut faire penser à un œuf qui éclot pour laisser naitre un être " neuf " et plein de vie , de force. Une ouverture à l'iris introduit le personnage emblématique à Londres , Coppola joue

français à Paris chez Gallimard la même année puis créée dans sa version française à Paris à l'Odéon-Théâtre de France le 22 janvier 1960 dans une mise en scène de Jean-Louis Barrault et des décors de Jacques Noël. En avril 1960, Rhinocéros fut monté à Londres au Royal Court Theatre dans une mise en scène d'Orson Welles avec Laurence Olivier dans le rôle de Bérenger. Pièce emblématique du théâtre de l'absurde au même titre que La Cantatrice chauve, la pièce dépeint une épidémie imaginaire de « rhinocérite

prométhée moderne''. La créature, de part son aspect physique différent, est rejetée par la monde car il incite à la peur. La créature est punie alors qu'elle est innocente, elle est rejetée même si ce n'est nullement sa faute. Quoi qu'il fasse, le monstre ne pourra échapper à un destin aveugle et fixé d'avance. Il est poussé au crime par la fatalité, par la souillure des ses origines que rappelle sa difformité. En montrant les failles d'une telle société, l'auteur veut dénoncer la démarche utopique