Le Masque et la Plume

______________________________________ ______________________________________ ______________________________________ ENRICHIR SON VOCABULAIRE I. Choisissez l’adjectif qui convient le mieux. caustique idyllique encombrant crédible mordante proche 1. Il braque sa plume ___________ sur les événements marquants de l’automne 70. 2. L’auteur est persuadé que la version des faits est plus __________ que la version officielle, qu’il juge bourrée de trous et d’invraisemblances. 3. Il jette un regard ____________ sur ses

long récit, à l’aise au milieu de ces innombrables incidents qui semblent n’avoir rien coûté à son imagination, tant ils se rattachent étroitement à l’action dont ils augmentent l’intérêt, en retardant le dénouement. Là, plus rien ne l’arrête ; sa plume court et s’égare librement comme sa pensée, pour peindre avec des couleurs vraies des caractères qui ne ressemblent pas seulement à tel ou tel individu, mais à l’individu en général, et surtout, à l’homme de son temps et de son environnement. La

« bardée » (fiches jetées multicolores) ce qui donne un effet de chaos. Les agents de change se mettent en scène (l-50), sont en représentation parce qu’il y a le vocabulaire du théâtre (« coulisses », « parquet », « masque ») et de la dissimulation (« masque impossible », « masque d’airain », « secret », « cacher leurs émotions ») : ils doivent cacher leur inquiétude. SÉANCE 4 : LECTURE ANALYTIQUE (P453-454) Questions 1 à 4 p455 : L’attitude de Saccard teste conforme à ce qu’il devait être

le nom de Paul Éluard, hérité de sa grand-mère, Félicie. Il adhère au dadaïsme et devient l'un des piliers du surréalisme en ouvrant la voie à une action artistique engagée. Il est connu également sous les noms de plume de Didier Desroches et de Brun1. Sommaire [masquer] 1 Biographie 1.1 Gala et la naissance du surréalisme (1917-1930) 1.2 Nusch et le combat pour la liberté (1931-1946) 1.3 Dominique et l'engagement pour la paix (1947-1952) 2 L'Œuvre 2.1 Exaltation de l'expérience

qui ne pouvaient pas scientifiquement expliquer les phénomènes de la nature -en particulier les phénomènes célestes- ni les origines de l'homme. Ils trouvaient leurs réponses à travers le mythe. Dans ce cadre-ci, Œdipe roi est né, sous la plume de Sophocle. Le dernier raconte de quelle manière Œdipe découvre la vérité sur ses origines, registre symbolique qui est propre au mythe. Paul Diel, écrit à propos: « L'Oedipe est à la fois réalité, fantasme, concept et mythe.»[2] Toute l’œuvre est

conjoint le droit et l�æquité, Et qui portez de toute antiquité Joint à vertu le tiltre de noblesse. Ne desdaignant comme estoit la coustume, Le long habit, lequel vous honnorez, Comme celuy qui sage n�ignorez De combien sert le conseil et la plume. Ce fut pourquoy ce sage et vaillant Prince, Vous honnorant du nom d�Ambassadeur, Sur vostre doz deschargea sa grandeur, Pour la porter en estrange province. Recompensant d�un estat honnorable Vostre service, et tesmoignant assez Par le

Proust A la recherche du temps perdu. Il invite le lecteur à entrer dans une sorte de cathédrale de la critique d’une société parisienne décadente. Dans ce premier tome nous découvrons toute la complexité et l’ambigüité qui peut se cacher derrière le masque des apparences. Quand celui-ci tombe il ne reste à Marcel que la nostalgie d’un temps fugitif. Grâce à l’humour et à l’ironie, il nous propose une Œuvre unique qui prête à sourire de ses personnages ridiculisés et de lui-même enfant. Cela nous amène

saisit du coutelas. Plan de coupe sur le chien, tête dressée, en alerte (vers 5 à 8). 02 min 03 s : Séquence 6. L’heure du crime ? L’homme, en plan moyen, de dos, regarde l’heure à l’horloge du début par le hublot. Il relève un pan de son manteau, s’en masque un instant le visage. Il revient dans la pièce où se trouve le chien. La caméra zoome sur l’homme puis sur le chien, filmé à sa hauteur. L’homme regarde fixement le chien en serrant son couteau (vers 9 et 10). 5 02 min 50 s : Séquence 7. L’issue

proposition circonstancielle de temps « lorsqu'il n'est que l'écho de quelqu'un ». Le terme indéterminé « quelqu'un » jouant le rôle d'antécédent à la proposition relative [« qu'il vient de quitter »]. La syntaxe se complique de plus en plus sous la plume du moraliste : les subordonnées s'accumulent à l'infini comme si La Bruyère voulait nous perdre dans le labyrinthe des apparences que veut se donner Ménippe. Comportement de l'hypocrite, son jeu est celui d'un acteur. Mais son hypocrisie, au lieu d'être

 ” 5°) Les métaphores sur le journal et les journalistes : voyez page 53 (l.11-18 : “ …débitants de comédie humaine à la ligne ”) ; pages 78 (l. 24 : "…la mise en scène était parfaite " = décor de théâtre) et 79 (l. 3 "…l'air d'une cocotte (…) masque tragique (…)" et 5 : "artificiel" ) ; page 101 (l. 8 à 16 : "…certains confrères aller la poche pleine d'or…"). Relevez et commentez ces métaphores. Première partie, chapitres 5 à 8 ( pages 102 à 226 ) CHAPITRE 5