Le Loup blanc

l'acte et le lexique utilisé, ceci ouvre la voie à l'injustice. La forme et le fond sont complètement disproportionnés. En effet se décalage a deux fonctions : cela met en évidence une attitude extrêmement repenti de l'âne, cela provoque l'accusation du loup et prépare son châtiment. On voit bien ici que c'est la forme du discours, la rhétorique qui donne l'apparence de la justice et qu'au fond la situation est loin d'être juste. Dans un second temps, nous verrons combien cette fable dénonce l'injustice

l’enfance, les jeunes Russes, imprégnés de proverbes, les emploient et s’en délectent. Partie intégrante de la littérature et du folklore, ils abondent dans les œuvres populaires – chansons et légendes. Nombre 8 de proverbes sont issus de contes (« Le loup a beau inviter la chèvre au festin, elle ne vient jamais ») et de chansons (« Les cheveux frisent de bonheur et défrisent de malheur »). Les écrivains russes y ont souvent recours. Léon Tolstoï avoue que la lecture d’un recueil de proverbes compte

dans une mauvaise situation et la foule va s’attaquer au plus faible. S’ensuit un procès expédié B- Un procès expédié - Hostilité de la foule : « haro l.55 Procès improvisé contre l’âne Loup => église Procès parodique, ridicule. On a des doutes sur le loup et sa fiabilité, compétence. On peut évoquer la partialité des arguments : ceux-ci sont racistes « pété, gâteux » => tout est fondé sur des préjugés. « Un crime abominable », « un cas pendable » => gradation

ses maîtresses, et celles-ci aussitôt firent de même. La grenouille d'un bond sauta sur le perron, redevint Vassilissa la Sage, puis dans ses mains elle frappa: «Mes nounous, hâtez-vous, préparez-vous ! Faites cuire pour demain un bon pain blanc, le pain blanc que je mangeais chez mon père.» Lorsque le prince Ivan s'éveilla le lendemain matin, il trouva sur la table un pain merveilleusement décoré: des arabesques étaient incrustées, sur ses flancs et dessus se dressaient des villes entourées de leurs

arrivèrent auprès du temple, le soleil venait de se lever et baignait le petit monument de sa lumière dorée. Soudain Publius s’arrêta net. « Grands dieux ! » s’écria-t-il avec frayeur en montrant du doigt le temple. Et les élèves purent lire sur le mur blanc ces mots tracer à la peinture rouge sang : CAÏUS EST UN ÂNE Résumé : Caïus dit à son père que Rufus est coupable. Rufus est mis en prison. Les enfants veulent prouver que Rufus est innocent. Mais le père de Caïus (un haut fonctionnaire)

verne -La gloire de mon père / Marcel Pagnol -Le château de ma mère / Marcel Pagnol -Le petit prince /Antoine de Saint-Exupéry -La cicatrice/Bruce Lowry -Le fils du loup bleu/Martine Pouchain -C’était mon oncle/Yves Grevet -Le roi de la forêt brumes/Gilles Fontaine -L’œil du loup/Daniel Pennac -Cabot-caboche/Daniel Pennac -Croc Blanc/Jack London -Le perroquet qui bégayait/Alfred Hitchcock -La série des Sans Atout de Boileau Narcejac -Mon ami Frédéric/Hans Peter Richter-Mon bel oranger/José Mauro

circulent encore parfois lors des cérémonies de Carnaval, apparaissent également à l'époque moderne. Ils ressuscitent une tradition antique selon laquelle le héros, pour fêter sa victoire, traversait Rome sur un char de triomphe, tiré par des chevaux blancs. Aujourd'hui, le char transporte les personnages déguisés. Cette tradition carnavalesque a tendance à disparaître : après la Guerre de 1870 et la Première Guerre Mondiale, les déguisements s'éclipsent des places publiques. On les trouve alors principalement

de trouver l’animal ayant commit une faute. Plusieurs animaux se succèdent alors, dont un âne qui avouera avoir mangé de l’herbe qui ne lui appartenait pas et un loup qui dira qu’il faut, par conséquent, le tuer. La morale qu’on peut tirer de cette œuvre est : si vous êtes puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendent blanc ou noir… Autrement dit suivant qu’on se trouvera soit éminent, soit insignifiant, un arrêt de tribunal vous déclarera soit pur, soit souillé. Nous allons nous demander

dans deux médaillons parents et enfants, on lie très clairement sur le visage de Tognina son exaspération et même un regard menaçant. Le peintre renforce ainsi le caractère animal de ses sujets, la description de Tognina la rapproche indéniablement du loup. En même temps que leurs portraits peints ou déssinés s'accumulent, l'Empereur Rodolphe II ordonne leur inscription dans son "Catalogue de Curiosité", ils sont placés parmi les "erreurs de la nature", décrits et agrémentés d'une peinture de Von Kavestyn

des premières civilisations. Autrefois regroupé dans une espèce à part entière, Canis canis ou encore Canis familiaris, la recherche génétique a confirmé son origine, qui bien que probablement diverse3,4, découle principalement de la domestication du loup gris commun. Malgré des différences morphologiques majeures, les scientifiques regroupent ainsi l'ensemble des races de chiens au sein d'un groupe nommé Canis lupus familiaris, une sous-espèce de Canis lupus. Des chiens domestiqués, puis redevenus