Le Livre Est Un Moyen De Divertissement

rien de superflu et elle n'est pas prodigue dans l'usage des moyens pour atteindre ses fins. Qu'elle ait donné à l'homme la rai­son et la liberté du vouloir qui se fonde sur elle, c'était déjà l'indication de son intention en ce qui concerne la dotation de l'homme. Ce dernier devait dès lors ni être conduit par l'instinct, ni être pourvu et informé par une connaissance innée. Il devait bien plutôt tout tirer de lui-même. L'invention des moyens de se nourrir, de s'abriter, d'assurer sa sécurité et sa

_______________________________________________ DOCUMENTS A) Cyrano de Bergerac, Les Etats et Empires du soleil, 1662. B) Jean de La Fontaine, Les Obsèques de la lionne, Fable 14, livre VIII, 1678. C) Montesquieu, Lettres XXX, Lettres Persanes, 1721. A Question de préparation Comparez ces trois textes en montrant leurs différences et leur point commun, vous préciserez notamment par quel moyen essentiel la critique est rendue possible. B Commentaire. Vous ferez le commentaire de la fable de La Fontaine. C Dissertation

Ve siècle ACN en s’inspirant de l’article de Jesper Svenbro ainsi que de celui de Guglieno Cavallo, parus dans Histoire de la lecture du monde occidental. Il importe de se remémorer dans un premier temps que l’oral fut pendant longtemps le seul moyen de communication mis à la disposition des hommes. Effectivement, les premières écritures n’apparurent qu’aux environs de 3300 ACN dans la région de Sumer, 3000 ACN en Egypte. Quant à l’écriture cunéiforme des Phéniciens, elle fut reprise par les Grecs

Fourmi » de Jean de La Fontaine Livre I, Fables, 1668 « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes », explique le fabuliste Jean de La Fontaine, appartenant au mouvement du classicisme, dans l’épître dédicatoire de son premier recueil de Fables paru en 1668. Dans ses fables, Jean de La Fontaine choisit comme personnages des animaux. Derrière chaque animal il existe une signification symbolique. C’est le cas dans « La Cigale et la Fourmi », première fable du livre I de son recueil. Cette fable

matières Introduction 3 Présentation du Colisée de Rome 4 Justification du choix de l’héritage 4 Fiche de lecture d’un livre 5 Fiche de lecture d’un site web 7 Présentation de Jules César 9 Justification du choix du personnage 9 Fiche de lecture d’un livre 10 Fiche de lecture d’un site web 12 Conclusion 14 Médiagraphie 15 Introduction Les époques de l’Antiquité et du Moyen Âge ont été marquées par plusieurs personnages importants. Ces deux époques ont aussi laissés leurs lots d’héritages dans

travaillaient pas et pouvaient jouir éternellement de cette plénitude. Mais contre l’ordre divin, Adam croqua dans le fruit défendu  Or le plaisir, selon Nietzsche, c’est la « sensation d’un accroissement de puissance » (in La Volonté de Puissance, Livre II). Si l’homme prend du plaisir à travailler, cela signifie donc que le travail provoque chez lui un sentiment d’accroissement de puissance. Du latin potens, puissance signifie pouvoir, faculté. Le jardinier, en travaillant acquiert des habiletés

inventions si utiles et tout ensemble si agréables ». Cette prière, adressée au dauphin, est, pour lui, une façon de se demander si les oeuvres à caractère argumentatif peuvent à la fois plaire et instruire. Autrement dit, les récits engagés sont-ils un moyen d’enseigner à la fois efficace et distrayant ? Pour répondre à cette question, nous verrons tout d’abord en quoi certains aspects de l’écriture inventive peuvent parfois amoindrir la portée d’un message, puis nous démontrerons que, dans la plupart

nouveaux mots et de nouvelles tournures (exemple la métaphore) Banir les formes poétiques médiévales Renouveau de la littérature d'idées (3 genres principaux) Les romans de Rabelais (1494?-1553?) Contes (Pantagruel, Gargantua, Tiers livre et quart livre) Il aborde les grands thèmes de la pensée et des préoccupations de la renaissance (education, critique de l'institution religieuse, absurdité de la guerre). Il veut faire reflechir son lecteur tout en le faisant rire Les traités théologiques

sera d’abord mis en avant. Mais, on ne lit pas des contes seulement pour se divertir. Il faut savoir apprendre d’une lecture. L’édification d’une œuvre sera donc notre deuxième file conducteur. Malgré cela nous terminerons par le constat suivant : un livre qui ne nous apprend rien n’est d’aucune utilité, l’œuvre doit apporter un raisonnement plus large sur notre monde afin qu’on puisse philosopher par nous même. L’émerveillement, l’originalité et le respect des modes sont les trois ingrédients qui

particulièrement varié, non seulement selon ses goûts, mais à travers les lieux et les époques. Le théâtre, le roman, l’apologue, la poésie sont autant de formes littéraires qui à la fois touchent un public très large et très varié, et permettent d’allier le divertissement ou le plaisir à une réflexion instaurée par l’auteur. Au XVIIe siècle, La Fontaine, sous couvert de fables pour les enfants, critiquait de manière plaisante et piquante la cour ou la société et les comportements humains en général ; le siècle