Le Livre des médiums

dans l’introduction de leur Histoire de la lecture dans le monde occidental, référence à une des trois révolutions de la lecture : • la première concerne la passage, au XIIe siècle, de la lecture oralisée de l’écrit à la lecture silencieuse du livre. • la seconde fait référence au passage, dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, de la lecture intensive (fortement empreinte de sacralité et d’autorité) à la lecture extensive (libre, désinvolte, qui manifeste d’une « rage de lire ») •

spectacularisation de l’information liée à l’image tend à décrédibiliser l’information, au point de n’en faire qu’un spectacle. C’est cette emprise du support sur le signifié que résume la formule célèbre du sociologue canadien Marshall McLuhan (1911-1980) : “Le medium est le message” : vidée de son sens, l’image télévisuelle est subie par le téléspectateur : la culture devient consommation, la découverte voyeurisme ! Il n’est donc pas étonnant que le “village global” de Mc Luhan soit devenu un immense champ de

occasions de rencontrer des ouvrages qui nous offrent une véritable expérience sensorielle. Peu importe s’il s’agit d’un film ou d’un roman, lorsque l’on dit « consommer » une œuvre, il représente en soi un chef-d’œuvre. C’est le cas présent du livre Le parfum paru en 1985 qui rapporte un succès monstre international. L’auteur Patrick Süskind accèdera au sommet de la gloire mondiale grâce à la plume légère qu’il nous fait grâce dans cet écrit. En 2006, il a été adapté en œuvre cinématographique

CORRECTION BAC 2014 FRANCAIS séries A B C D E H PREMIER SUJET : Résumé du texte argumentatif TEXTE : Le livre dans l’impasse ? AUTEUR : Jean-Louis CURTIS, Question à la littérature, 1973. I. REPONSES AUX QUESTIONS 1) La littérature écrite (le livre) est appelée à disparaître au profit de l’image. 2) « bombardement continu » omniprésence, agressivité, invasion des images. « Plongée verbale de vingt pages » lecture d’un long texte, d’un discours de vingt pages. II. RESUME Structure et idées essentielles

hommes politiques s’emparent d’un médium qui leur permet de parler en direct à des millions de Français. Le premier à e faire est De Gaulle, mais tous lui emboitent le pas. Dans les années 1980, l’arrivée de l’audimat oblige les chaines à se battre entre elles et avoir des objectifs commerciaux. On accuse la télévision de niveler le débat, de s’intéresser plus aux détails qu’aux idées. Ce reproche lui est fait en 1967 par l’écrivain Guy Debord dans son livre La Société du Spectacle C- LES

installations d’objets fétiches, …) témoigne de la manière dont on appréhende et interprète son « réel », suivant son âge et son histoire. La thématique de l’autoportrait pose avidement la question du « Qui suis-je ». Le peintre, face à lui-même, livre au spectateur une part de lui-même. L’homme social y côtoie l’être privé. Mais comment différencier l’autoportrait de l’autobiographie ? L’autobiographie englobe-t-elle l’autoportrait ? FRANCIS BACON, Autoportrait, 1978, huile sur toile, 35 x

la question du corps féminin, beaucoup de médiums (photographie, numérique ect... ). Se rebelle sur une fatalité génétique, sur son histoire familiale. A toujours utilisé le corps comme matière première de ses œuvres et c'est en 1778 qu'elle réalise sa première chirurgie (grossesse ultra-utérine) = point de départ de sa performance plutôt sanglante où elle détourne la chirurgie esthétique au service de son art. Elle continue à utiliser d'autres médiums avec son corps comme idée de base.   La maison

nécessairement être objective, et la littérature n’est pas un « jeu de dilettante ». Proust donne à la littérature un rôle de révélateur de la vérité du monde au travers de l’expérience de la lecture, elle est la « vraie vie » non pas au sens où lire un livre équivaut à vivre réellement une histoire mais elle éclaire une réalité du monde par l’expérience livresque. Cette réalité de l' « art véritable » s’oppose aux « connaissances conventionnelles » que nous apposons de manière logique au monde et cela

La foule et le public, Parangon/VS, 2007 ; J.-M . Piemme, La propagande inavouée, UGE, 1975 ; S. Tchakhotine, Le viol des foules par la propagande politique, (1939), Gallimard, Tel, 1992 Communication, publicité et démocratie : F. Amalou, Le livre noir de la publicité, Stock, 2001 ; M. Benilde, On achète bien les cerveaux. La publicité et les médias, Éd. Raisons d’agir, 2007 ; F. Brune, Le bonheur conforme, Gallimard, 1985 ; R. Debray, L’obscénité démocratique, Flammarion, 2007 ; Groupe Marcuse

suivi de Neige rienValérie Rouzeau Pas revoir suivi de Neige rien Retrouver ce titre sur Numilog.comhttps://www.numilog.com/LIVRES/ISBN/9791037110145.Livre?utm_source=PDF-excerptPas revoir suivi de Neige rien Rouzeau_PasRevoir_R_bat.indd 3 10/11/2021 09:49 Retrouver ce titre sur Numilog.comhttps://www.numilog.com/LIVRES/ISBN/9791037110145.Livre?utm_source=PDF-excerptDU MÊME AUTEUR * chez le même éditeur Vrouz (coll. « Vermillon », 2012. Prix Apollinaire 2012). Va où (coll. « La Petite Vermillon »