Le Livre-cœur

que nous appelons le temple maçonnique est une réalité que nous côtoyons chaque jour sans le savoir. Vous rappelez-vous de la légende ? « La belle s’est endormie comme le château sans sa couronne d’épine pourtant le livre reste ouvert… Et quand il ne reste plus un juste, le livre se ferme et le temple s’écroule ». La belle au Bois dormant est plus qu’une histoire pour enfants insomniaques… Comme beaucoup de légendes elle raconte une aventure spirituelle de l’humanité, elle est symbole d’une recherche

(«Dès que la maladie me désarme, le cercle de famille se resserre autour de mon lit» [1, X]), portent sa rancoeur à son comble. Afin de parachever son œuvre de haine, il rédige à l'intention de celle-ci cette lettre vengeresse où il épanche enfin son cœur, «ce nœud de vipères saturé de leur venin». Le portrait qu'il y fait de lui-même n'est pas flatté : très tôt orphelin de père, choyé par une mère d'extraction paysanne qu’il n’a jamais su aimer, il fut un adolescent bûcheur, méprisant ses condisciples

cercle de famille se resserre autour de mon lit » [1, X]), portent sa rancoeur à son comble. Afin de parachever son œuvre de haine, il rédige à l'intention de celle-ci cette lettre vengeresse où il épanche enfin son cœur, « ce nœud de vipères saturé de leur venin ». Le portrait qu'il y fait de lui-même n'est pas flatté : très tôt orphelin de père, choyé par une mère d'extraction paysanne qu’il n’a jamais su aimer, il fut un adolescent bûcheur

foi, Je ne me trompais pas. C'est toi, Ruy Blas ! Ruy Blas. C'est toi, Zafari ! Que fais-tu dans ce palais ? Don César. J'y passe. Mais je m'en vais. Je suis oiseau, j'aime l'espace. Mais toi ? Cette livrée ? Est-ce un déguisement ? Ruy Blas, avec amertume. Non, je suis déguisé quand je suis autrement. Don César. Que dis-tu ? Ruy Blas. Donne-moi ta main que je la serre, Comme en cet heureux temps de joie et de misère

aussi découvrir ce qu’était l’amitié il y’a des années selon les poètes. J’ai trouvé mes poèmes dans différents recueils au C.D.I mais aussi sur Internet. Mon poème est préféré est sans aucuns doutes celui de Joachim Du Bellay : Qui est ami du cœur est ami de la bourse. J’adore ce poème car il montre bel et bien le comportement des gens face à l’argent. Il a été écrit sans aucuns vices, sans aucune peur de montrer la vision que nous avons de l’argent et les conséquences que l’argent peut avoir

envers son époux Thésée. Et aussi le livre montre des aspects incestueux de Phèdre envers son fils <<adoptif>> hippolite.1. LES PERSONNAGES DE LA FATALITE Le livre porte le nom de la personne d ou les histoires tourne Phèdre. Le roman a d’autre personnage comme Thésée, Hippolyte, Oenone, Aricie, Neptune, Ismène, Théramène. a. Phèdre Elle est la fille de Minos et de Pasiphaé. Elle est l’auteur principal du roman. Dans le livre, elle ressent des sentiments incestueux

pour pratiquer sa médecine. Il se maria avec la fille d'un médecin londonniens et n'eurent pas d'enfant. Il fut élu membre du « Royal College of Physicians » en 1607. Il s'interresa à la circulation sanguine et au cœur. Il réalisa beaucoup d’expériences et écrit ses découvertes dans un livre. Il eut une très bonne réputation ce qui lui valut une place de médecin à l'hôpital de Saint-Bartholomew et plus tard d’être le médecin suppléant du roi Jacques I er en 1623. En 1929, il partit en Italie puis en

société, ces aspects sont les éléments centraux du chapitre 19e de L’Ingénu. Dans le texte suivant, les conséquences créées par l’achat du gouvernement et les impacts d’une médecine inconstante seront les aspects traités. Durant le 19e chapitre du livre L’Ingénu, le Huron, qui retrouve sa bien-aimée, se voit confronter à la réalité, soit la vraie raison pourquoi mademoiselle de Ste-Yves a réussi à le faire sortir de la Bastille. Il comprend le pêcher que sa dulcinée a du faire pour lui permettre d’être

Hugo dans les poèmes d'Apollinaire, et parmi eux des réminiscences des Contemplations, au nombre d'une dizaine. Je propose d'en ajouter une et non des moindres puisqu'en elle confluent plusieurs sources toutes issues des Contemplations, dont une du livre même de la douleur, dans ce recueil, "Pauca meae". Relisons le court texte publié dans Alcools sous le titre "l'Adieu" : J'ai cueilli ce brin de bruyère L'automne est morte souviens t'en Nous ne nous verrons plus sur terre Odeur du temps brin

Eléments d’introductions : Au cœur de la problématique de Julien Sorel et de Stendhal lui-même, se trouve le conflit entre l’être et l’aspiration à un autre être idéalisé, entre la vérité de son être et l’apparence que l’on veut ou doit donner au sein de la société. D’ailleurs qui est le vrai Stendhal ? Henri Beyle ? Entre les différents pseudonymes et la vie d’Henry Brulard on devine bien ses difficultés à définir un « moi » unique au milieu de ses différentes personnalités. Ce qui fait l’unité