Le Journal d'une femme de chambre

Problématique : Comment les femmes ont-elles vécu le conflit le plus meurtrier de l’histoire ? Un effort partagé Document 1 : Affiche américaine de 1943 (source : www.loc.gov/rr/print) 1) Que fait, selon vous, cette femme représentée sur l’image ? Cette femme, élégamment vêtue et soigneusement maquillée, travaille pour l’industrie militaire américaine. Elle participe à la fabrication du puissant bombardier B 17, surnommé la « Forteresse volante » durant la seconde guerre mondiale.

plus singuliers que j'ai vus. Il est atteint de folie érotique et macabre. C'est une sorte de nécrophile. Il a d'ailleurs écrit son journal qui nous montre le plus clairement du monde la maladie de son esprit. Sa folie y est pour ainsi dire palpable. Si cela vous intéresse vous pouvez parcourir ce document." Je suivis le docteur dans son cabinet, et il me remit le journal de ce misérable homme. "Lisez, dit-il, et vous me direz votre avis." Voici ce que contenait ce cahier : Jusqu'à l'âge de trente-deux

de témoin privilégié des « précieuses ridicules du romantisme ».  Deux ans plus tard, en 1835, Renduel publie Mademoiselle de Maupin, qui fait scandale.Honoré de Balzac repère Gautier et envoie Jules Sandeau leur proposer une collaboration au journal La Chronique de Paris, en 1836. Théophile va y publier plusieurs nouvelles (« La Morte amoureuse », etc.) ainsi que des critiques d'art. Il collabore aussi avec la France littéraire et La Presse.  Gautier a écrit des centaines et des centaines

certain nombre de passages sont indiqués des activités à conduire dans le journal de lecture. Partie 11. Longue présentation de la Cour du Roi Henri II (l. 1-257)Il s'agit d'une présentation élogieuse de la cour (« Jamais Cour n'eut tant de belles personnes et d'hommes admirablement bien faits ; et il

affaires. L’hôtel comprend six étages ayant 256 chambres en tout. Au ré de chaussée, il existe des boutiques et bureaux pour location dont on dénombre une bijouterie, un salon de coiffure, un kiosque à journaux… Il était envisagé d’agrandir l’hôtel sur vingt six étages avec au moins milles chambres exploitables. Mais compte tenu du manque de possibilités financières les travaux ont subit un coup d’arrêt pour ne faire que deux cent cinquante six chambres sur six étages. De nos jours, l’hôtel MERIDIEN

sujets de l’histoire. C’est au 19ème siècle que le féminisme émane d’un groupe social soucieux de définir l’identité et la place des femmes dans la société. Mais le début du siècle a été synonyme d’exclusion et commence avec les convictions qu’une femme appartient à l’espace privé, ne se doit qu’à la maternité et travaille à l’intérêt de de la famille. Alors que Napoléon, dans le code civil en 1804 ne donne aucun droit aux femmes, met l’accent sur leur incapacité civile et interdit le divorce ; ces

La rencontre (1905 – 1909) Le 1er juin 1905, jour de l’Ascension, Henri Fournier, étudiant au lycée Lakanal de Sceaux, vient de visiter le « Salon de la Nationale » au Grand Palais. En descendant l’escalier de pierre, son regard croise celui d’une jeune fille blonde, élégante, élancée, une vieille dame appuyée à son bras. Il la suit jusqu’au Cours-la-Reine, puis sur un bateau où elle s’embarque ; il la suit à distance jusqu’à sa maison du boulevard Saint-Germain. Il revient plusieurs fois sous

1891, il fait une cure à Divonne-les-Bains. Son état physique est catastrophique. Un an après, à Nice, il s'ouvre la gorge. Il sombre peu à peu dans l'anéantissement. Ses malaises sont de plus en plus fréquents et il quitte de moins en moins la chambre. Les médecins décident de l'interner le 7 janvier 1892 et c'est à la clinique qu'il mourra le 6 juillet 1893, âgé de 43 ans, après de longs mois de délires et d'isolement.  II- Bel-ami est paru en 1885. Le 28 juin 1880, Georges duroy, sous-officier

journaliste à La Vie Française, un journal politique à Paris. Petit à petit, grâce à son charme et son don de manipulateur il va avoir des maîtresses et des femmes qui vont lui permettre chacune de monter d’un cran de plus dans le rang social et il va devenir de plus en plus riche pour ensuite finir rédacteur en chef au journal. Suzanne Walter, l’ultime femme qu’il va épouser pour avoir beaucoup d’argent et se fixer haut dans la société. Entre temps, M. Forestier souffrit d’une maladie, il était dans ses

la terre et de la vie à la campagne: "Sa main pourtant, n'était pas belle, point assez pâle, peut-être, et un peu sèche aux phalanges". En outre, sa maison porte elle aussi les marques de la vie en milieu rural: On retrouve dans une seule pièce la chambre, la salle à manger, des sacs de blés, il y a du salpêtre sur le mur et la peinture s'écaille. De plus il y fait froid, la maison doit donc être de taille modeste et difficile à chauffer: "Comme la salle était fraîche, elle grelottait en mangeant."On