Le Jour de la bête

Une bête au Paradis , Cécile Coulomb Carnet de lectureUne bête au Paradis , a été écrit par Cécile Coulomb. Romancière, nouvelliste et poète française, elle publie cette œuvre en août 2019, qui a reçu le prix littéraire du Monde cette année-ci. Ce roman, écrit en prose est du genre fiction domestique et réaliste. Il est en effet question d’enjeux familiaux, personnels, qui sont relatifs à la vie du Paradis (la ferme ou se déroule l’histoire), tout en décrivant des

Pour commencer l’année. Lisez le texte suivant : L’Oiseau. Un homme attrapa un jour un oiseau au plumage multicolore. Heureux de sa prise il décida de le mettre en cage afin que, par son chant, l’oiseau égaye sa maison. * Que me veux-tu ? lui demanda le malheureux animal. Regarde donc mon maigre corps, mes fines pattes et ma pauvre tête. Je ne suis qu’un vieil oiseau dont les cordes vocales sont usées. Tu ne pourras rien tirer de moi. Rends-moi ma liberté et en échange je te révélerais

Irénée, un provincial naïf qui rêve de devenir acteur tragique, a été engagé pour tourner dans un film. Le jour de la sortie du film, à laquelle il n'assiste pas, son amie Françoise lui rend compte des réactions du public et lui apprend qu'il fait rire, en particulier dans la grande scène d'amour. IRÉNÉE – Écoutez – supposez qu'un ingénieur ait inventé un nouveau canon, qui tire plus loin que les autres. Et au premier essai, ce canon tire par derrière, et l'inventeur qui surveillait le tir tout

ST290-7417.book Page 3 Mercredi, 23. septembre 2009 11:52 11 1 « MESDAMES ET MESSIEURS, VOICI LA BÊTE DU MANAGEMENT STRATÉGIQUE » « Pour être tout à fait franc, je ne suis pas aussi malin que vous semblez le croire. » ST290-7417.book Page 4 Mercredi, 23. septembre 2009 11:52 11 4 Safari en pays stratégie Pour commencer, voici une fable souvent évoquée mais effectivement peu connue : « LES AVEUGLES ET L’ÉLÉPHANT » de John Godfrey Saxe (1816-1887) Six chercheurs d’Hindoustan

Monet, 1877 La Bête humaine, Emile Zola, 1890 I. INTRODUCTION Claude Monet (1840-1926) est un peintre impressionniste. Quand il peint ce tableau La Gare Saint-Lazare, il vient de quitter la ville d'Argenteuil pour s'installer à Paris. Il vient de passer plusieurs années à peindre la campagne et il s'intéresse désormais aux paysages urbains car il veut être considéré comme un peintre de la vie moderne. Emile Zola (1840-1902) est un auteur naturaliste. La Bête humaine est le dix-septième

Par ses thèses (la « bête humaine », les fatalités des tempéraments, le déterminisme absolu, l'anatomie morale…), Zola prend évidemment le contrepied des traditions littéraires en vigueur, celle du roman psychologique à la française, de La Princesse de Clèves à Adolphe, puis celles du roman idéaliste, du roman convenable à la Feuillet[1] ; il s'inscrit en faux contre « les doux, les élégants, les idéalistes et les moralistes[2] ». Il fait le choix du matérialisme. Mais il a beau se purger avec Thérèse

dans le livre. La fosse du Voreux, cette sorte de beffroi qui contient les câbles des cages d’ascenseur, va ainsi devenir, comme dans le roman, un personnage à part entière, une véritable bête humaine, un monstre qui avale les hommes et les recrache en loques ou en bouillie. Il prend une dimension fantastique de bête vorace et sa cheminée fait penser à une corne menaçante. Enfin, il y a un contraste violent entre l’habitation des Maheu et celle des Hennebeau, avec ces meubles, ces dorures. Des effets

Les personnages féminins Introduction Dans le roman « La Bête humaine », Emile Zola accorde une place particulière à ses personnages féminins à la fois tentatrices, amantes, susceptibles d’inspirer les pulsions les plus violentes et victimes de ces mêmes pulsions meurtrières. Fidèle à la vraisemblance du tableau qu’il veut faire de la société française du XIX é siècle, le romancier présente des femmes plutôt secondaires dans le milieu social ; en revanche, sur le plan narratif, elles

remplie d'une immense tristesse que Picasso a voulu nous faire partager se comprend d'autant plus par les origines Espagnoles de celui ci. En réalisant cette peinture Picasso veut évidemment nous parler de Guernica en dénonçant l'atroce vérité de ce jour. Mais aussi de l'inutilité de la Guerre. Rappelons nous alors de cette journée où les avions de la « Légion Condor », Et quelle Légion ! ont débarqué en Espagne survolant celle-ci de toute leur grâce... Rappelez vous le bombardement d'une ville

rapprocha alors de la nature et alla à la rencontre des Shuars. Ceux-ci l'acceptèrent parmis eux et lui enseignèrent les secrets de la foret mais jamais il ne fut réellement un Shuar lui-même. Il apprit néanmoins à connaître la foret et à l'aimer. Un jour, un homme Blanc tua Nushino, un Shuar avec qui Antonio avait créé une certaine amitié. Antonio poursuivit le meurtrier et le tua à son tour. Mais il fit l'erreur de le tuer avec un fusil, Nushino ne trouverait pas la paix car il n'avait pas été vengé