Le Japon Une Puissance Incomplète

Maurice NIVEAU et Yves CROZET, Histoire des faits économiques contemporains, Paris, PUF, 2010. • Yves-Henry NOUAILHAT, Les États-Unis et le monde de 1898 à nos jours, Paris, Armand Colin, 2003. • Sebastian SANTANDER (dir.), Émergence de nouvelles puissances : vers un système multipolaire ?, Paris, Ellipses, 2009. • Nadège SOUGY, Patrick VERLEY, « La première industrialisation (1750-1880) », Paris, La Documentation photographique, n° 8061, 2008. • Patrick VERLEY, La Révolution industrielle, Paris, Gallimard

facteurs nationaux non-résidents - Revenus des facteurs résidant non-nationaux. C. DESMARIS 6/61 IEPEL@EG IEPEL@ Prep-Concours Economie Générale 19/03/12 1.2.2. Le PIB : un agrégat essentiel7 Critère habituel de mesure de la "puissance économique" d’un pays : – Classements économiques internationaux (Banque Mondiale, FMI, OCDE, etc.) ; – Base de calcul des contributions au budget des organismes internationaux ou de l’octroi d’aide internationale, etc. Base des principaux

selon le DI mais limites à l’autodétermination interdisant la sécession d’un peuple constitué : refus par le CC d’un « peuple Corse ». Gouvernement effectif : Puissance de l’Etat sans concurrence, disposant d’un pouvoir de commandement et de contrainte sur une population. Puissance centralisée et indivisible. Dans Léviathan : « cette puissance n’a nul autre pareil », elle est déliée, et ne connait pas de supérieur à l’intérieur où à l’extérieur de l’Etat : juridiquement sans partage. La reconnaissance

perception de l'impôt fut confiée à des agents impériaux; elles conservèrent néanmoins jusqu'à la fin la ferme des douanes, des mines et des salines.  Les Romains avaient un grand intérêt à développer le commerce chez les peuples soumis à leur puissance, afin d'en tirer de plus grosses contributions. Auguste rétablit Carthage et Corinthe, mais ces villes ne purent reconquérir leur ancienne importance; les relations avec l'Inde furent, régularisées, et Pline nous apprend qu'une flotte s'y rendait

contemporaine modifie un ordre du monde que les Temps modernes ont esquissé et que le XIX e s parachève. Cet ordre était régenté par quelques grandes puissances d’Europe occidentale, organisées autour d’Etats affirmant leur autorité sur des peuples se muant en nations, dont à la faveur de conflits qui les mettaient régulièrement aux prises. Ces puissances-centres se sont engagées dès le XVI e s dans une entreprise de conquête et de peuplement des « nouveaux mondes » (les nouvelles périphéries) et de

plus important pour ces pays. On dépend encore de l’économie extérieure. Les pays latino-américains ont les matières premières mais ils n’ont pas la technologie. Le pacte colonial est rompu par l’Indépendance. La Grande Bretagne devient la première puissance au 19 siècle. Les pays latino-américains ont le soutien de la Grande Bretagne. Ils ne sont pas capables de produire eux-mêmes. Ils ne sont pas capables de dire NON à la Grade Bretagne par contre, ils reçoivent l’aide de la GB. L’indépendance économique

PARTOUT : o un titre problématisé : mondialisation et dynamiques géographiques des territoires  o des mises en œuvre problématisées • Des points de rupture avec le programme précédent : o On sort de la notion de puissance o On sort d’une approche très économique o On sort d’une division nord-sud du monde qui n’est plus totalement opérationnelle (d’où les approches continentales qui permettent de la mettre en question) • Les points d’entrée

monde ………………………………………………………………………….……………… 7 Chapitre 2 La mondialisation en fonctionnement ……………………………………………………...……………………………….… 27 Chapitre 3 Les territoires dans la mondialisation ……………………………………………………...………………………………… 57 Chapitre 4 L’Amérique : puissance du Nord, affirmation du Sud ……………………………………………………...…………… 79 Chapitre 5 L’Afrique : les défis du développement ……………………………………………………...…………………...…………… 99 Chapitre 6 L’Asie du Sud et de l’Est : les enjeux de la croissance …………………………………………………...……….

industrialisés sont la Grande-Bretagne et la Belgique à la fin du XVIIIe siècle puis la France au début du XIXe siècle : ce sont les pays de la première vague. L'Allemagne et les États-Unis, quant à eux, se sont industrialisés à partir du milieu du XIXe, le Japon à partir de 1868 puis la Russie à la fin du XIXe : ce sont des pays de la deuxième vague. Les transformations économiques, politiques et sociales furent telles que certains, comme Max Pietsch[2] et David Landes[3], caractérisent la révolution industrielle

sont mis en place parallèlement à ceux des entreprises privés. Les pratiques récentes de gestion des entreprises ont été adoptées par les organisateurs publics, avec un délai variable selon les pays, selon la culture politique du pays et selon la puissance économique du pays, c’est-à-dire que les pays en voie de développement sont en retard. (Admifrance, ADME). L’irruption d’internet et le développement des technologies associées ont ouvert la porte à ce qu’on appelle le « e-gouvernement » ou « administration