Le Fantôme noir

une sorte de rythme entêté, toujours à la même place. » -La mine associée à l’Enfer: Une obscurité complète qui évoque les ténèbres: « Et il semblait que les ténèbres fussent d’un noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur leurs yeux. » + évocation de fantômes : « des formes spectrales s’y agitaient ». à les mineurs sont des damnés condamnés à souffrir, par un travail épuisant. -Un travail épuisant pour les mineurs: Bonnemort symbolise

André Rigaud Paris, ses rues et ses fantômes Cinquième partie : La vraie cour des miracles Notes de lecture 1. Les méfaits du romantisme Le Notre-Dame de Paris de Victor Hugo est inexact quant à la cour des Miracles, puisque celle-ci n'existait pas à Paris à cette époque (Xvème siècle). Mais la fiction du poète a pris le pas sur l'histoire. En fait, les gueux de la cour des Miracles étaient plutôt contemporains de Callot (XVIIème siècle). (p 233) Le mirage médiéval Le tableau de la cour des Miracles

sinistre, solitude sentiment d'abandon. Le froid = décors, symbolyse la relation des deux individus. b. personnages rime : "glacé" (v.5) ; "passé" (v.6) => Ce sont des êtres glacés appartenant au passé. Ils sont sans identitées, ce sont des fantômes. champ lexical de la mort : "morts" (v.3) ; "spectres" (.6) ; "âme" (v.10) => montre qu'ils sont morts / personnes immatérielles. II. Le dialogue a. Les points communs présent de l'indicatif : "bat-il" (v.9) ; "vois-tu" (v.10) => Les

Personnages et atmosphères étranges Repères littéraires Petite histoire du fantastique . . . . . . . . . 12 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 ➜ Le vampire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 ➜ La ville fantôme 18 ➜ La métamorphose . . . . . . . . . . . . . . . 20 ➜ Lire une affiche de film fantastique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 ➜ Aux limites du réel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 ➜ Explication logique

monochromes symboliques. En effet, cela accentue l'impression de mort. Les formes géométriques, quant à elles, rappellent l'art primitif africain. La toile est découpée en plans triangulaires et se présente comme un montage de l'actualité de l'époque en noir et blanc. Ce découpage du tableau intensifie toute l'horreur de la guerre. Description (Dénotation ) : Au premier plan : De gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main

autobiographique et historique, réalisées par Marjane Satrapi (dessin et scénario). L’auteur raconte les étapes marquantes qui ont rythmé sa vie, de son enfance à Téhéran à son entrée (difficile) dans la vie adulte. La bande dessinée est réalisée en noir et blanc : cela permet une écriture rapide et rend visible les émotions. Elle est réalisée de manière traditionnelle (non à l’ordinateur) à la main pour montrer les imperfections des humains. À travers son histoire personnelle, Marjane raconte l’histoire

compte beaucoup les sens. Il mélange les sensations de l´ouïe, de la vue, du toucher : « gaz qui pesaient sur les yeux », « chaude buée ». Zola nous plonge entièrement dans la scène. Il utilise beaucoup de personnifications comme « L´air mort », « noir inconnu » pour que l´on se crée une image visuelle et tactile aussi, mais toujours restant dans le vague. On sent comme un estompement des éléments : « fumant », « épaissi », « voilés", « rougeâtre », « lueurs ». L´atmosphère se trouble et la réalité

box Pour sa troisième mission (Arizona Max) James doit se faire passer pour un criminel mineur et aller en prison avec Dave, un agent de 16 ans avec le T-shirt noir, ce qui signifie qu'il a accompli plusieurs actes héroïques. Il doit se lié d'amitié avec un codétenu nommé Curtis Oxford dont la mère est une revendeuse d'armes au marché noir (elle est une des personnes les plus recherchées des Etats-Unis d'Amérique). Il doit s’évader de la prison pour mineur d'Arizona Max pour pouvoir recueillir des

poursuivaient avec bonheur leur production fantastique avec Le Crime de la rue Morgue de Robert Florey (interprété par Bela Lugosi), La Momie de Karl Freund – devenu metteur en scène –, où Boris Karloff incarnait Imhotep mort depuis 3 700 ans (1932), Le Chat noir d'Edgar G. Ulmer, réunissant Karloff et Lugosi (1934), Le Corbeau de Louis Friedlander (1935), Le Monstre de Londres (The Werewolf of London) de Stuart Walker, avec Henry Hull, qui marque pratiquement les débuts à l'écran de la légende désormais célèbre

soulagé. Tout ce temps passé dans ce monastère que je devais quitter. J’allais être ordonné prêtre. Il me fallait partir, je devais donc revêtir ce manteau. Dehors un bourdonnement effroyable vint m’envahir, malgré le froid de cette nuit sombre, ces fantômes priaient pour mon ordination. Je devais quitter ma cellule, derrière cette porte, ce prêtre était-il toujours là ? Était-ce sa présence, ou le trouble sentiment de peur de ne plus pouvoir revenir sur ma décision ? Le père supérieur n’était pas homme