Le Désir Gouverne T Il L Homme

vie en société. Polis + logos sont dans la nature de l’homme, ce qui suppose que l’homme est naturellement social, donc naturellement politique. L’homme ne se suffit pas à lui-même, et c’est dans sa nature. Un homme qui prétendrait avoir rompu avec la société ne pourrait pas être un homme. Ne pas vivre en société, c’est ne pas se réaliser en tant qu’homme, ne pas être civilisé. L’homme a juste à organiser un donné naturel.  «  La cité est au nombre des réalités qui existent naturellement, et (…)

et c’est une arme, ca l’aide car le monde dans lequel il vit est hypocrite Mais hypocrite extérieurement hypocrite intérieurement !! Mme de renal on veut se que les autres veulent ca va permettre d’accéder à certaine choses, voilà l’origine du désir de julien !! Absence totale de lucidité, il a encore plus d’orgueil que m de renal, il abuse de la connaissance de lui même. le probleme n’est pas que julien veuille s’elever mais la manière dont il veut le faire, par la vanité : l’élevation ne

jouir, et il n'est pas possible de concevoir pourquoi celui qui n'aurait ni désirs ni craintes se donnerait la peine de raisonner. Les passions, à leur tour, tirent leur origine de nos besoins, et leur progrès de nos connaissances ; car on ne peut désirer ou craindre les choses que sur les idées qu'on en peut avoir, ou par la simple impulsion de la nature; et l'homme sauvage, privé de toute sorte de lumières, n'éprouve que les passions de cette dernière espèce; ses désirs ne passent pas ses besoins

Peut-on désirer sans souffrir ? (Francesca Larcher pour le lycée Saint Aspais, Fontainebleau) ANALYSE DE L’ENONCE Peut-on : est-il possible ? On voit bien qu’ici, cela ne peut pas signifier ‘’a-t-on le droit ?’’, cela n’aurait pas de sens. En revanche, demander s’il est possible de désirer sans souffrir implique un présupposé manifeste : désirer serait souffrir, désirer impliquerait logiquement de souffrir ; désirer serait souffrir par définition ; la souffrance serait inhérente au fait même

 1) Le Prince, chapitre 5 ; Niccolo Machiavelli, est un lettré et un homme politique florentin naît en 1469. Suite à la chute des Médicis puis à celle de Savonarole, la République est instaurée et en 1498 Machiavel obtient le poste de secrétaire de la deuxième chancellerie de Florence. C'est un rôle influant qui lui permettra de beaucoup voyager lors de missions diplomatiques et de rencontrer les grands de son temps (dont Cesar Borgia qu'il prendra en exemple dans certains chapitres

celui-ci, grand innovateur, est à l’origine de la création d’un simulacre de vache dans laquelle la reine Pasiphaé, femme du roi de Crête Minos, se cacha pour assouvir sa passion pour un taureau, ce qui donna naissance au minotaure, qui était moitié homme moitié taureau. Minos, humilié et honteux du comportement de sa femme, décida d’enfermer le minotaure dans un labyrinthe qu’il demanda à Dédale de construire, un labyrinthe ou il n’y aurait aucune issue possible pour celui qui s’avise d’y entrer.

l’allégorie de la caverne écrite par Platon. Il illustre cela par un groupe d’individus qui se trouve au fond d’une caverne. Ces personnes représentent la civilisation humaine. L’une d’entre elles se voit tout à coup être libérée de ses chaînes. Cet homme se remet en question, ainsi que le monde qui l’entoure. Il se dit que peut-être ce qu’il voit n’est pas réel, ce sont seulement des ombres. Il se pourrait éventuellement qu’il y ait un autre monde qui ne se limiterait pas à ce qu’il voit. Par la suite

lui donner la mort ? quelle nécessité peut l'en absoudre ? Un vainqueur qui fait mourir ses ennemis captifs est appelé barbare ! Un homme fait qui égorge un enfant qu'il peut désarmer et punir, paraît un monstre ! Un accusé que la société condamne n'est tout au plus pour elle qu'un ennemi vaincu et impuissant ; il est devant elle plus faible qu'un enfant devant un homme fait. Ainsi, aux yeux de la vérité et de la justice, ces scènes de mort, qu'elle ordonne avec tant d'appareil, ne sont autre chose

être culturel, capable de réfléxion et de désir, il connait différences souffrances que ne connaîssent pas l’animal Les souffrances qu’admet la vie ainsi que la prise de conscience de certains objets serait-ils alors facteurs de non accès au bonheur ?ou, à l'inverse, si nous ne sommes pas concu pour être heureux, pourquoi donc ressentons-nous notre aspiration au bonheur comme un besoin primordial, celui qui est peut-être le plus essentiel dans la vie d'un homme. L’homme est un être culturel (définir)

nature à dominer plutôt qu'à s'associer. Conclusion: L'origine des sociétés les plus étendues et les plus durables viennent de la crainte mutuelle et non de la bienveillance mutuelle des hommes. Personne ne vit hors de la société et tout le monde désire avoir des relations avec d'autres mais l'idée que l'homme ne nait pas apte à la société n'est pas stupide pour autant. En effet, une solitude perpétuelle est pénible à l'homme par nature, les hommes se rencontrent donc sous la contrainte de la nature