Le Désespoir De La Vieille De Baudelaire

contredit la règle. Les poètes ne sont pas épargnés. Certains de leurs poèmes sont même censurés. Au XIXème siècle apparait une classe de poètes en marge de la société : les poètes maudits (therme inventé par Verlaine). Arthur Rimbaud, Charles Baudelaire en font aussi parti mais ne sont pas les seuls. Les Poètes maudits désignent des poètes qui rejettent les valeurs de la société et se conduisent de manière provocante et dangereuse. De plus un nouveau genre de poème fait son apparition : le poème

plusieurs cas de figures . . . . C'est vrai que beaucoup d'artistes avaient ce genre de probléme ! En peinture: Pollock était alcoolique, Warhol prenait toutes sortes de drogues psychedeliques, les impressionistes de l'absynthe . . . En litterature: Baudelaire: Opium, haschich ( je te conseille de lire les paradis artificiel qui est entierement consacré au sujet !) Sartre: de la mescaline Appolinaire: alcoolique . . . En peinture: Pollock était alcoolique, Warhol prenait toutes sortes de drogues psychedeliques

action qui sera profitable à notre descendance et peut-être encore à nous mêmes la jeunesse aventureuse se prive souvent de la possibilité de vivre longtemps Corneille 17 siècle pièce de théâtre Le Cid monologue de Don Diègue « O rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie! N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie » vieillesse perçu comme une tragédie Corneille 17 siècle Standes à la Marquise « Le temps aux plus belles choses Se plaît à faire un affront: Il saura faner vos roses

dévouées, pleines de finesses, enclines à la mélancolie : elles sont mieux femmes que les autres. » (Balzac, Le Lys dans la vallée) Mais par dessus tout, la mélancolie est le signe distinctif de l'artiste : c'est déjà le spleen (cf. plus tard Baudelaire) sans cause précise, état morbide où l'on ne se supporte plus, où la solitude est un enfer, où la conscience du temps qui passe et le malheur de l'homme, la cruauté de la nature accablent l'esprit, et lui inspirent des tentations de révoltes politiques

tonnerre, Un esprit se présente à moi, J'ois Charon qui m'appelle à soi, Je vois le centre de la terre. Ce ruisseau remonte en sa source, Un bœuf gravit sur un clocher, Le sang coule de ce rocher, Un aspic s'accouple d'une ourse, Sur le haut d'une vieille tour Un serpent déchire un vautour, Le feu brûle dedans la glace, Le Soleil est devenu noir, Je vois la Lune qui va choir, Cet arbre est sorti de sa place.Théophile de Viau Théophile de Viau est un dramaturge et poète du XVIIème siècle. Il écrit

voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. C Baudelaire « Les fleurs du mal » II QUESTIONS Etudiez la structure du poème ( rimes – strophes – vers). 2. Récrivez la dernière strophe en mettant tous les verbes à l’imparfait. 3. Que raconte ce poème ? Justifiez votre réponse en citant des

SpleenCharles Baudelaire est un poète français du XIXème siècle né en 1821, il est imprégné du romantisme, du parnasse et du symbolisme. Ce dernier a rédigé les fleurs du mal publié en 1857. Dans son recueil il y décrit la tension entre le spleen et l’idéal et particulièrement dans la section du même nom. Le spleen est caractérisé par une mélancolie, un ennui, une lassitude. Ce poème est le 4 eme spleen des fleurs du mal, et l’on comprend, à travers la montée d’angoisse que le poète est prisonnier

Suzanne au bain » d’Alfred de Vigny (1824) page 4 3) « A George Sand » d’Alfred Musset (1889) page 5 4) « Amour secret » de Victor Hugo (1888-1897) page 6 -II/ poèmes appartenant au mouvement symboliste : 1) « A une Dame créole » de Charles Baudelaire (1841) page 7 2) « A madame X » de Paul Verlaine (1888) page 8 3) « Première soirée » d’Arthur Rimbaud (1895) page 9 4) « Chevaux de frise » de Guillaume Apollinaire (1918) page 10 -III/ poèmes appartenant au mouvement surréaliste : 1) «

dit-elle. Elle ferma les yeux et se tut. La dysenterie la minait. Elle devenait écarlate de fièvre. Dans son délire elle suppliait : « des pommes frites » et tendait ses petites mains. Quand vers le soir le jeune médecin l’examina, elle parut soudain vieille : « comment la guérir avec du jus de haricot ? » La supérieure comprit que tout espoir était perdu. Se tournant vers nous (les infirmières) elle commanda : « Que l’une de vous coure à la villa d’en face. Je connais la propriétaire. Frappez énergiquement

mieux accentuer mon refus, j’ai frappé si violemment la terre du pied que ma jambe s’est enfoncée jusqu’au genou dans la sépulture récente et que, comme un loup pris au piège, je reste attaché, pour toujours peut-être, à la fosse de l’idéal. Charles Baudelaire, Petits poèmes en prose (Le Spleen de Paris). Vous ferez de ce texte un commentaire composé. Vous montrerez par exemple comment, dans cette fable macabre, s’exprime l’ambiguïté des rapports que le poète entretient avec l’idéal. Sujet III