Le Diable

avec la virgule. Le mot noir est comparé avec « nuits ». L’« ébène », bois noir très dur s’oppose à « flanc ». Le noir apparaît aussi avec les « noirs minuits ». Il est très vite mis en relation avec « obi », sorcier noir. Le noir symbolise ici le diable rappelé par « Faust ». Le caractère exotique peut être associé au noir. On a l’exotisme des parfums de la femme. Le « havane » vient d’un monde éloigné et une teinte foncée, brume. Les mots sont choisis pour évoquer quelque chose de lointain. L’auteur

Doña Josepha. Moi, vous cacher ! Don Carlos. Ici. Doña Josepha. Jamais. Don Carlos, tirant de sa ceinture un poignard et une bourse. — Daignez, madame, Choisir de cette bourse ou bien de cette lame. Doña Josepha, prenant la bourse. Vous êtes donc le diable ? Don Carlos. Oui, duègne. Doña Josepha, ouvrant une armoire étroite dans le mur. Entrez ici. Don Carlos, examinant l’armoire. Cette boîte ? Doña Josepha, refermant l’armoire. Va-t’en, si tu n’en veux pas. Don Carlos, rouvrant l’armoire. Si ! L’examinant

le trouble de RB « Mais c’est à se briser… mais je n’ai pas écrit » et les apostrophes « ô » C) Un dénouement funeste _  Antithèse Dieu # Satan : « Dieu », « bonté divine » # « Satan », « enfer », « démon » = le bien # mal. « L’homme en noir » = Le diable pour RB. _  Une mise en scène angoissante : « un homme en noir et masqué paraît à la porte du fond ». _  « instant funeste », « un coeur qui saigne », « vous vous perdez », « l’enfer de tous côtés t’assiège ». (gestes et paroles désordonnées): _Bien

l'utilisation d'une question réthorique, et devient aggressif envers son adversaire. De son côté Sépulvéda commence son argumentation de la ligne 6 à 8 en fesant des allusions au diable avec "satan s'apelle cmmunément le Malin", il utilise ainsi le champ lexical de la Religion, et fait une comparaison explicite entre les Indiens et le Diable. Il cherche ensuite a provoquer la peur de son auditoire et compare de nouveau explicitement les Indiens aux animaux sans âmes. A la ligne 45, Sépulvéda intervient en donnant

ils sont obligés de contourner les lois et d’avoir tout le monde sur le dos. Donc en quelque sorte, Tristan est comme Lancelot il surmonte plusieurs épreuves pour sa bien aimée mais le facteur de tout cela reste le philtre. Le philtre est comme le diable car il les pousse à faire du mal ou des choses qu’ils ne voudraient pas faire.

de deux lutteurs inconnus 1. » C'est avec Brenda qu'il prend conscience de la présence de son double diabolique, celui qui fait obstacle à son bonheur. La confrontation fatale se termine par la défaite du « chevalier à l'étoile rouge », symbole du diable et par conséquent, du mal. Dans le chevalier double de Théophile Gautier, le thème principal est le dédoublement. Mais, contrairement au double onirique d'« Onufrius » ou de « La morte amoureuse », il s'agit d'un dédoublement de personnalité. Oluf

sont indéfiniment enchaînées les unes aux autres. Jacques focalisé sur cette opinion de fataliste, adopte alors un certain comportement. Il oublie toute notion du bien et du mal, malgré ses croyances chrétiennes (l. 12 : « Pourquoi donc donner au diable son prochain ? Cela n’est pas chrétien. »). Il devient même assez optimiste ; en effet il oublie la tristesse d’un événement malheureux quand celui-ci est suivi d’un événement heureux (l. 20-21 : « Sans ce coup de feu, par exemple, je crois que je

distribution. Le principe fait polémique chez les acteurs du commerce équitable, les plus puristes d’entre eux y voyant une compromission avec des entreprises multinationales aux pratiques contraires à l’équité commerciale. Pragmatisme ou pacte avec le diable ? C’est en tout cas le début d’une notoriété qui dépasse amplement les milieux militants. Désormais, deux filières équitables – labellisée et intégrée  – coexistent. S’ensuivent dans les années 1990 des créations et alliances de structures et collectifs

Dieu ne va pas entrer avec nous dans une discussion d'apitoiement sur soi : "J’ai un passé difficile ce qui explique que..., j’ai tellement souffert…". Il ne va pas entrer non plus dans une discussion de glorification du diable et de ses oeuvres : "Vous avez vu ce que le diable a encore fait…, …il a encore…, celui là alors…, il est tellement rusé…". Non ! Il va vous ramener A SA PAROLE ; qui est la vérité ! A ce qu'elle déclare et ce que nous sommes selon elle. Lorsque Dieu appelle Jérémie, celui-ci

regrette l’innocence de l’enfance et les choses simples comme « l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… » alors que les tensions religieuses semblent s’affirmer à l’âge adulte dans la mesure où «  le diable est au clocher, à cette heure ». Le complément circonstanciel de temps est ici représentatif de l’âge adulte. De même, son « château », sa « Saxe » et son « bois de saules » sont vécus comme un locus amœnus, un asile charmant propre à préserver l’innocence