Le Diable Au Bal

l’infanterie, baïonnette au canon, les sacoches remplies de balles et de poudre. Prêtes à nous abattre, nous pauvres victimes de la faim. Dieu du ciel ! C’est ce que nous envoie Lord Russel (premier ministre britannique libéral) à la place de commissionnaires chargés de contrôler des dépôts pleins de grains et de farines pour soulager les pauvres ? Il ne fait pas mieux que Sir Robert Peel (premier ministre conservateur). […] Si le diable, lui-même, tenait les rênes du gouvernement de sa majesté britannique

l’accable : « Ô femme ! femme ! femme ! créature faible et décevante ! ». Le Comte, maitre de Figaro sera aussi présenté de cette façon : « non, Monsieur le Comte, vous ne l'aurez pas… ». Quant au monologue Dupont-Dubois nous voyons que les invites du bal et le public sont les principaux destinataires : « Je me présente : je suis le détective privé Dubois ». Malgré leurs différents destinataires, ces monologues ont tous le public comme cible. Ensuite nous pouvons voir en quoi ces monologues ont des

cercles parisiens. Il publie son recueil de poèmes et en 1919 il débute l’écriture du Diable au corps. Très proche de Cocteau, il mène avec lui plusieurs projets comme l’écriture de comédies et la publication d’un journal. En 1923, le Diable au corps est enfin publié. Il lui apporte une renommée immédiate, beaucoup de journaux parlent de son roman et le critiquent. Il entreprend l’écriture d’un 2eme roman, le Bal du comte d’Orgel mais il contracte la typhoïde et meurt le 12 décembre 1923 à l’age de

répondait que c’était elle. Mais un matin, le miroir lui dit que Blanche Neige était la plus belle. Folle de jalousie, elle ordonna à un des ses sujets d’emmener Blanche Neige dans la forêt et la tuer… Analyse possible: La vilaine reine est le mal, le diable qui décide de tuer tout ce qui est bon. Le miroir est le bien, voire Dieu qui fait d’elle un ange déchu. Blanche-Neige est la pureté, un ange du paradis. La pomme est le symbole du pêché originel. Les sept nains symbolisent le chiffre universel, le

donneront pour elle (un dattier) → fusion avec le conte de la Belle et la Bête Puis rien de nouveau, Episode du bal avec perte de la chaussure, reconnaissance de Cendrillon puis mariage. Version de Perrault : 1) Conte commence avec le mariage du père 2) La marâtre n’est pas le tourment de Cendrillon mais ce sont les deux sœurs 3) Cendrillon choisit d’aller s’asseoir dans les cendres 4) Bal apparait avec plusieurs caractéristiques : Cendrillon a aidé ses sœurs à se préparer, épisode de la marraine

« elle devait sortir à minuit » I.1 « Tu as une jolie jambe » III.5 « le diable m’emporte, tu as une tante qui me reviens » II.5 Un Don Juan : A la Marquise Cibo qui lui tient un discours politiques. Intérêt=les femmes. Tante de L. II.6 L. vole sa cotte de maille, sans que A ne le soupçonne. « Je suis sûr qu’il m’aime moi » Naiveté d’A Produit de L., ne doute jamais de lui. « il faut pourtant que j’aille au bal, chez les Nazi» I.1 « le duc sort, vêtu en religieuse, tous deux masqués »

écroulements reconstruisent le mal, Si pour le bestial tu chasses l’animal, Si tu ne sais, dans l’ombre où ton hasard se vautre, Défaire un empereur que pour en faire un autre ? Victor Hugo Bal des pendus (guerre) Au gibet noir, manchot aimable, Dansent, dansent les paladins, Les maigres paladins du diable, Les squelettes de Saladins. Messire Belzébuth tire par la cravate Ses petits pantins noirs grimaçant sur le ciel, Et, leur claquant au front un revers de savate, Les fait danser, danser

L'écume des jours de Boris Vian publié en 1946 et un autre de Belle du Seigneur d'Albert Cohen en 1968 .  Ces trois textes, d’époque différente, n’appartiennent pas tous au même mouvement littéraire. Quelles sont les différentes fonctions des scènes de bal décrites dans les 4 textes ? Pour répondre à cette question nous étudierons d'abord le rôle narratif des textes, puis nous finiront avec le rôle le rôle descriptif D'emblée ,, nous remarquons un rôle descriptif .Le narrateur ici

Le diable au corp Raymond RADIGUET « Raymond Radiguet partage avec Arthur Rimbaud le terrible privilège d’être un phénomène de lettres françaises », confiait Jean Cocteau en 1952, près de 30 ans après la disparition de celui qu’il avait pris sous sa protection. Phénomène, en effet, que ce Radiguet, étoile filante de la scène artistique et littéraire du Paris de l’immédiat après-guerre : il manifeste la même précocité intellectuelle que son aîné en poésie (il écrit l’essentiel de son premier

Mondella. 3. L'ORFEVRE. Et quand on me bannirait comme tant d'autres ! On vit à Rome aussi bien qu'ici. Que le diable emporte la noce, ceux qui y dansent et ceux qui la font ! (Il rentre. Le marchand se mêle aux curieux. Passe un bourgeois avec sa femme.) 4. LA FEMME. Guillaume Martelli est un bel homme, et riche. C'est un bonheur pour Nicolo Nasi d'avoir un gendre comme celui-là. Tiens, le bal dure encore. Regarde donc toutes ces lumières. 5. LE BOURGEOIS. Et nous, notre fille, quand la marierons-nous