Le Deuxième Sexe Simone De Beauvoir

théorie du genre de par le caractère très scientifique des diverses recherches effectuées à ce sujet. Diapo Le mot « genre » vient du latin genus, devenu en ancien français gendre. Le mot a d’abord le sens de catégorie, type, espèce puis le sens de sexe. Le genre concerne la division fondée sur un ou plusieurs caractères communs. Il englobe aussi l’ensemble des êtres vivants situés, dans la classification, entre la famille et l’espèce, et groupant des espèces très voisines. Pour comprendre l’impact

de Lenclos Ninon de Lenclos (1620-1705) est une femme brillante et instruite qui a tenu un des salons les plus célèbres de Paris où se réunissaient écrivains, artistes et savants, comme Lully, Charles Perrault, La Fontaine, Racine, le duc de Saint-Simon, Philippe d’Orléans le futur Régent, Fontenelle et bien d’autres. Elle était proche de Molière qui lui demanda même des conseils pour Tartuffe. Ninon de Lenclos, que l’on voit ici dans tous ses charmes au centre du tableau, entourée d’une véritable

Chacun se dit ami : mais fou qui s’y repose ; Rien n’est plus commun que le nom, Rien n’est plus rare que la chose. » La Fontaine (1621-1695). 2) « Entre deux individus, l’harmonie n’est jamais donnée, elle doit indéfiniment se conquérir. » Simone de Beauvoir (1908-1985). 3) « Il y a toujours dans la notion de tendresse une nuance de protection. » C.-F. Ramuz (écrivain vaudois, 1878-1947). 4) « L’amour est un je ne sais quoi, qui vient de je ne sais où, et qui finit je ne sais comment. » Mademoiselle

pincé le nez devant une réalité un peu corsée pour lui ? La confusion du vieux poète nous éclaire  : Ma femme au sexe d’algue et de bonbons anciens... déclame André Breton, antiquaire et poète, dans un vers de la maturité. Ses bonbons sont anciens comme sa nostalgie infantile du sucré, ce qui est fort classique  ; quant à l’algue, le bon sens suggère l’association peu poétique  : sexe de femme = algue = odeur de marée. Plus on approche la réalité olfactive de la femme, en effet, plus les bonbons

AUTEURS  SEQUENCE 1: Le deuxième Sexe Simone de Beauvoir Essai dont le texte a une influence considérable par la pensée féministe. L’auteur cherche a comprendre l’origine de l’infériorité des femmes et à savoir quelles en sont les conséquences. 1ère phrase: apparition du thème/ formulation de sa thèse. Thèse: Toute femme parce qu’elle veut être indépendante et qu’elle est de sexe féminin développe un complexe d’infériorité. Deuxième phrase présente pour mettre en évidence

l’égalité et celle de la différence, estime ainsi Wilfried Rault. Il n’existe pas d’invariant naturel qui toucherait les femmes et les hommes. Et aucun discours ne peut justifier l’inégalité. » Autrement dit par Simone de Beauvoir en 1949, « on ne naît pas femme, on le devient » (Le deuxième sexe). Pour compliquer encore cette longue marche vers l’égalité, les améliorations constatées peuvent générer aussi de nouveaux problèmes. Par exemple, l’accès à la contraception met plus de pression sur les femmes

aussi un sujet qui mobilisa la presse les églises et le monde associatif. Les femmes sont vues comme des mères et moins comme des actrices de la vie politique et sont donc sous-estimées. C'est en effet ce qu'explique Simone de Beauvoir dans son livre écrit en 1949 « Le Deuxième Sexe ». Ce livre créa un scandale car elle explique dans son livre que : peu de femmes sont des génies artistiques et elle propose une explication : c’est parce qu’elles sont dominées. Elle répète cette idée à plusieurs reprises

la responsabilité de gagner de l’argent pour faire vivre le ménage. Il n’y avait que les femmes issues de milieux populaires qui travaillaient, le modèle idéal était celui de la femme au foyer. Pourtant les choses ont rapidement changé dans la deuxième partie du XX ème siècle. En effet, à partir des années 1960 on rentre dans une ère de « féminisation de l’emploi ».Cette féminisation de la population active s’explique grâce à plusieurs facteurs: des facteurs sociologiques d’une part: la libéralisation

AEI L1 C1 « La femme naît libre et demeure égale à l’homme en droit » déclarait l’article 1 de la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne rédigé en 1791 par Olympe de Gouges. Un demi-siècle avant l’écriture de « Deuxième Sexe » par Simone de Beauvoir, Olympe de Gouges, de son vrai nom Marie Gouze était bien en avance sur son temps avec sa lutte contre les inégalités, son désir de changer les choses et ses idées bien trop humanistes et révolutionnaires pour la révolution elle-même

prendre le soin du ménage. Peut-être que les plus spirituels ajouteraient qu’il y a beaucoup de femmes qui ont de l’esprit et de la conduite ; mais que si l’on examine de près celles qui en ont le plus, on y trouvera toujours quelque chose qui sent leur sexe : qu’elles n’ont ni fermeté ni arrêt, ni le fond d’esprit qu’ils croient reconnaître dans le leur, et c’est un effet de la providence divine et de la sagesse des hommes, de leur avoir fermé l’entrée des sciences, du gouvernement, et des emplois... »