Le Deserteur Boris Vian

changement dans le monde. Les auteurs cherchent à faire passer un message à travers leurs textes, qu'ils soient sous forme de chanson, poésie, roman ou même de bandes dessinées. Boris Vian, célèbre musicien de jazz, aimait par dessus tout les mots, les lettres ainsi que les poèmes. Il écrit en 1954 une chanson nommée « Le déserteur » , elle fit scandale en passant à la radio et a été censurée quelques temps après. Cet auteur luttait contre la guerre et à travers son texte, voulait éveiller de la compassion

commencé bien avant et continue encore de nos jours. Selon les périodes de l’histoire, les régimes, les motivations changent mais les ciseaux d’Anastasie continuent leur découpe que ce soit en période de guerre ou de paix. De nos jours, le déserteur de Boris Vian, l’étranger de Camus, Nuits et brouillards ne seraient pas censurés, par contre tous écrits, films, tableaux, portant atteinte à la personne physique de par sa religion, sa couleur, son origine seraient irrémédiablement censurés. Avant on

décembre. C'est le début d'un long exil. XXème siècle : Boris Vian : Boris Vian a écrit « Le déserteur » en 1954, la première année de la guerre d’Algérie. Dans sa chanson, celui-ci explique qu’il refuse de partir à la guerre et qu’il va déserter. Il invite également les français à déserter comme lui. Cette chanson est devenue un symbole incitant à refuser la guerre. Boris Vian prit des risques en écrivant cette chanson car, à cette époque

soulèvement contre le gouvernement. Elle symbolise la violence de masse. On peut retrouver cette œuvre dans la BD Putain de guerre ! de Tardi et aussi dans le film Un long dimanche de fiançailles. On peut aussi la rapprocher de la chanson Le déserteur de Boris Vian et du Chant des Partisans.

Henry Barbusse, Le Feu, 1916 Erich Maria Remarque, A l’Ouest rien de nouveau, 1929 Picasso, Guernica, 1937 Jean Anouilh, Antigone, 1940 Charlie Chaplin, Le Dictateur, 1940 Jean Paul Sartre, Les Mains sales, 1948 Albert Camus, Les Justes, 1949 Boris Vian, Le déserteur, 1954 3. L’Absurde Louis Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932 Albert Camus, L’étranger, 1942 F. Aujourd’hui Stéphane Hessel, Indignez-vous ! Caricatures : Cabu, Charb, Wolinski, Tignous La vague (film), 2009 L’interview qui

brouillard », Jean Ferrat, 1963 14. « Madrid 1936 », Pablo Neruda, 1938 15. « Le drapeau », Pablo Neruda, 1924 16. « L’ordre nouveau », Jaques Prévert, 1946 17. « Octobre », Pierre Seguers, 1941 18. « Oradour » Jean Tardieu, 1944 19. « Le déserteur », Boris Vian, 1953 20. « Les loups sont entrés dans Paris », Albert Vidalie, 1967 2ème étape : Travail au CDI pour chercher des informations sur l’auteur et le contexte historique. Il s’agit là de faire une courte présentation de l’auteur, de s’intéresser

Sartre - « Qu'est-ce que la littérature ? » - Albert Camus - « Discours de Suède » - André Malraux - L'Espoir - Poètes de la résistance à l'origine du surréalisme : Paul Éluard - « Liberté » ; Louis Aragon - « La Rose et le Réséda ». - Boris Vian - « Le Déserteur » - Eugène Ionesco - Rhinocéros - Robert Desnos - « Ce cœur qui haïssait la guerre » Auteurs contre l’engagement littéraire Brisson, Koestler, Kravchenko, Rousset et Rougemont vont pratiquer le « contre-engagement » dans le journal

héros ou d'un peuple: ex: llliade ou Odyssée d'Homère , récits des exploits des guerriers au siège de Troie ou lors du retour d'Ulysse dans sa patrie. b) La poésie engagée qui cherche à dénoncer une situation insupportable. ex: "Le déserteur", poème de Boris Vian contre la guerre, ou "Lili" de Pierre Perret contre le racisme ou le poème de Hugo contre le travail des enfants extrait de Les Contemplations et qui commence par le vers suivant: "Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit?"

chanson de Lorette". Elle demeure, aujourd'hui la chanson-type de l'antimilitarisme mais elle a été depuis dépassée par plusieurs autres. Il suffit à cet égard de citer  "Quand un soldat" de Francis Lemarque (1953) ou encore le très célèbre "Déserteur" de Boris Vian (1954). Paroles Quand au bout d'huit jours, le r'pos terminé, On va r'prendre les tranchées, Notre place est si utile Que sans nous on prend la pile. Mais c'est bien fini, on en a assez, Personn' ne veut plus marcher, Et le cœur bien

1870 « Il pleure dans mon cœur », Paul Verlaine, 1874 « La colombe poignardée et le jet d’eau », Guillaume Apollinaire, 1918 « Liberté », Paul Eluard, 1942 « La peste », Robert Desnos, 1944 « Pater Noster », Jacques Prévert, 1946 « Le déserteur », Boris Vian, 1954 « Poème à mon frère blanc », Léopold Sedar Senghor, 1960 ?* « Jamais je ne pourrai », Claude Roy, 1970 Justification de Mes Choix Analyse d’un Poème Mon Poème Poèmes