Le Dernier Souffle

palpite Percent l'iris noir, qu'elles illuminent Le flot que reflètent ces mots d'or, Décompose ce que je ressens, sans fuir Sur cet océan marine se moirent Les nuages, qui ressemblent à ces oiseaux Agiles et fragiles, et s'effilent au gré du souffle Par moment le vent parle, Et dit ces mots que je n'ose prononcer Comme une femme endormie Tout s'en va ! Je n'imaginais pas un jour Pouvoir souffrir comme ça La nature, qui nous coupe du monde La tempête est écume, mon âme se consume La

* La rêverie du personnage suit une progression notable, que soulignent la syntaxe, l'organisation du texte et le vocabulaire. Sur le plan syntaxique, on est d'abord frappé par la masse des interrogations. Particulièrement denses dans le dernier paragraphe, comme si la curiosité du personnage devenait insoutenable, ces questions demeurent sans vraie réponse. La seule réponse est aussi l'une des rares interventions du narrateur et elle reste liée à une interprétation subjective : "voici la

col tendre pour émouvoir ma chair. Je t'adore, ô Beauté, de mon oeil monocorde! Prière aux masques Masques! O Masques! Masques noirs masques rouges, vous masques blanc-et-noir Masques aux quatre points d'ou' souffle l'Esprit Je vous salue dans le silence! Et pas toi le dernier, Ancêtre à tête de lion. Vous gardez ce lieu forclos à tout rire de femme, à tout sourire qui se fane Vous distillez cet air d'éternité ou' je respire l'air de mes Pères. Masques aux visages sans masque, dépouillés

réplique de Dorante et une réplique de Lucrèce. La cohérence entre ces deux réplique réside dans le fait qu'elles sont toutes deux des a-parte. Ainsi, cet extrait constitue une communication externe, hors de l'action de la pièce, comme une reprise de souffle au milieu de l'imbroglio. Ces deux répliques annoncent les intentions des deux partis et laissent présager l'action qui va suivre. L'extrait commence par l'injonction de Dorante : « ne me découvre point » : on comprend que Dorante n’a pas l’intention

au pas, fidèlement à mon côté. {Winston Churchill} -Le proverbe est le cheval de la parole ; quand la parole se perd, c'est grâce au proverbe qu'on la retrouve. {Ahmadou Kourona} -L’air du paradis est celui qui souffle entre les oreilles d’un cheval. {Proverbe Arabe} +++Ton souffle a la tiédeur des fleurs de magnolias, ta langue est un cheval qui ne t’écoute pas. {Pierre Perret} +++Voler satisfait des désirs profonds, désirs longtemps réstés insatisfaits, pour lesquels le cheval et la voiture

indienne, les instruments de musique imaginés par l’homme au fil d son histoire reposent sur le principe physique de la transformation d’une énergie mécanique (ou électrique dans le cas des synthétiseurs) en une énergie acoustique. Frotter, pincer, souffler, frapper, brancher, les modes de production de cette énergie sonore déterminent les grandes familles d’instrument de musique. L’énergie mécanique nécessaire et produite directement par l’instrumentiste. Le saxophoniste expire l’air de ses poumons

D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons. Tout cela descendait, montait comme une vague Ou s'élançait en pétillant On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague, Vivait en se multipliant. Et ce monde rendait une étrange musique, Comme l'eau courante et le vent, Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique Agite et tourne dans son van

dans la rive. L’auteur parle aussi de l’atmosphere que dégage le paysage l. 5 « douloureusement calme qu’un crépuscule d’automne » , l. 6 «  air frissonnant, les arbres vieillis jettent leur feuilles » l. 7 « campagne brulée » l.8 «  vents froids… souffle plaintifs de désespérance ». l. 14 « brouillard laiteux » On ressent une atmosphere plutot calme mais aussi inquiétante, l’atmosphere sent la mort, le deuil, le paysage est sombre comme si tout était mort autour d’eux. Aucun des personnages ne parlent

impressionnant spectacle merveilleux. Dans la première partie, Atala fait un monologue comme ultime déclaration d'amour. Dans le premier paragraphe, on assiste à une véritable mise en scène des derniers paroles d'Atala qui définit le déclin des forces de l'héroïne ; sa voix faiblit et elle perd son souffle: "la voix d'Atala s'éteignit…..elle conversait tout bas avec des esprits invisibles" et par un geste significatif des mourants: "ses doits errants cherchaient à toucher quelque chose" et le vocabulaire

En cette belle journée d'été pendant que certains profite de leurs vacances d'autres profite de leur dernier souffle. Après le retour de son voyage Ben qui était sur le point de rendre visite à sa mère , il découvrit cette dernière sur le sol des qu'il ouvrit la porte; sous le choque il se précipita sur le téléphone pour appeler la police. * dialogue entre Ben et le policier * -policier : Bonjour que se passe t-il ? -Ben: allo , je viens de découvrir ma mère écrouler sur le sol , envoyer