Le Dernier Amant romantique

grande place (personnages : Arlequin, Polichinelle, Pantalon…) C) Le théâtre du XVII°s Le XVII°s est le siècle du théâtre. Cependant ,on peut les séparer en plusieurs genres : - Le théâtre baroque : apparaît à la première moitié du XVII°s. Ce dernier remet en cause la distinction entre comédie et tragédie et offre le plus souvent une intrigue particulière ponctuée de multiples péripéties exprimées au moyen de nombreux registres. Les auteurs baroques refusent le langage soutenu : les dialogues

le comédien qu’elle aime : « Heureusement c'était un café borgne, où je ne devais rencontrer aucune personne de mon rang » (Sand, La Marquise, Chapitre III) et puis elle cache sa relation avec Lélio pendant cinq ans. Dans ce café populaire, ce dernier émet des grossièretés et comportements vulgaires qui choquent la marquise, ce qui lui permet de se rendre comte de l’importance de leur différence sociale. Par ailleurs, à la fin de La Marquise, même si le comédien s’avère comme honnête et éloquent

devenu curieusement, lui aussi aventurier ; Manon va s’éteindre dans, sinon le pays marécageux qui entoure la Nouvelle-Orléans, du moins les plaines sablonneuses du Biloxi où l'immensité plate et désolée, sans abri ni végétation qui entoure les deux amants, est la terrible image de leur abandon et par les hommes et par le Ciel (dixit l’édition Garnier)en une notation bien vue). Le Ciel, n'en parlons plus depuis les diverses tromperies du chevalier tant auprès de son père que de son ami Tiberge, voire

le public à ne tolérer aucun abus et à se battre contre le pouvoir lorsqu’il tend à devenir tyrannique. Par exemple, dans Britannicus de Racine, Néron est un empereur fou qui, pour satisfaire ses envies, fait enlever Junie, amante du héros éponyme. Face à cet abus, ce dernier tente d’ourdir un complot pour éliminer son ennemi. Ainsi, il se dresse contre le pouvoir arbitraire de Néron pour rester fidèle à la justice et à la raison. La tragédie incite donc à ne pas respecter une autorité corrompue

beaucoup plus complète qu’avec la raison seule. La France a connu un préromantisme mais le mouvement se développe surtout hors de son territoire. En effet, le romantisme vient de l’Angleterre où lord Byron et Percy Shelley sont de grand poètes romantique. Raphael est tiré de cette littérature. Balzac fait référence à Manfred, le héro crée par Byron, en inventant Raphael, il y fait référence au début du roman « … comme un poème de lord Byron ; ». Manfred, aristocrate vivant dans les Alpes, solitaire

l'Académie française. En 1843, devenu libéral, il se lance dans la politique. Après un dernier voyage en Suisse et en Italie, en 1884, Victor Hugo est frappé par une congestion pulmonaire le 15 mai 1885. Il rend son dernier soupir le 22 mai 1885. Personnages principaux et présentations[modifier]Hernani personnage éponyme de la pièce, c'est un noble banni, amant de Doña Sol. Il appartient à la génération des héros romantiques, nécessairement enfiévrés et maudits. Il a vingt ans et sa vie est marquée par

mention des études de droit et de la peinture en font un homme supérieur, instruit et en quelque sorte auréolé du prestige sulfureux des artistes. Une ébauche mal dégrossie de ce qui pourrait séduire une jeune fille romanesque nourrie de lectures romantiques, mais dont le prestige ne touche pas Thérèse, « placide ». En fait, comme on a appris dans les chapitres précédents que Camille est profondément égoïste, on devine qu’il saisit les moindres occasions de se donner de l’importance, pour tenter de

obstinée presque têtue et a un très bon sens de déduction. Elle est aussi très orgueilleuse, elle ne veut pas la pitié des gens malgré son handicap. Schéma actantiel : Mathilde qui est le héros de cette histoire a une des caractéristiques des romantiques : la passion amoureuse. En effet, Mathilde est tellement amoureuse qu’elle pourrait faire n’importe quoi pour retrouver son Manech et l’aimer. Remarque : En voyant ce schéma actantiel, on pourrait croire que Mathilde est égoïste car on voit que

La malséance au théâtre (1830-1838) : Hernani, Ruy Blas et le public La doxa scolaire enseigne que le drame romantique hugolien a, par son mépris des unités classiques et par sa désarticulation de l’alexandrin, suscité l’incompréhension ou la répulsion du public contemporain. Chacune de ces provocations « rhétoriques » attribuées au dramaturge mérite pourtant d’être revue et nuancée : l’unité d’action (ou plutôt son unification) est scrupuleusement respectée, application du projet esthétique

Marguerite Gautier, et un jeune bourgeois, Armand Duval. La narration de cette histoire d’amour constitue un récit dans le récit, puisqu’Armand Duval raconte son aventure au narrateur initial du roman. Amoureux de Marguerite, Armand devient son amant et obtient que Marguerite renonce à sa vie de courtisane pour habiter avec lui à la campagne. L’idylle est rompue par le père d’Armand, qui obtient que Marguerite renonce à Armand, lequel va croire jusqu’à la mort de Marguerite que celle-ci l’avait