Le Dépit amoureux

représentation théâtrale des Liaisons Dangereuses vous semble possible ? TEXTE 10 - Montrez l’originalité de Marivaux à traiter du dépit amoureux - En quoi est-ce que Dorante met Silivia à l’épreuve ? - La mise en scène. - Le rapprochement avec la mise en scène à la grande comédie de Paris - L’œuvre dans le siècle des Lumières - Le Marivaudage - Mettre en lien cette pièce du dépit amoureux avec une scène de Molière TEXTE 11 - Etudiez comment se décline le jeu de l’amour dans cette scène - Expliquez les rapports

jouir du bonheur conjugal, mais il est hanté par la crainte d'être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d'épouser sa pupille Agnès, élevée dans l'ignorance, recluse dans un couvent. Horace, fils d'Oronte (un autre ami d'Arnolphe), est tombé amoureux d'Agnès ; il se confie à Arnolphe dont il ignore le rôle de tuteur, lui avouant qu'il a fait sa cour et raillant ce dernier. Arnolphe interroge Agnès afin de savoir ce qui s'est passé lors de cette entrevue. Il est rassuré par le récit qu'elle

vous dis, belle très désirée, | Démontrez-moi, s’il vous plaît, vo douceur, | Car autrement soyez acertainée, | En languissant définiront mes jours. | POEMES 16ème SIECLE. Antoine de CHANDIEU (1534-?) Qu'as-tu ? Pauvre amoureux... Qu'as-tu ? pauvre amoureux, dont l'âme demi morte Soupire des sanglots au vent qui les emporte. N'accuse rien que toi. Ton mal est ton désir, Et ce dont tu te plains, est ton propre plaisir. Tu n'as autre repos que ce qui te tourmente, Et t'éjouis

alors le pseudonyme de Molière. Après la faillite de la troupe, il quitte Paris avec eux et parcourt la France de 1646 à 1658 en écrivant ses premières petites comédies (Le Docteur amoureux, Le Médecin volant) puis ses premières comédies en cinq actes et en vers (L'Étourdi, créée à Lyon en 1655, et Le Dépit amoureux créée à Béziers à la fin de 1656). De retour à Paris en 1658, il obtient la protection du frère du roi : sa troupe prend le nom de « Troupe de Monsieur » et représente ses deux premières

sera un échec à cause des nombreuses dettes de Molière, pour cette raison il sera même emprisonné en 1645. Cette même année, il quitte Paris pour la province ou il y restera treize ans durant. Il revient à Paris en 1658 pour jouer Nicomède et Le Dépit amoureux devant le roi. En 1659, sa pièce Les précieuses ridicules lui apporte la célébrité. Il obtient du roi la salle du Petit Bourbon puis celle du Palais Royal. Il y remporte un grand nombre de succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe

(Vers 995-996). En dépit des obstacles de la jalousie et du mauvais orgueil, en dépit du devoir et de l’honneur, Rodrigue et Chimène se retrouve plus amoureux, plus unis que jamais. Le vers 980 : « Que je meure ! Va-t’en. A quoi te résous-tu ? » Nous montre une accélération du rythme, du suspens et beaucoup de passion, une union amoureuse. De plus, le vers 985 : « Ô miracle d’amour ! Ô comble de misères ! » Nous fait apercevoir une complétude entre les paroles des deux amoureux, c’est une emphase

Molière : L’Étourdi ou Le Contre-Temps en 1655 et, en 1656, Le Dépit amoureux. Ces deux œuvres montrent une forte influence de la Commedia Dell’Arte italienne. Malgré la réussite de ces pièces, la troupe perdit son protecteur : le prince de Conti se convertit en 1657 et retira son patronage. Molière continua d'écrire quelques farces. 1658-1659 Molière et les Béjart regagnèrent Paris. La réussite de L’Étourdi et du Dépit amoureux suscita l’attention du frère du Roi, qui leur accorda sa protection

temps que des pièces simples pour le public. Molière réapparait en 1648 en ayant perdu la tête de la troupe. En 1655, il écrit sa première « grande » comédie en 5 actes et en vers, L’Etourdi ou les contretemps. Nouvelle pièce à Béziers en 1656, le Dépit amoureux. En 1658, la troupe est à Rouen, ville des frères Corneille avec qui Madeleine Béjart négocie pour fusionner avec leur troupe du Marais. La négociation échoue et la troupe exprime l’intention d’aller à Paris. Molière a 37 ans. En 1658, Monsieur

présence des verbes « partir, aller, sortir ». Puis Dorante réplique « J’ai de la peine à partir », puis plus loin « Je ne partirai point. ». La notion de départ, envisagée par Dorante est plutôt hésitante et c’est ici le thème principal du dépit amoureux, c’est-à-dire le chagrin de colère dû à une déception qui est celle de Silvia, qui, ne le retint pas lorsque celui-ci est sur le point de partir, comme il le dit lui-même « Adieu. Il s’en va ». A ce moment là, Silvia se pose des questions, et

registres. Il s’agira d’analyser comment ces quatre extraits de genre théâtral, présentent le topos de l’échange amoureux, le topos pouvant se définir par la présence d’une scène récurrente, attendue de la part en l’occurrence ici, du spectateur. Tout d’abord, les scènes 5 de Bérénice et 3 de Ruy Blas placent dans la bouche de leurs protagonistes des élans de sincérité, dans ce dialogue amoureux,. La reine de Palestine, comme le nouvel empereur de Rome exaltent leur sentiment par des métonymies « cœur »