Le Couteau sur la nuque

dit à ses serviteurs: Restez ici avec l'âne; moi et le jeune homme, nous irons jusque-là pour adorer, et nous reviendrons auprès de vous. 22:6 Abraham prit le bois pour l'holocauste, le chargea sur son fils Isaac, et porta dans sa main le feu et le couteau. Et ils marchèrent tous deux ensemble. 22:7 Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: Mon père! Et il répondit: Me voici, mon fils! Isaac reprit: Voici le feu et le bois; mais où est l'agneau pour l'holocauste? 22:8 Abraham répondit: Mon fils

l'amplificateur thermique placé à côté de la caméra. Cet appareil non seulement l'observait, mais observait à travers lui, et le décomposait en un ensemble de différentes couleurs, dont aucune ne traduisit la froideur de l'acier d'un revolver caché ou d'un couteau. En moins de temps qu'il n'en fallait à Alex pour battre des cils, l'appareil avait transmis ses informations à un ordinateur, lequel les avait aussitôt interprétées, avant de renvoyer son propre signal aux circuits de contrôle de l'ascenseur: « Tout

l'amplificateur thermique placé à côté de la caméra. Cet appareil non seulement l'observait, mais observait à travers lui, et le décomposait en un ensemble de différentes couleurs, dont aucune ne traduisit la froideur de l'acier d'un revolver caché ou d'un couteau. En moins de temps qu'il n'en fal ait à Alex pour battre des cils, l'appareil avait transmis ses informations à un ordinateur, lequel les avait aussitôt interprétées, avant de renvoyer son propre signal aux circuits de contrôle de l'ascenseur : «

entrailles Les flancs morts, réclamant votre argent, éperdus, La rouge courtisane aux seins gros des batailles, Loin de votre stupeur tordra ses poings ardus! Quand tes pieds ont dansé si fort dans les colères, Paris! quand tu reçus tant de coups de couteau, Quand tu gis, retenant dans tes prunelles claires, Un peu de la bonté du fauve renouveau, Ô cité douloureuse, ô cité quasi morte, La tête et les deux seins jetés vers l'Avenir Ouvrant sur ta pâleur ses milliards de portes, Cité que le Passé

derrière lequel, la nuit, elle entendait parfois des cris d’assassinés ; et elle fouillait les angles écartés, les coins sombres, noirs d’humidité et d’ordure, avec la peur d’y –6– découvrir le corps de Lantier, le ventre troué de coups de couteau. Quand elle levait les yeux, au-delà de cette muraille grise et interminable qui entourait la ville d’une bande de désert, elle apercevait une grande lueur, une poussière de soleil, pleine déjà du grondement matinal de Paris. Mais c’était toujours

l’octroi, derrière lequel, la nuit, elle entendait parfois des cris d’assassinés ; et elle fouillait les angles écartés, les coins sombres, noirs d’humidité et d’ordure, avec la peur d’y découvrir le corps de Lantier, le ventre 10 troué de coups de couteau. Quand elle levait les yeux, au-delà de cette muraille grise et interminable qui entourait la ville d’une bande de désert, elle apercevait une grande lueur, une poussière de soleil, pleine déjà du grondement matinal de Paris. Mais c’était toujours

Je me relevais difficilement, en m'accrochant a la main qu'elle me tendait, et me dirigea le pas gauche vers la glace, voyant effectivement que j'étais pâle comme un mort. Les dents serrées je me dépêchais de rincer ma bouche et de mouiller ma nuque et mon visage avec de l'eau glacée, Rosa me fixant morte de trouille comme si j'allais claquer d'un moment a l'autre. Je lui faisais signe que ça allait mais elle semblait pas rassurée du tout. Lentement je lui attrapais la main et l'emmenait avec

connaissance ; puis j’éprouvai une si grande fatigue qu’elle m’effraya. Il me fallut longtemps pour me souvenir de ce qui s’était passé. Mes pieds me faisaient terriblement souffrir, et je n’arrivais pas à les remuer. Ils étaient comme engourdis. Ma nuque me semblait glacée ; toute ma colonne vertébrale, et mes oreilles, de même que mes pieds, étaient à la fois engourdis et douloureux. Pourtant j’avais au cœur une impression de chaleur véritablement délicieuse comparée à toutes ces sensations. C’était

de fleurs à la main, est celle qu’il aurait choisie, De plus, l’honneur est sauf) la dauphins la Miss FN est une fille mignonne mais, surtout, méritante qui ne rate aucune manifestation du Front. Le bruit court que son frère a été tué à coups de couteau par des Arabes. Monsieur Loyal, en riant sobrement, rappelle qu’un jour la demoiselle avait participé au service d’ordre d’un député et que, le lendemain, La Marseillaise, journal local d’obédience communiste, avait légendé la photo de l’événement :

rien. Je me rappelle juste de cette femme qui me consolait toujours après la correction que je méritais ou pas venant de mon père. Le fait de le mériter n’expliquait pas toujours que je devais le recevoir forcément. Bref je ne voudrais pas remuer le couteau sur cette plaie toujours en voie de cicatrisation. Mais j’ai le droit de faire quelques vœux : - Je souhaiterai ne plus être gêné de rester dans une même pièce que l’auteur de mes jours. - Je souhaiterai trouver un jour ses blagues drôles et trouver