Le Couteau sur la nuque

abdomen est plus fin. Les particularités morphologiques de la mante religieuse sont : - Ses pattes avant, appelées « ravisseuses », portent des piques et servent à attraper les proies. Les pattes des mantes religieuses se replient comme un couteau de poche. - Grâce à ses yeux protubérants et très écartés, la mante a une excellente vision en relief. De plus, contrairement aux autres insectes, elle peut faire pivoter sa tête à 180 degrés, ce qui lui permet de suivre sans bouger le corps et

la victime assassinée elle est soigneusement décapitée selon une technique plus ou moins spéciale. La peau est découpée autour du buste avant de détacher la tête et de s'enfuir avec son trophée. Une fois qu'il se trouve en sécurité, il entaille la nuque et le cou de la tête afin d'en ôter le crâne. Ce dernier est ensuite jeté dans l'eau en tant que présent pour les divinités. Les yeux ainsi que la bouche sont ensuite cousus pour emprisonner l'esprit de vengeance. Le masque est ensuite mis à tremper

précis qui transperça le rein. Madame Stern s'agenouilla, et Hedmund la frappe une deuxième fois, à la nuque, pi une troisième fois, finissant par toucher la jugulaire. Un jet de sang jaillit du coup de la voisine, qui s'étala au sol. Puis Hedmund regarda le père de John, il était comme possédé, une envie de sang le poussait à agir. Il sauta sur Ryan, dont il fit ressortir les tripes d'un coup de couteau. Il l'avait planté dans le renfoncement creux du cou, et était descendu en attérissant, Ryan était

les différentes époques et enfin de dénoncer et faire réfléchir les lecteurs. En général les écrivains choisissent ce métier car ils ont de l’imagination et un plaisir pour écrire. Agatha Christie dans Mort sur le Nil ou encore le Couteau sur la nuque qui montre tous les deux une certaine preuve d’imagination de l’auteur. Quelques uns ont joué avec des analepse et des prolepses car ils ont un plaisir de composer avec ces figures de styles. Souvent ils les utilisent pour raconter leur

= banale promenade mais lorsqu’il se retrouve face à l’Arabe, celui-ci devient son adversaire bien qu’il soit surpris : « j’ai été surpris un temps ». - L’arabe est dans une situation d’abandon : « il reposait sur le dos, les mains sous la nuque, le front dans les ombres du rocher, tout le corps au soleil ». ← Position non agressive ; c’est le hasard qui va le conduire au dérapage final. c) Le temps suspendu - Drame relié à l’altercation qui a précédé : « c’était

crâne Auteur : Anthony Horowitz Éditeur : Hachette jeunesse Collection : Le livre de poche jeunesse Style : Fantastique QUELQUES DESCRIPTIONS: Mr Edward Eliot : Petit, gras et chauve la moustache hérissée et une verrue dans la nuque. Il dirigeait une banque, dans la cité de Londres. Il ne sais pas marcher il est donc en fauteuil roulant. Mme Eileen Eliot : Grande d'une tête de plus que son mari, très

LA PRIERE BARBONI: p.65: «Il faut les saigner.» «Je vise. J'abats le gars d'une balle en pleine nuque.» «Je suis dans la tranchée. J'ai vu Dermoncourt y sauter avec moi.» p.73: Parle de la pluie. p.78: «Personne ne me prend par surprise. […] Je l'ai mis en joue. Je le tiens maintenant. […] Je le tiens. Un geste et il est mort. Il est pris. A ma merci.» P.80: «De profundis clamavi ad te, Domine...» p.83: «De profundis clamavi ad te, Domine: Domine exaudi vocem mea Fiant aures tuae intendentes

supposent que le sacrifié était d’abord assommé d’un coup sur la nuque, puis sa tête était tranchée à l’aide d’un couteau de silex.), soit par cardiectomie c’à-d arrachement du cœur). Le prêtre ouvrait la poitrine du sacrifié et lui prenait son cœur, de la manière expliquée précédemment. L’autosacrifice est le fait de faire couler son sang d’une façon plus ou moins douloureuse. On pouvait se trancher le lobe de l’oreille avec un couteau de silex ou se passer une cordelette garnie d’épines à travers

l'Arabe qui devient alors son adversaire, alors même qu'il est surpris de le voir à cet endroit : « j'ai été surpris un temps ». -L'Arabe se trouve dans une position d'abandon, dont semble rêver le narrateur : « il reposait sur le dos, les mains sous la nuque, le front dans les ombres du rocher, tout le corps au soleil ». Il est donc dans une position non agressive; c'est le hasard qui va conduire au dérapage final. Ce qui dramatise la scène est cette impression de temps suspendu, tout s’étire dans une

de sel »……. Il perd le contrôle et ses perceptions se troublent, tout devient confus : « peut-être à cause des ombres sur son visage, il a l’air de rire » .C'est cette confusion qui fait croire à Meursault qu'il est agressé au point d'imaginer le couteau en épée puis en glaive. Le soleil est ainsi assimilé au hasard qui conduit notre héros à l'acte fatal. La répétition 8 fois du mot "soleil" indique le rôle capital joué par celui-ci, à la fois source de chaleur et source de lumière. La fatalité frappe