Le Corps épanoui

morale de ses créations. En effet l’ensemble du recueil nous offre des images récurrentes, représentant le désir et le fantasme sexuel à travers des corps dénudés, objets de désir. Dans « l’arbre rose » notamment, les deux corps masculin et féminin entourent une plante phallique épanouie face à un poème qui parle de la fécondité. Dans ce recueil le corps est mis en valeur pour célébrer la sensualité et abolir tous les tabous sexuels, les images sont alors proches de l’expression onirique. Cette liberté

Filtrer par titre : 123 Par erellwen, le 27/07/2010 L'Amant de Lady Chatterley de D.H. Lawrence Et, vaguement, elle percevait une des grandes lois de l'âme humaine: quand l'être réçoit un choc violent qui ne tue pas le corps, l'ême semble guérir en même temps que le corps. Mais ce n'est qu'une apparence. Il n'y a plus que le mécanisme de l'habitude reprise. Lentement, lentement, la blessure de l'âme commence à se manifester, comme une meurtrissure d'abord légère, mais qui, à la longue, enfonce

de la douleur. Elsa Tandis que je parlais le langage des versElle s'est doucement tendrement endormieComme une maison d'ombre au creux de notre vieUne lampe baissée au coeur des myrrhes verts Sa joue a retrouvé le printemps du reposÔ corps sans poids posé dans un songe de toileCiel formé de ses yeux à l'heure des étoilesUn jeune sang l'habite au couvert de sa peauLa voila qui reprend le versant de ses fablesDieu sait obéissant à quels lointains signauxEt c'est toujours le bal la neige

l'être performant, épanoui, sain, sans failles…, que l'on attend de lui, sur tous les plans, et ceci, depuis l'école. Chacun est désormais comptable de son destin et de sa santé, avec ce que cette dynamique individualiste peut avoir d'opprimant et de destructeur pour ceux qui apparaissent les moins capables de résister à ce “changement de régime” ». La dévalorisation venant alors redoubler sur le plan moral les inégalités de situation sociale. D'où la floraison de « temples du corps » promettant une

pour gagner ton pain de chaque soir, Comme un enfant de chœur, jouer de l'encensoir, Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guerre, Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appas Et ton sourire trempé de pleurs qu'on ne voit pas, Pour faire épanouir la rate du vulgaire. Charles Baudelaire Ce poème parle d'une jeune femme a qui Baudelaire demande si elle trouvera, quand l'hiver sera venu, de quoi manger.. Baudelaire porte beaucoup d'importance pour cette femme comme on peut le voir au vers

et il sera peut-être toujours, une des plus grandes lumières de ce monde. J’aime bien ce personnage, car, contrairement à plusieurs autres savants de son temps, il n’était pas spécialisé dans un seul domaine, il avait une culture scientifique très épanouie. Léonard était l’une des rares personnes à pouvoir se vanter de connaître à peu près tout ; sa connaissance de la philosophie était presque parfaite, son excellence dans le domaine de l’art ne fait aucun doute : les œuvres qu’il nous reste de lui

sorte qu’elle soit idéale. Au XVIIème siècle la femme était ronde, avait des formes et avait la peau très blanche. On les décrivait avec beaucoup de charmes et de grâce. Rubens représentait les femmes dans des postures sensuelles et des visages épanouies. En effet, à cette époque Rubens faisait des tableaux de femmes nues, grasses et ayant la peau blanche. Si les femmes devaient avoir la peau blanche et non la peau bronzée c’était pour montrer qu’elles ne travaillaient pas dans les champs, qu’elles

Fiche de lecture A)Références de l’ouvrage Marie De HENNEZEL, La chaleur du cœur empêche nos corps de rouiller, Paris, éditions Robert Laffont, 2008, collection Pocket Evolution, 217 pages B)Présentation de l’auteur Marie De HENNEZEL est une psychologue française, elle commence sa carrière en 1975 au sein du planning familial, elle exerce ensuite dans un hôpital psychiatrique pendant 3 ans. En 1986, elle intègre la première unité de soins palliatifs d’Europe. En 2003, elle participe à

plus brillante »(ligne 10) « à l’expression de finesse et d’enjouement avait succédé une involontaire, une inconsciente expression, bâtie sur la maladie » (ligne 11 à 12) « les artères ayant perdu toute souplesse » (lignes 11 à 12 ) « visage jadis épanoui » (ligne 13) « qui avaient été jusque là d’une autre couleur »(lignes 18 à19 ) « sa magnifique chevelure moins épaisse » (ligne 16). Toutes ces comparaisons entre le passé et le présent montrent au lecteur une impressionnante dégradation physique

lumières, du noir dans les ombres, du blanc pour les lumières. Enfin, des inscriptions gravées en travers, sur toute la largeur de la toile, rayent le sujet, marquent le corps. Bons « morceaux » de peinture qui « tournent » bien; la tournure des pommes de terre est parfois réussie, mais la rayure les refuse comme image épanouie. Cette griffure fait penser aux ardoises des marchands de quatre saisons, on y indique la variété du produit et son prix. Elles enlèvent au légume toute prétention à une dignité