Le Concierge

habituelles qui accompagnent le rituel joyeux du retour du prisonnier: On m'a dit apres que la concierge avait décoré I'entrée pour I'accueillir et que des qu'il était passé, elle avait tout arraché et qu'elle, elle s'était enfermée dan s sa loge, farouche, pour pleurer7• La vue du rescapé plonge le témoin dans la douleur et le renvoie a un état de sauvagerie, "farouche" comme une bete, la concierge frappée d'horreur s'isole pour donner libre cours a sa souffrance, montrant ainsi sa s lbid.

de ses actes. Il n’a aucun espoir lors de sa condamnation à mort, il ne veut pas être aider mais sa colère le rend plus heureux comme s’il s’était débarrassé d’un poids. Il n’a peur de rien. Céleste : Restaurateur et ami de Meursault Le concierge : Concierge de l'asile où demeurait Mme Meursault. Le directeur : Gère l'asile où était internée Mme Meursault. Thomas Pérez : un compagnon d'asile de la mère de Meursault. Marie Cardona: Elle joue un rôle important dans la vie de Meursault; Elle éclaire

vingt-deux ans, quitte Plassans pour s’installer à Paris. Un ami de la famille, l’architecte Achille Campardon, lui trouve un logement dans un immeuble bourgeois parisien de la rue de Choiseul. Le jeune homme loge au quatrième étage. Il rencontre le concierge Gourd et prend connaissance des autres occupants: le propriétaire Vabre avec ses trois enfants et son gendre Duveyrier chez qui il loge, Mme Juzeur, Campardon avec sa femme Rose et sa fille Angèle, la famille Josserand avec deux filles célibataires

je venais de loin. J’ai dit « oui » pour n’avoir plus à parler. L’asile est à deux kilomètres du village. J’ai fait le chemin à pied. J’ai voulu voir maman tout de suite. Mais le concierge m’a dit qu’il fallait que je rencontre le directeur. Comme il était occupé, j’ai attendu un peu. Pendant tout ce temps, le concierge a parlé et ensuite, j’ai vu le directeur : il m’a reçu dans son bureau. C’était un petit vieux, avec la Légion d’honneur. Il m’a regardé de ses yeux clairs. Puis il m’a serré la main

l'exception de la troisième comporte plusieurs chapitres non numérotés : Première partie – L'apparition de la peste : présentation de la ville d'Oran et de ses habitants. Découverte des premiers rats. Apparitions des personnages importants. Mort du concierge de l'immeuble de Rieux. Castel et Rieux pensent que la ville est victime d'une épidémie de peste + méditations de Rieux sur la peste. Commission sanitaire à la préfecture + fermeture de la ville. Deuxième partie – La progression de l'épidémie :

venais de loin. J’ai dit « oui » pour n’avoir plus à parler. L’asile est à deux kilomètres du village. J’ai fait le chemin à pied. J’ai voulu voir maman tout de suite. Mais le concierge m’a dit qu’il fallait que je rencontre le directeur. Comme il était oc- cupé, j’ai attendu un peu. Pendant tout ce temps, le concierge a parlé et ensuite, j’ai vu le directeur : il m’a reçu dans son bureau. C’était un petit vieux, avec la Légion d’honneur. Il m’a regardé de ses yeux clairs. Puis il m’a serré

je venais de loin. J'ai dit « oui » pour n'avoir plus à parler. L'asile est à deux kilomètres du village. J'ai fait le chemin à pied. J'ai voulu voir maman tout de suite. Mais le concierge m'a dit qu'il fal-lait que je rencontre le directeur. Comme il était occupé, j'ai attendu un peu. Pendant tout ce temps, le concierge a parlé et ensuite, j'ai vu le directeur : il m'a reçu dans son bureau. C'était un petit vieux, avec la Légion d'honneur. Il m'a regardé de ses yeux clairs. Puis il m'a serré la main

des bacs ont été installés dans les locaux à déchets (coût 410 000 euros) pour recevoir les sacs bleus (déchets alimentaires ) et les sacs jaunes (emballages recyclables) Ces sacs sont mis à disposition de ces habitants par les Mairies et les concierges d’immeubles. Ce tri sélectif des emballages ménagers et leur revalorisation ont obligé les particuliers à modifier leurs comportements et en particulier à déposer de manière sélective les déchets alimentaires, le verre et les emballages dans

dans sa chambre, mais qu'il dormira à l'hôtel. Chapitre 3 : Les autres habitants peuvent penser que Jonathan est fou, qu'il n'est pas comme tous les autres. Madame Broccard est la concierge actuelle de l'immeuble et salue tous les jours Jonathan. Jonhatan la salue à peine, car il n'aime pas les concierges, car ils doivent observer les autres gens pour effectuer leur travail. Personne ne remarque Jonathan, par exemple au travail il est plutôt considéré comme un objet de décoration plutôt qu'un

quotidienne en quelque sorte. Là encore, les douleurs les plus vraies prirent l'habitude de se traduire dans les formules banales de la conversation. C'est à ce prix seulement que les prisonniers de la peste pouvaient obtenir la compassion de leur concierge ou l'intérêt de leurs auditeurs. Albert Camus, La Peste, Gallimard, 1996, pp.88-89