Le Colosse De Goya

jouais au jardin. Et rien qu'en le voyant je m'arrêtai soudain. C'était le principal d'un collège quelconque. Les tritons que Coypel groupe autour d'une conque, Les faunes que Watteau dans les bois fourvoya, Les sorciers de Rembrandt, les gnomes de Goya, Les diables variés, vrais cauchemars de moine Dont Callot en riant taquine saint Antoine, Sont laids, mais sont charmants ; difformes, mais remplis D'un feu qui de leur face anime tous les plis Et parfois dans leurs yeux jette un éclair rapide. Notre

les montagnes, cette allure aérienne ou lourde, mais toujours grandiose et ferme comme le piédestal où poser notre certitude d’avoir accompli tout notre effort. Comme les vieux sculpteurs de la vallée du Nil, ils ont animé le désert d’avenues de colosses, d’un modelé si vaste et si sommaire qu’ils paraissent être présents de toute éternité au milieu des solitudes et résumer en leur structure ramassée les ondulations des sables jusqu’aux contreforts des monts et la sphéricité du ciel sur le cercle

homme débile et jaune, Puget, mélancolique empereur des forçats; Watteau, ce carnaval où bien des cœurs illustres, Comme des papillons, errent en flamboyant, Décors frais et légers éclairés par des lustres Qui versent la folie à ce bal tournoyant; Goya, cauchemar plein de choses inconnues, De fœtus qu'on fait cuire au milieu des sabbats, De vieilles au miroir et d'enfants toutes nues, Pour tenter les démons ajustant bien leurs bas; Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par un bois

homme débile et jaune, Puget, mélancolique empereur des forçats; Watteau, ce carnaval où bien des cœurs illustres, Comme des papillons, errent en flamboyant, Décors frais et légers éclairés par des lustres Qui versent la folie à ce bal tournoyant; Goya, cauchemar plein de choses inconnues, De fœtus qu‘on fait cuire au milieu des sabbats, De vieilles au miroir et d‘enfants toutes nues, Pour tenter les démons ajustant bien leurs bas;  Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par

débile et jaune, Puget, mélancolique empereur des forçats ; Watteau, ce carnaval où bien des coeurs illustres, Comme des papillons, errent en flamboyant, Décors frais et légers éclairés par des lustres Qui versent la folie à ce bal tournoyant ; Goya, cauchemar plein de choses inconnues, De foetus qu'on fait cuire au milieu des sabbats, De vieilles au miroir et d'enfants toutes nues, Pour tenter les démons ajustant bien leurs bas ; Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par un

homme débile et jaune, Puget, mélancolique empereur des forçats ; Watteau, ce carnaval où bien des cœurs illustres, Comme des papillons, errent en flamboyant, Décors frais et légers éclairés par des lustres Qui versent la folie à ce bal tournoyant ; Goya, cauchemar plein de choses inconnues, De fœtus qu’on fait cuire au milieu des sabbats, De vieilles au miroir et d’enfants toutes nues, Pour tenter les démons ajustant bien leurs bas ; Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par un bois

homme débile et jaune, Puget, mélancolique empereur des forçats ; Watteau, ce carnaval où bien des cœurs illustres, Comme des papillons, errent en flamboyant, Décors frais et légers éclairés par des lustres Qui versent la folie à ce bal tournoyant ; Goya, cauchemar plein de choses inconnues, De fœtus qu’on fait cuire au milieu des sabbats, De vieilles au miroir et d’enfants toutes nues, Pour tenter les démons ajustant bien leurs bas ; Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par un bois

homme débile et jaune, Puget, mélancolique empereur des forçats; Watteau, ce carnaval où bien des curs illustres, Comme des papillons, errent en flamboyant, Décors frais et légers éclairés par des lustres Qui versent la folie à ce bal tournoyant; Goya, cauchemar plein de choses inconnues, De ftus qu'on fait cuire au milieu des sabbats, De vieilles au miroir et d'enfants toutes nues, Pour tenter les Démons ajustant bien leurs bas; Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par un bois

qu'il prêtait au Louvre: voir J. Baticle et Chr. Marinas, La Galerie espagnole de Louis-Philippe au Louvre, 1838-1848, Éditions de la Réunion des musées nationaux, 1981, en particulier p. 18 à 26; cf. aussi P. Guinard, "Baudelaire, le Musée espagnol et Goya", Revue d'histoire littéraire de la France, n° spécial Baudelaire, avril-juin 1967, p. 312 à 328. 24. Mon coeur mis à nu, Pl. I, p. 701; cf. ibid., p. 785; le Salon de 1859, Pl. II, p. 624, 681. 25. Sur les sens complexes et fluctuants de ce mot

Jus Ici, on voit que Red bull est inquiétant pour les boissons énergisantes car il était le premier présent et le plus “gros” dans ce domaine. Il a trouve un marche niche et s’est introduit dans la faille pour vaincre, sur ce domaine, les deux colosses. Un Cola‐Red Bull est en préparation, mais la le marche sera beaucoup plus difficile a pénétrer. On peut aussi différencier les boisons selon le “light” et le “zéro”. Le marketing du zero est beaucoup plus porte sur les hommes que le Zero. Au lancement