Le Cœur et l'Épée

fer = synecdoque qui fait référence à la volonté du suicide ; « Fer » et « vertu » personnifiés· La mort cerne le personnage (avec la métonymie de l’épée qui rappelle l’acte II où elle demandait la mort de la main du jeune homme)· Phèdre parle de sa « destinée » avec incertitude, doute avec le verbe au conditionnel passé = elle se serait suicidée par l’épée si elle n’avait craint de laisser Hippolyte injustement accusé· Opposition « destiné » ≠ « vertu » marquée par la conjonction de coordination «

garçon honnête et attaché au sens sacré de la chevalerie. Armé de son glaive Santacrux, d’un bouclier vert et d’une pierre magique le rendant invincible, son rêve est d’acquérir gloire et renom à travers les combats mais aussi d’épouser l’élue de son coeur la belle Eléonore.
 b) Eléonore :
Fille du Comte de Blois, âgée de 14 ans, Eléonore est une belle fille au teint blanc comme le lait et aux nattes dorées.
C’est en la sauvant de ses ravisseurs que Thibault devient Chevalier.
Ses caprices d’enfant

lié au destin. Phèdre en est l'exemple incarné. Elle éprouve d'abbord une attirance physique pour Hippolyte. Elle le trouve « beau comme un Dieu », jeune et courageux. A défaut de l'aimer, elle demande a Hippolyte de la frapper au cœur, siège des sentiments (« voilà mon cœur » v704), avec sa fameuse épée, qui sera la preuve irrévocable pour Thésée que son fils l'a trahi et qui enclanchera sa colère la plus profonde. Phèdre n'est pas maître de ses sentiments. Elle fait pourtant tout basculer lorsqu'elle

LES PROCÉDÉS LEXICAUX : LE CHAMP LEXICAL REPÉRAGE ET IDENTIFICATION (regroupement) * un minimum de cinq mots ou courtes expressions sont requis pour former un champ lexical suffisant Champ lexical du bouleversement : « percé », « fond du cœur », « misérable », « injuste » (deux fois), « malheureux », « mon âme abattue », « cède », « coup », « me tue », « peine », « triste choix », « mal », « infini ». EXPLICATION Ce champ lexical du bouleversement, relevé dans les deux premières strophes

désir d’exprimer sa passion et l’impératif du refoulement donne lieu, sur le plan de l’écriture, à une esthétique mêlée, entre exhibition et détournement. I) Les deux pôles de la réalisation et de la rétention A) Tension entre pudeur et honte au cœur d’une tragédie de l’aveu Tragédie de P = structurée autour de l’aveu : or, au centre de l’aveu : une dramatique de l’obscénité : parole obscène car expose la souillure : mots souillés, mots honteux : besoin de l’expression mais expression coupable

travers une métaphore filée. le premier indice vers l'un des sens de ce poème c'est l'entrée par le paratexte. En effet, le titre est constitué d'un article défini, un adjectif numéral et le mot noyau est le nom épée. L'épée est une arme, et dans le contexte du 19e siècle, l'épée permet à des rivaux, à des ennemis de se livrer à une rixe dont l'issue est la mort certaine de l'autre. il s'agirait de se questionner par rapport à la nature des sept épées. Qu'est ce qu'elles symbolisent? Telle est

Circus. Il faudra attendre dix ans pour retrouver Masquerouge là où nous l’avions laissé. Entre-temps, les 7 Vies de l’Epervier se sont achevées en 1625, avec la “mort” d’Ariane, victime de l’épée du chevalier l’Épe rvier ) Tout commence en Septembre 1601 dans les hautes forêts d’Auvergne. Au cœur d’une tempête de neige, Blanche fuit le château de Troïl, recherchée par son époux Yvon. Avant de rendre l’âme, elle trouve la force de mettre au monde l’enfant qu’elle porte, celui de Gabriel

Intro : Le mot peine est considéré comme un mal qui touche le cœur humain impliquant certaines émotions de malheur et d’angoisse et qui est dû à cause d’un événement malheureux non attendue, qui est sous mis du chagrin ou sous mis d’une fausse décision prise par l’homme. Quant au mot mort, c’est un mot qui désigne une situation à laquelle l’homme n’est plus en vie. Par combinaison, la peine de mort est une décision faite par la justice appelant à faire du mal en tuant la personne qui a commis un

puis il rassembla autour de lui un groupe de treize traîtres, les Parjures. Avec l'aide de ces cruels disciples, Galbatorix anéantit les Dragonniers, tua leur chef, Vrael, et se proclama roi de l'Alagaësia. Sa conduite poussa les elfes à se retirer au cœur de leur forêts de pins, et les nains à se cacher dans leurs grottes et leurs tunnels. Aucune des deux races ne se risquait plus hors de ses retraites secrètes. Le statu quo entre Galbatorix et les autres peuples dura plus d'un siècle, pendant lequel

guerriers montés étaient devenus l'unité militaire d'élite des Francs. Cette innovation gagna l'ensemble de l'Europe. Le combat à cheval était considéré comme un fait d'armes particulièrement digne de gloire. En effet, le cavalier pouvait pénétrer au coeur de la bataille, se mouvoir rapidement et piétiner les ennemis relégués au rang inférieur de fantassins. Lorsque les deux cavaleries se faisaient face, la vitesse d'attaque et la violence de la confrontation procuraient un sentiment d'intense jubilation