Le Chevalier Sans Nom

c'est-à-dire la forme de latin véhiculaire utilisée pour la communication de tous les jours). au nord et en langues d'oc au sud. Pour l'essentiel, chronologiquement, on retient d'abord le genre épique des chansons de geste qui exaltent les exploits des chevaliers (ex. la Chanson de Roland, XIe siècle), puis la littérature courtoise, apparue au XIIe siècle, qui voit trouvères et troubadours chanter l'amour parfait dans leurs poèmes et Chrétien de Troyes écrire les Romans de la Table Ronde, alors que la fin

Byzance par les Turcs, devient la capitale de l’Empire Ottoman / Fin de la Guerre de 100 ans, Bordeaux redevient française 1492 : Découverte de l’Amérique par Christophe Colomb Grandes lignes : 1 - Les 3 ordres structurants la société féodale (chevaliers, clercs, paysans) 2 - La religion et l’art 3 - Les intellectuels et les mouvements d’idées 4 - La chevalerie et le développement d’une culture profane 5 - Naissance de la langue française et de sa littérature (chanson de geste, poésie lyrique

(fin IV ème siècle). Ses deux fils Utherpandragon et Aurelius sont emmenés en Bretagne pendant que Vortigier pactise avec les Saxons et fait tuer le Roi par les Pictes. Merlin : Magicien, prophète et Barde : Selon la tradition orale, un Barde du nom de Myrdolin aurait vécu en Ecosse au VI ème siècle. Selon Geoffroy de Monmouth, Merlin est à la fois magicien, prophète et enchanteur qui hante le bois de Nothumberland. Merlin déjoue le complot de Vortigier : Vortigier face à la Tour qui s’écroule

- Présentation personnages principaux
Comme dans tous les romans d’aventures, il y a d’un côté les gentils et de l’autre les méchants :
 1 - Gentils : 
a) Thibault de Sauvigny, le Chevalier au bouclier vert :
Héros de l’histoire, âgé de 15 ans, aux cheveux blonds bouclés, il est sacré chevalier par son oncle le comte de Montcornet pour sa bravoure. Mis à part sa fougue et sa joie excessive qui l’ont mis maintes fois en danger, Thibault est un garçon honnête et attaché au sens sacré de la chevalerie

pas la lui cacher, je lui répondis que je pensais au prologue qu’il fallait écrire pour l’histoire de don Quichotte, et que j’étais si découragé que j’avais résolu de ne pas le faire, et dès lors de ne pas mettre au jour les exploits d’un si noble chevalier. « Car enfin, lui dis-je, comment voudriez-vous que je ne fusse pas en souci de ce que va dire cet antique législateur qu’on appelle le public, quand il verra qu’au bout de tant d’années où je dormais dans l’oubli, je viens aujourd’hui me montrer

Le Pape Urbain II appelle le peuple à la croisade (Doc7) [pic] I — Le Monde à la veille des croisades 3 II – Les croisades 7 III – La première croisade 8 IV – Les Moines Chevalier 10 V - Résumé – Synthèse 11 Annexe : Bibliographie 12 I — Le Monde à la veille des croisades A la fin du XIe siècle, l’espace méditerranéen se partage entre le monde islamique, l’Empire byzantin (avec pour capitale Constantinople) et la chrétienté

depuis qu'il n'est plus là Mon coeur me fit si mal du jour où il s'en alla L'évêque fit venir trois chevaliers avec leurs lances Menez jusqu'au couvent cette femme en démence Vat-en Lore en folie va Lore aux yeux tremblant Tu seras une nonne vétue de noir et blanc Puis ils s'en allèrent sur la route tous les quatre la Loreley les implorait et ses yeux brillaient comme des astres Chevaliers laissez-moi monter sur ce rocher si haut Pour voir une fois encore mon beau château Pour me mirer

l’auteur présente Lanval, un généreux chevalier qui rencontre une fée avec laquelle il vivra une relation secrète à l’abris de tous les regards. C’est un personnage singulier et qui connait un sort tout aussi singulier. La distinction de ce chevalier s’illustre par son dévouement tandis que son destin incroyable est mis en évidence par la relation amoureuse particulière dans laquelle il vit. En premier lieu, Lanval se différencie des autres chevaliers par son dévouement. En effet, ce dernier

une institution sociale que l'on rencontre dans la plupart des sociétés traditionnelles, dès lors que la fonction guerrière est organisée indépendamment des pouvoirs économiques et religieux, comme chez les Romains ou les Celtes avec la classe des chevaliers[2], mais aussi la plupart des anciens peuples d'Afrique et d'Amérique. Le recrutement des membres de la noblesse se faisait, comme dans la plupart des autres professions, en premier lieu par l'hérédité au sein de certains lignages familiaux, ensuite

son héros d’enfance, Roland. Un vrai chevalier. « Pas le genre de chevalier qui tue des dragons et qui sauve des princesses, non. Le genre qui fait son travail : la guerre ». Et pas un héros de légende, un vrai héros, historique ! Avec son ami « qui joue les personnages secondaires », il relate les meilleurs épisodes de La chanson de Roland, en proclamant leur véracité, puisque « c’est écrit dans mon livre ». Dans la pièce, Roland et les douze meilleurs chevaliers de France sont des petites marionnettes