Le Château de Hurle

personnages se querellent, se raccommodent, font leurs exercices de gymnastique, Estragon implorant la pitié de Dieu. Soudain, Pozzo et Lucky réapparaissent et tombent tous les deux, l'esclave, toujours surchargé, entraînant son maître dans sa chute : Pozzo hurle au secours, voilà qui est drôle ! Et puis, cela fait passer le temps ! Ils restent sur le sol, Pozzo appelant au secours, les deux autres discutant parce qu'Estragon veut profiter de sa faiblesse, en lui donnant des coups de pieds, parce qu'il faut

rend l’effet d’une inquiétante étrangeté, de la peur, de l’effroi et du sublime. Mireille donne le titre « les 2 rencontres ». Dans Hurlevent, il y a 2 scènes symétriques d’intrusion : l’arrivée de l’enfant bâtard (chap.4) et l’arrivée de Linton à Hurle-vent (chap.19). p.92 : « d’amonceler l’invasion », le thème de l’invasion est lié au thème familial. On ne peut réduire la structure du roman à un arbre généalogique qui est finalement erroné, car cela implique l’exclusion de Nelly et de Joseph. Nelly

outrancier à un avion avec sa main. Les yeux de Thomas s'illuminent. Il ouvre sa fenêtre en grand et passe sa tête à l’air libre. Le visage fouetté par le vent, il regarde l'avion parcourir le ciel, laissant une traînée blanche sur son passage. 6.THOMAS il hurle( ) BONJOUR PAPA ! La camionnette va tellement vite que la peau du visage de Thomas se plie dans tous les sens, le déformant comme lors d’un saut en parachute. 5 EXT. JOUR. REMPARTS AIGUES-MORTES - CAMIONNETTE La camionnette arrive devant les remparts

volcanique où le noir et le rouge sont omniprésents. C’est une planète montagneuse où de nombreux volcans crachent de la lave qui s’écoule dans des canyons gigantesques. Le plus haut sommet est surplombé par un château immense, ténébreux et froid. A l’intérieur de ce château, il y a des couloirs, et une salle immense marbrée dans les tons rouge et gris. Ceux-ci sont éclairés par des flammes qui sortent de « vasques » accrochés aux murs. Sur ces derniers, on peut y voir les symboles du

5/ La stratégie de Max (lettres 13 à 17)  Martin , le destinataire r éel, est un destinatair e invisible.  Avant la mort de Griselle, Max avait accepté d’envoyer  ses lettr es à la banque pour  ne pas compr omettre  Martin. Cette fois, il les adresse directement au château, dans le but de jouer sur les mécanismes de la  censure et de les r etour ner  contr e Martin : le fervent admirateur du r égime nazi va êtr e suspecté de  tr ahison. Les lettr es de Max se 2nde Elec              DS de Fr ançais :écr itur e n°3 

ténèbres pensaient que Potter pouvaient être tout naturellement celui autour duquel nous pourrions tout nous rassembler une fois de plus. J'étais curieux, je l'admets, et pas du tout incliné à l'assassiner dès l'instant où il a mis les pieds dans le château. "Naturellement, il m'est très rapidement apparu évident qu'il n'avait aucun talent extraordinaire. Il s'est sorti d'un certain nombre de situations difficiles par une simple combinaison de chance et d'amis plus doués. Il est médiocre au dernier

commença-t-il, je suis heureux de vous accueillir pour une nouvelle année à Wildfire. Comme les anciens le savent, la réserve de la bibliothèque est interdite sauf sur autorisation d’un professeur, nous ne voulons voir aucun élève trainer hors du château à partir de 20h et plus personne dans les couloirs à partir de 22h. Marius Survard m’a également dit vous rappeler que les sous-sols ne peuvent être empruntés qu’accompagner d’un professeur. Merci de respecter ses quelques règles et tout se passera

demande-t-il d'une voix douce, avec, de nouveau, son sourire « secret ». Aucun son ne sort de ma bouche. Je vacille sur des plaques tectoniques en mouvement. Du calme, Ana, me supplie à genoux ma conscience. — Les livres. Je chuchote, mais ma conscience hurle : Vous ! C'est vous, mon truc ! Je la fais taire d'une gifle, atterrée par sa folie des grandeurs. — Quelles sortes de livres ? Il penche la tête sur l'épaule. Pourquoi ça l'intéresse ? — Eh bien, vous savez, comme tout le monde. Les classiques

fer, ni de la Bourse, ni des replis intimes du coeur humain, ni des habits Moyen Âge, ni de Dieu, ni du diable, mais qui parle d'un fou, c'est-à-dire le monde, ce grand idiot, qui tourne depuis tant de siècles dans l'espace sans faire un pas, et qui hurle, et qui bave, et qui se déchire lui-même ? Je ne sais pas plus que vous ce que vous allez lire car ce n'est point un roman ni un drame avec un plan fixe, ou une seule idée préméditée, avec des jalons pour faire serpenter la pensée dans des allées tirées

la nature des richesses ; et, comme il n’est pas nécessaire de tenir les choses pour en raisonner, n’ayant pas un sol, j’écris sur la valeur de l’argent et sur son produit net : sitôt je vois du fond d’un fiacre baisser pour moi le pont d’un château-fort, à l’entrée duquel je laissai l’espérance et la liberté. (Il se lève.) Que je voudrais bien tenir un de ces puissants de quatre jours, si légers sur le mal qu’ils ordonnent, quand une bonne disgrâce a cuvé son orgueil ! Je lui dirais… que les