Le Chant De L Honneur

cordelier, les honneurs de la chapelle ardente; et Marguerite, que son amant a tuée, sera ensevelie dans sa blanche robe d'innocence, entre quatre cierges de cire. Mais moi, la barre du bourreau s'était, au premier coup, brisée comme un verre, les torches des pénitents noirs s'étaient éteintes sous des torrents de pluie, la foule s'était écoulée avec les ruisseaux débordés et rapides, — et je poursuivais d'autres songes vers le réveil. Aloysius Bertrand LE CRAPAUD Un chant dans une nuit

Pendant qu'ils préparaient le vaisseau, un festin était servi au palais. L'aède Démodocos chante des épisodes de la guerre de Troie et Ulysse est ému. Le roi le voit et ramène ses assistants pour retourner à l'agora et pour assister à des jeux. Après quelques jeux, Ulysse à y jouer. Il gagne au lancer de disque et défie les Phéaciens dans toutes les épreuves. Alkinoos fait appeler l'aède. Démodocos chante. Alkinoos demande aux princes à faire des cadeaux à Ulysse. Le soir, ils retournent au palais

permettant une répartition par hémistiches des choix « Contre mon propre honneur // (=pause) mon amour s’intéresse »v12 « L’un me rend heureux, // l’autre indigne du jour » v24. Le début de la troisième strophe voit au contraire un renforcement de l’union de ces termes qui apparaissent deux fois coup sur coup, en l’espace réduit d’un octosyllabe. L’alternance se produit alors à l’intérieur d’un même hémistiche « Père, // maîtresse, // honneur, // amour. » v21 C / Vers la lucidité Dans ce jeu, l’effort

 Les femmes naissent et meurent dans un soprano qui paraît indestructible. Leur voix est un règne. Les hommes perdent leur voix d’enfant. À treize ans, ils s’enrouent, chevrotent, bêlent. Les hommes sont ces êtres dont la voix casse - des espèces de chants à deux voix. ✓ Histoire d'amour du temps jadis (Philippe Picquier, 1998) : ouvrage collectif contenant un texte de P. Quignard. ✓ Le sexe et l'effroi (Gallimard, 1996) : « Quand Auguste réorganisa le monde romain sous la forme de l’empire

absents » ; ensuite, « les marques habituelles de joie, amour et amitié font le tour de l’assistance » ; enfin, « l’Assemblée est régalée de discours, musique et chants maçonniques ». Les pratiques ne sont malheureusement pas décrites dans les Constitutions d’Anderson. Mais, on sait que l’on chante dans les loges. Ces Constitutions publient des chants au cours desquels on pratique des « santés ». En 1738 – année de la nouvelle rédaction des Constitutions – on constate un changement, une évolution :

Parallélisme + chiasme aux v. 36 à 38-La justification de la violence Allégories : liberté, faim, haine personnification du pays Métaphore du corbeau, un charognard Conclusion : pourquoi ce texte est-il devenu l'hymne de la Résistance ? Ouverture : « Le Chant des partisans, Motivés

par le nombre des âmes Que j’osai t’envoyer, par des chemins de flammes) Dessus les grils ardents, et dedans les taureaux1, Chanter les condamnés, et trembler les bourreaux. Il répète ces quatre vers. J’ai vu (Ciel, tu le sais, par le nombre des âmes Que j’osai t’envoyer, par des chemins de flammes) Dessus les grils ardents, et dedans les taureaux, Chanter les condamnés, et trembler les bourreaux. Et puis ayant un peu rêvé, et ne regardant plus son rôle, il dit : Dieux, prenez

par le nombre des âmes Que j'osai t'envoyer, par des chemins de flammes) Dessus les grils ardents, et dedans les taureaux1, Chanter les condamnés, et trembler les bourreaux. Il répète ces quatre vers. J'ai vu (Ciel, tu le sais, par le nombre des âmes Que j'osai t'envoyer, par des chemins de flammes) Dessus les grils ardents, et dedans les taureaux, Chanter les condamnés, et trembler les bourreaux. Et puis ayant un peu rêvé, et ne regardant plus son rôle, il dit : Dieux, prenez

par le nombre des âmes Que j'osai t'envoyer, par des chemins de flammes) Dessus les grils ardents, et dedans les taureaux1, Chanter les condamnés, et trembler les bourreaux. Il répète ces quatre vers. J'ai vu (Ciel, tu le sais, par le nombre des âmes Que j'osai t'envoyer, par des chemins de flammes) Dessus les grils ardents, et dedans les taureaux, Chanter les condamnés, et trembler les bourreaux. Et puis ayant un peu rêvé, et ne regardant plus son rôle, il dit : Dieux, prenez

formes circulaires , installé au creux d'une colline . En face du théâtron se trouve le bâtiment ou les acteurs se changent . 2)La représentation Un théâtre en honneur de Dionysos(Dieux de l'ivresse de la création ) .De ces aventures triste ou gaie . Des chants , qui peu a peu son remplacer par du dialogue . Les acteurs sont accompagné d'un orchestre et de chœur . 3)Les spectateurs Les spectateurs sont le plus souvent citoyens riches, des